Par Admin (Admin) le mercredi 06 mars 2002 - 05h16: |
Par ALBERT SIMEONI (Albert) le mardi 05 mars 2002 - 21h43: |
Monsieur Morris,
Moi aussi je me fais l'ècho de mon amie Noa.On entend beaucoup d'èchos de paix sans rien voir.
A moins d ‘être introduit dans le monde des D, ieux, comment vous l’ai vous que nous ne soyons pas décourages, comme l’est Maître Tahar Miller, avec tout ce déchaînement de la violence au quotidien ? Le Premier ministre Monsieur Sharon réunit presque, à chaque attentat, toutes les heures, son cabinet de sécurité restreint pour préparer la riposte. Les soldats israéliens sont tirés comme des canards. Un char merkava , la fierté de l’armé a sauté sous un œuf d’autruche. Les colonies ressemblent à des ghettos. Entourées par des murs de béton de ‘Jèricho’ . C’est une vie ça … ?
Monsieur Sharon a été élu démocratiquement, nous sommes d’accord, mais n’a t’il pas promis la sécurité à son peuple… ? Les éditoriaux israéliens, la presse libre, s’interrogent. Nous nous interrogeons aussi sur la suite des évenenements. Cela ressemble étrangement à une partie d’échecs où les fous sont plus nombreux que les rois sages. Alors.. ? Y aurait t’il selon vous quelques tractations secrètes que nous ignorons … ? Ce regain de violence avant le sommet de Beyrouth serait t’il un grand feu d’artifice, le prélude à une éclaircie.. ? Où son contraire.. ?
Ce n’est plus un dialogue de paix qu’on entend mais le bruit de fusils, de chenilles, de bombes ….On n’en peut plus. Nous sommes tous des NOA, en ce moment MONSIEUR MORRIS. Excusez mon incursion enfantine, mais j’aurai voulu que vous éclairiez ma curiosité. Et parler d’histoires et de fables drôles.
Des sketchs avec ma mère…Tenez … ?
ALBERT en petit politicien de strapontin
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 05 mars 2002 - 21h27: |
Tuesday, March 05, 2002 Adar 21,(Haaretz)5762 Israel Time: 22:07 (GMT+2)
Shimon Peres: "I would not have joined the gov`t had I known we would reach the present situation"
Ma traduction
(Je n'aurai pas joint le gouvernement si j'avais su que nous arriverons à la situation présente)
Qu'attend-il pour quitter s'il a trop chaud?
Par Moka (Moka) le mardi 05 mars 2002 - 21h23: |
Bazooka, le louvoiement de Sharon, comme vous dites, est du en partie aux tergiversations de sa majorité "plurielle", Perez en tête.
Comment voulez-vous ou pouvez-vous gouverner avec cette épée de Damoclès, notamment la menace de l’éclatement à tout instant de la coalition.
Quant au Shekel et à la monnaie, comment pouvez-vous la soutenir quand les événements affolent les touristes, que l’union européenne a demandé de boycotter les produits israéliens exportés des "colonies ?" , Qu’Israël est cloué au pilori ?
Vous le savez bien, puisque vous semblez vivre en Israël, que Perez a déclaré aujourd’hui, qu’il n’aurait jamais fait partie du gouvernement, s’il avait su qu’on en arriverait là.
Le parti travailliste doit se réunir pour décider ou non de rester dans la coalition.
Et on repartira pour un tour à la grande joie des...palestiniens.
Je vous remercie d’avoir élevé le débat.
Nous servons tous la même cause.
Amicalement.
Par Bazooka (Bazooka) le mardi 05 mars 2002 - 21h06: |
A Moka :
Je pense me faire l'echo de Nao (dont je partage le desoeuvrement) pour dire qu'elle et moi ne sommes pas defaitistes, et qu'elle, moi, et le peuple d'Israel dans son ensemble, avons largement apporte la preuve de notre patience, depuis 1 an 1/2.
Je l'ai deja dit plus bas et je le reitere ici :
Sharon a ete elu democratiquement pour mettre en oeuvre sa politique, mais la seule politique qu'il applique depuis qu'il est elu, c'est le louvoyage dans le meilleur des cas, et l'attentisme dans le pire des cas.
Resultat des courses : l'economie (en particulier notre monnaie, le Shekel) et surtout le moral du peuple d'israel jouent au yoyo, et il n'y a rien de pire qu'une monnaie instable et qu'une tension arterielle qui bat la chamade.
C'est une constatation, pas une critique, car a ce jour, personne n'est fichu de preconiser une solution VIABLE a tout ca. Moi y compris.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 05 mars 2002 - 21h01: |
Moka Ya A'tik Essaha, la patience est une vertue.
Pendant la 2 eme guerre mondiale mon père disait toujours. Estana Elka' (attendez la fin)
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 05 mars 2002 - 20h58: |
Mon cher Omega. Vous pouvez ne pas être d'accord avec moi, je ne vois rien de mal à cela, mais je vous prie avant de m'accuser sans fondement d'homme de droite de relire d'abord ce que j'avais écrit. J'avais dit la même chose aussi quand Barak était au pouvoir soit:" De le laisser faire."
Comment voulez-vous que Sharon réussisse si à sa droite, il a Perez qui tire de son côté vers la gauche et devant lui l'homme qui doit exécuter ses ordres est aussi de la gauche et il est en même temps l'homme qui voudra avoir la place de Sharon. Vous voyez les conflits d'intérêts qu'ils y a ici ?
Vous me parlez des religieux, ceux-là ne rentrent même pas dans ma considération, car ils n'ont rien à faire avec la politique.
Je n'ai jamais cru aux gouvernements de coalition. Ensuite saviez-vous que Sharon appartenait au mouvement ouvrier?.
Je suis américain et je pense américain dans l'esprit de la démocratie américaine, ni israëlienne ni française. C'est ainsi qu'il faut lire mes commentaires. Amicalement Emile Mirodirect@aol.com
Par Moka (Moka) le mardi 05 mars 2002 - 20h21: |
Madame Tahar-Miller, permettez-moi de vous reprendre.
Vous semblez faire croire que la « politique » de Sharon est basée sur la violence, puisque vous écrivez :
« Mais admettons qu'il puisse la mettre en oeuvre sa politique, que ferait il? il tuerait Arafat? il leur rentrerait dedans et leur livrerait une guerre sans merci tuant femmes, enfants?? Il occuperait Gaza et la Cisjordanie? Et attaquerait ensuite les autres pays arabes?? »
Madame, vous savez bien que Ariel Sharon a été élu démocratiquement pour assurer la sécurité de son peuple, qu’ont fait les Arabes depuis qu’il a été élu? Ils ont purement et simplement torpillé tous ses efforts.
Lisez la presse arabe et vous comprendrez. Cette presse aux ordres n’a de cesse que de casser du Sharon, que de mentir, que de fanatiser le peuple.
N’oubliez pas que Sharon est avant tout un militaire.
Quand avez-vous remarqué le moindre effort de la partie adverse, depuis l’arrivée de Sharon au pouvoir ?
Quand avez-vous relevé que la presse occidentale, française en particulier, ait trouvé des circonstances atténuantes au peuple d’Israël ?
Ce ne sont que mensonges et désinformation.
Au lieu de mettre du baume on met de l’huile sur le feu.
Quand Israël se défend on parle d'assassinat ou de bavure.
Quand les palestiniens tuent (je ne veux pas écrire "assassinent"), on les hisse au pinacle, on en fait des héros.
Rappelez-vous l’affaire des 14 soldats israéliens, d’une unité d’élite, soi-disant pris au piège de terroristes. C’était un faux éhonté, la presse française a-t-elle démenti ?
Et l’attentat de ce groupuscule d’extrême-droite israélien qui aurait posé une bombe dans une école palestinienne ? Encore un faux.
Tout est bon pour l’imputer à Israël.
L’effet d’annonce, vous connaissez ?
Ne soyez pas si défaitiste que cela, il faut soutenir Israël et non pas l’abandonner.
Un peu de patience ! On a vu pire.
Je vous salue amicalement
Par ALBERT SIMEONI (Albert) le mardi 05 mars 2002 - 19h54: |
Ton raisonnement est juste Nao. Je ne vois pas non plus, la solution. Ils vont vers un carnage où il n'y aura ni vainqueurs ni vaincus, mais un énorme gachis qu'il sera très très très..difficile à combler. A moins que les cerveaux de parts et d'autres laissent leurs querelles personnelles de cotè et leur fiértè en veilleuse pour sauver ce qu'il n'y a plus rien à espèrer. Personne ne s'en sortira indemne.
ALBERT..
Par Taieb Claude (Hai) le mardi 05 mars 2002 - 19h52: |
S'il y en a un que j'ai bien envie de ressusciter c'est Joseph Sitruk.
J'avais pourtant demandé qu'on lui fasse parvenir le message de rebbi Haï Taïeb.
Par ALBERT SIMEONI (Albert) le mardi 05 mars 2002 - 19h47: |
Mon cher Hai Taieb,
Toi qui a le pouvoir de ressuciter, pourquoi ne ferait tu pas le miracle, celui de réparer cette injuste omission...Hein..? Si tu veux on peut te donner un coup de main, et même un coup de balai. Nous sommes tous solidaires avec toi.Et ce n'est pas du cynisme mais de la solidaritè de ma part. Je vais contacter mes bons amis très influents et je leur parlerai de vives voix.
ALBERT le solidaire et le charitable.
Par Nao (Nao) le mardi 05 mars 2002 - 19h42: |
Tout le monde semble penser que Sharon ne peut mettre en oeuvre sa politique a cause de la coalition gouvernementale qui pourrait voler en eclat, la gauche mettant un frein aux intentions du 1er Ministre!
Je suis mitigee car je ne suis pas sure que Sharon ait une politique pre-etablie. Lui meme est totalement depasse par cette violence et il ne peut repondre qu'au coup par coup.
Mais admettons qu'il puisse la mettre en oeuvre sa politique, que ferait il? il tuerait Arafat? il leur rentrerait dedans et leur livrerait une guerre sans merci tuant femmes, enfants?? il occuperait gaza et la cisjordanie? et attaquerait ensuite les autres pays arabes??
Je ne suis meme pas convaincue a ce stade que cette strategie est envisageable. Qu'est ce que cela apporterait a Israel? on peut pas faire un mega carnage au MO sur la base securitaire! On parle ici de millions d'ennemis pas d'une poignee de militants assoiffes de sang!
Je suis tellement abattue par tt ca que je vois plus de solution ni ai meme d'espoir.
Par Taieb Claude (Hai) le mardi 05 mars 2002 - 18h54: |
On nous conteste notre droit sur un lieu.
Mais nous nous comportons comme si nous n'étions pas chez nous.
Quelqu'un peut me dire pourquoi on n'a pas décidé qu'il y avait une synagogue pour les Ashkénazim et une pour les Séphardim dans le Lieu des lieux?
Il est temps de réparer cette erreur.
Par Bazooka (Bazooka) le mardi 05 mars 2002 - 18h45: |
David :
Exact, Sharon a ete elu democratiquement pour mettre en oeuvre sa politique.
Le probleme, c'est que la seule politque qu'il applique depuis qu'il est elu, c'est le louvoyage dans le meilleur des cas, et l'attentisme dans le pire des cas.
Ce qui ne veut pas dire pour autant, que les travaillistes aient un meilleur programme a nous proposer !
On n'est pas dans la m...e, avec ca !
Par Chesnay (Chesnay) le mardi 05 mars 2002 - 18h10: |
En ces temps difficiles, en ces moments tragiques, à la suite des malentendus générés de toutes parts, j’aimerais soumettre à votre réflexion l’anoblissement de notre cher Albert.
Depuis plusieurs jours ce ne sont que compliments dithyrambiques, des "Albert" par-ci et des "Albert" par-là ; il n’y en a que pour lui. J’en suis "presque" jaloux.
Albert mon cher, couvrez-vous ;
"Allah la y warik aïn harââ!"
Que vous soyez préservé du mauvais oeil !
Notre Saint des seins (de sa mère) est sain de corps et d’esprit (Tfedlik).
Par David (David) le mardi 05 mars 2002 - 18h06: |
que les travaillistes laisse sharon appliquer sa politique et ensuite on pourra dire si elle a échoué ou reussi
la remarque d'OMEGA et aussi valable pour les travaillistes si ils ne sont pas daccord avec sharon qu'ils aient le courage de quitter le gouvernement en faisant leur la devise de chevenement un ministre ça ferme sa gueule ou ça demissionne
or je suis désolé sharon a été elu les ministres on été nommé
Par Omega (Omega) le mardi 05 mars 2002 - 17h50: |
Henri et Emile,
Non moi je ne suis pas d'accord de suspendre la democratie Israelienne car nous sommes en temps de guerre. Et je sais que vous demandez ca parce que vous etes des gens de droite et que vous ne croyez qu'a une solution de force.
Encore une fois je detecte chez vous la tentation de facilite lamentable de vouloir faire porter le chapeau des problemes actuels d'Israel a la gauche (qui ne soutient pas suffisemment Sharon) et aux non-religieux (qui n'observent pas les mitzvoth comme les rabbins le prescrivent).
Il est temps de regarder la realite en face : la politique de Sharon a echoue et si un leader n'arrive pas a amener la solution pour laquelle il a ete elu, il doit en porter la responsabilite et partir.
OMEGA
Par Fernand (Fernand) le mardi 05 mars 2002 - 17h30: |
Mon cher Albert,
Comment a-t-on pu traiter l’être le plus pacifique et le plus pacificateur ( au sens noble du terme) que je connaisse de cy…( je ne peux même pas écrire le mot tellement il est éloigné de ta personnalité). Bien évidemment, ce ne peut être que suite au plus affreux des mal-entendus que l’on ait pu voir sur ce site ( Et D. sais s’il y en a eu sur ce forum).
Alors cher Albert, oublie cet épisode et laisse ta bonne humeur reprendre le dessus.
Par ALBERT SIMEONI (Albert) le mardi 05 mars 2002 - 17h03: |
Ya babba Emile,
Te remercier....? Je ne le saurai le faire
même avec mes deux ou trois cent mots qui trottent dans ma tête.Je ne suis pas le cynique ou le 'chmeity'.Au contraire .Il y a eu quiproco , un malentendu regrettable découlant d'une situation que seul 'El sittan' ( le diable) sait en jouer. Je ne lui en veut pas et combien même je l'aurai voulu que je n'y parviendrai pas. Je suis très émotif et Qu'albi mè yatinich ( et mon coeur ne me permet pas celà).Hier je n'ai pas fermè de l'oeil.
J'ai voulu vous inviter au theâtre et on m'a dit que les billets ne sont pas remboursables.Cela m'a coutè 45OO FRs..Mchèw kobbarra yallinè...Mais bon je connais le patron du theâtre et je vais m'arranger avec lui.IL y a Nao, Michka, Denise, Solange, Tweyrah , Aline, Mail Room,Shiva, la Mena; Jwéyjah..etc...pas d'hommes...vous ne connaissez rien au theâtre du Metro-Poli- Teint de Chi mardoum.Alors je vais passer pendant l'entre acte un texte..vers les 20 heures.Inédit.
LES DETAILS.
ALBERT le compatissant, le hnine mais pas le cynique. Je vous embrasse Janet, Hai, Fer..Emile Mr Chesnay..Jex..Taw...baba ou chidi ben yabiss.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 05 mars 2002 - 16h39: |
Merci Buono, Je connais personnellemnt Sharon et je connais sa façon de penser. Simplement le peuple ne lui a pas donné le pouvoir total comme ici aux Etats Unis. Les coalitions le déchirent et on veut qu'il décide? Quoi encore, Perez n'a jamais été un leader, il a été le messager de Ben Gourion pas plus. Je dirais à la droite comme à la gauche d'arrêter de jouer avec le sang du peuple laisser l'unique leader élu faire son travail.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 05 mars 2002 - 16h30: |
Je suis entièrement d'accord avec toi il faut dans des moments pareils être derrière son chef militaire. Voyez les Etats Unis, une fois une guerre est en cours le président est le chef des armées et tout le monde s'aligne derrière lui. Mais en Israël on veut exercer la démocratie européenne qui ne laissen aucune décision et non pas la démocratie américaine.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 05 mars 2002 - 16h18: |
Chère Line , ce n'est pas gentil de votre part de caractériser Albert de non compatissant et de cynique.
Madame, je tiens à vous rappeler que ce sont justement des personnes comme lui qu'il nous faut dans des moments pareils. A mon avis c'est une force de savoir se retenir et de ne pas étaler ses sentiments dans des moments où le peuple entier souffre. J'ai vécu des guerres et justement des personnes pareilles je l'ai accueillais volontairement pour garder le bon moral des soldats. Que Dieu donne à tout le peuple du courage et du sang froid pour pouvoir passer ces jours de péril Be Shalom.
A mon avis ,Line devait s'excuser à Albert car Albert est un homme d'humour, de sentiments profonds, de compassion et de coeur de miel. Et du reste arrêtez de faire mal l'un à l'autre, car nous avons besoin de vous tous. Amities Emile Mirodirect@aol.com
Par Henri Bueno (Henri) le mardi 05 mars 2002 - 15h15: |
Emile Chalom
Trop de gens sont troubles par les evenements, il faut donner a Sharon notre confiance, il a ete celui qui en 1973 a sauve Israel en encerclant les egyptiens.Seuleument les gens ont la memoire courte.
Par Michka (Michka) le mardi 05 mars 2002 - 15h11: |
L'ASSOCIATION ARTS et TRADITIONS POPULAIRES des JUIFS de TUNISIE et Joël LALOU
présentent une Grande Soirée Orientale
" LE DERNIER DES GEANTS A REJOINT LES ETOILES "
- en hommage à Raoul JOURNO -
TUNIS FOREVER AU BATACLAN DE PARIS le 13 mars 2OO2 à 2Oh30
Honneur à la musique judéo-tunisienne : Raoul JOURNO, Kahlaoui TOUNSI, Asher MIZRAHI, Habiba MESSIKA......
Avec à l'affiche : Yuval TAIEB, Houssine EL AFRIT, DOUKHA, Esther DALAL, Nessim SAROUSSI, Bébé FITOUSSI, Alfred ROA et Gilbert CHICKLY dirigés par l'orchestre de Gilles HADDAD, animation KALIF
Le BATACLAN 5O, bd Voltaire 75011-Paris Métro : Oberkampf ou St Ambroise
Réservation au BATACLAN (01 43 14 35 35 ), FNAC, VIRGIN, ATPJT (06 6O 65 46 43 )
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 05 mars 2002 - 15h04: |
Bueno, ce n'est pas dans cette intention que j'avais écrit ces quelques mots. Moi j'ai grandi avec une discipline et une loyauté. J'ai appris à obéir et à servir mes supérieurs de même lorsque j'étais en charge j'insistais à être obéi et servi.
J'avais écrit ironiquement. Car comme dans la bible,( Sir Habassar) aujourd'hui le peuple avait choisi Sharon comme leader, qu'il le laisse faire son travail sans lui faire des pressions de la gauche ou de la droite. A titre amical je dirais à Sharon de bien dire à tous: "Moi j'ai été seul élu et pas le gouvernement" Comme aux Etats Unis.
On ne peut pas diriger une nation avec deux chefs. Le peuple est assez confus comme ca
Par Chesnay (Chesnay) le mardi 05 mars 2002 - 13h51: |
Le maire de Jérusalem estime fort probable que l'attentat de Tsour Baher a été commis par des Palestiniens
13:37 05 Mars 2002 Arouts-7
Bien qu’une organisation juive inconnue, "la vengeance des enfants innocents" , ait revendiqué l’attentat de ce matin dans une école du village arabe de Tsour Baher, le maire de Jérusalem, Ehoud Ohlmert, a estimé fort probable que cet acte criminel ait été commis par des Palestiniens, cherchant à semer des troubles.
Par Boulomiel (Boulomiel) le mardi 05 mars 2002 - 13h39: |
ISRAEL est aujourd'hui dans la même situation qu'un parent battu:
au début on rigole des coups que l'on reçoit de son enfant de 2 ou 3 ans
puis on se fâche mais pas trop
puis on on sévit mais pas trop pour pas faire mal
puis on s'énerve on met une giffle et là on reçoit un coup de couteau mortel de son gamin de 17 ans qui est devenu un voyou ,drogué délinquant (à faire le parallèle avec les enfants palestiniens drogué par la propagande anti juive)
aujourd'hui Israel est victime de ne pas avoir frappé DUR et FORT et RAPIDEMENT pour ne pas passer pour une nation colonisatrice ou fasciste
Il n'est (espérons le !)peut etre pas trop tard pour ENFIN réagir
Par Henri Bueno (Henri) le mardi 05 mars 2002 - 09h02: |
Chers amis,
Il n’y a pas si longtemps,je disais que nous avons un contrat avec D..
Ou il est enumere toutes les benedictions et parmi elles la PAIX si l’on agissait selon ce contrat.
Malheureusement comme dans tout contrat, il y a aussi le contraire de ces benedictions si ont ne le respecte pas.
Chacun de nous qui recherche reelement la paix doit faire son examin de conscience et rectifier ses actions.
Essayons et demandons l’aide de D.. pour cela
Par Bingo (Bingo) le mardi 05 mars 2002 - 08h22: |
Reuters le 05/03/2002 02:59
TEL AVIV, 5 mars (Reuters) - Un Palestinien présumé a ouvert le feu dans la nuit de lundi à mardi sur les clients de deux restaurants et d'un pub de Tel Aviv, tuant trois d'entre eux et en blessant au moins 25 autres avant d'être abattu, rapportent les autorités israéliennes.
La fusillade s'est produite dans un quartier du centre prisé des noctambules.
Trois des 25 blessés sont dans un état grave, a précisé un responsable des services ambulanciers à la radio israélienne.
"J'ai vu un homme debout devant une fenêtre tirer à l'intérieur. Il a ensuite jeté deux grenades qui n'ont pas explosé", a déclaré un témoin interrogé par la radio.
"Un homme a tiré plusieurs coups de feu sur lui et l'a tué", a raconté un autre témoin. La radio a déclaré que le tireur avait été abattu par un policier.
Par ALBERT SIMEONI (Albert) le mardi 05 mars 2002 - 07h52: |
Madame Line et les autres amis interautes,
Je crois que vous n'avez pas compris que cette phrase que j'ai avancè concernait Mr Chesney, un monsieur qui est sorti du site il y trois mois.
Il est rentrè hier, après un long silence d'où mon allusion musicale Chesney..'Chêne qu'on n'abat pas'. C'est à dire celui qui est toujours debout.
Je suis désolè que vous n'ayez pas fait la nuance.
Janet, ce n'était ni le roseau ni le Chêne et encore moins la Fontaine.
Et l'autre Hai qui s'envole dans son envolèe lyrique et patati patatras..
Il va falloir mettre vos pendules à l'heure.
ALBERT
Par Henri Bueno (Henri) le mardi 05 mars 2002 - 07h36: |
Emile
Le peuple Israelien est assoife de paix, malheureusement arafat lui a choisi la guerre.
Israel n'a pas d'autre solution, SE DEFENDRE OU MOURRIR.(Ou se sauver aux USA par exemple, mais meme aux USA, le terrorisme a fait en une journee des milliers de victimes)En France les Juifs sont a la merci des antissemites de tous bords.
Israel est le seul pays democratique de toute la region, et son chef Ariel Charon a ete elu a une grande majorite.
Ce n'est pas le moment d'ajouter de l'huile sur le feu avec les "mahlokots"(Dissensions) crees par un referundum.
Chalom et brakha
Par Mailroom (Mailroom) le mardi 05 mars 2002 - 04h57: |
Ecoutons Bien Abdallah Ibn Abdelaziz
Par Michel Gurfinkiel
D'un côté, ce qu'il a été convenu d'appeler, depuis une dizaine de jours, "l'offensive de paix saoudienne". De l'autre, sur le terrain, une accélération vertigineuse de la violence, la multiplication des attentats palestiniens contre les civils ou les militaires israéliens. Et par voie de conséquence, la montée du niveau de riposte de Tsahal. C'est la situation étrange, contrastée, contradictoire, qui semble prévaloir aujourd'hui au Moyen-Orient. Pour y voir plus clair, il est sans doute nécessaire d'y regarder de plus près.
En quoi consiste la démarche saoudienne? Essentiellement, en une interview que le prince Abdallah ibn Abdelaziz a accordé au journaliste juif américain Thomas Friedmann et qui a été publiée le 17 février dans le New York Times, le grand journal libéral américain, lui-même proche de certains milieux juifs. Dans cet entretien, Abdallah affirme que l'Arabie Saoudite est prête à travailler en vue d'une paix complète entre le monde arabe et Israël si cet État, de son côté, accepte d'évacuer tous les territoires arabes occupés depuis 1967, à commencer par les territoires palestiniens de Cisjordanie, de Gaza et de Jérusalem-Est. Ce qui ne fait aucun doute, c'est que le prince dispose, pour parler ainsi, de toute l'autorité requise: frère septuagénaire de l'octogénaire souverain régnant Fahd, il est son héritier désigné (puisqu'en Arabie Saoudite, la succession se déroule ne se déroule pas de façon verticale, patrilinéaire, mais horizontalement, d'un fils à l'autre du fondateur de l'État, le fameux Ibn Saoud qui régna jusqu'en 1953); mais surtout, en qualité de régent d'un Fahd diminué par la maladie, il est le véritable chef de l'État et du gouvernement saoudien.
Les premières réactions, dans le monde entier, ne pouvaient qu'être favorables. Cela fut le cas, évidemment, de la bureaucratie centrale de l'Union européenne, acquise par principe à toute démarche diplomatique ou politique arabe, et qui, de surcroît, semble s'être concertée avec Riyad avant la déclaration princière. Cela a été le cas également, aux États-Unis, de l'administration Bush. Et enfin, last but not least, les Israéliens ont salué à leur tour les propositions saoudiennes, par la bouche du premier ministre Ariel Sharon et par celle, plus enthousiaste, du ministre des Affaires étrangères, Shimon Peres.
Mais quelle est réellement la portée des propositions d'Abdallah? Le quotidien israélien de gauche Haaretz a observé que "l'idée était bonne, mais que le plan n'existait pas". L'idée - la paix totale contre tous les territoires - est bonne, si bonne que les Saoudiens, en fait, l'avaient déjà avancée voici vingt un ans, en 1981. A l'époque, celui qui allait devenir le roi Fahd occupait exactement le rang et la position dévolus aujourd'hui au prince Abdallah: héritier de la Couronne et chef effectif du gouvernement, en raison de l'état de santé du souverain d'alors, le roi Khaled. Le 8 août 1981, dans un plan en huit points diffusé en marge d'un sommet arabe réuni à Fez, au Maroc, le prince Saoud al-Fayçal, ministre saoudien des Affaires étrangères avait demandé l'évacuation de tous les territoires arabes occupés en 1967 et la création d'un État palestinien souverain "en l'espace de quelques mois". Mais le 5 novembre 1981, pendant une conférence de presse conjointe tenue à l'issue d'une visite officielle à Riyad de Lord Carrington, le ministre britannique des Affaires étrangères, Fahd avait apporté la précision suivante: "Il ne saurait y avoir de paix sans reconnaissance mutuelle des droits de chaque partie". Ce qui avait immédiatement été interprété comme une promesse de reconnaissance de l'État d'Israël en cas d'acceptation du plan saoudien.
Le problème, c'est que Riyad s'était bien gardé, par la suite, de confirmer son ouverture par le moindre acte concret. Or dans le monde réel où vivent les États, y compris l'Arabie Saoudite, la paix, quelles qu'en soient les conditions, s'obtient à travers des gestes de bonne volonté, des négociations, des rencontres. C'est ainsi que l'Égyptien Anouar el-Sadate avait procédé en 1977, et que firent ensuite, avec plus ou moins de sincérité et de constance, tous les gouvernants arabes désireux de conclure avec l'État juif un accord de coexistence informelle, un accord-cadre en vue d'une normalisation ou un traité de paix, du roi de Jordanie à l'émir du Qatar, du roi du Maroc au sultan d'Oman, du président algérien au président mauritanien. Sans parler de Yasser Arafat, qui se prêta, comme on sait, aux rituels des accords d'Oslo et de leurs succédanés. Les Saoudiens, eux, ne firent rien en 1981 ou après 1981, en dépit du précédent de Sadate ou de l'euphorie relative qui suivit les accords d'Oslo en 1993 et en 1994, et n'ont pas indiqué qu'ils feraient mieux aujourd'hui. Sharon a eu beau jeu de les mettre au pied du mur, en affirmant que tout pouvait en effet être discuté entre Israël et l'Arabie saoudite, mais seulement dans le cadre d'une rencontre officielle, publique, médiatisée, entre les dirigeants des deux pays.
Mais dira-t-on, quel avantage les Saoudiens pourraient-ils retirer d'une initiative de paix qui ne conduirait pas à la paix, ou du moins qui n'en aurait même pas l'apparence ? Là encore, le précédent de 1981 est à méditer. L'Arabie saoudite avait alors le sentiment d'une double menace. A Washington, l'administration Ronald Reagan venait d'arriver au pouvoir: un président ouvertement pro-israélien et un gouvernement où les pro-israéliens résolus, sans être majoritaires, étaient nombreux. En Iran, la révolution islamique de Ruhollah Khomeini venait de balayer le régime du chah et prêchait le renversement de tous les monarques musulmans. Pour Riyad, il semblait alors nécessaire de raffermir les liens avec les États-Unis pour faire face au danger iranien, et cela semblait devoir passer par des déclarations platoniques en faveur d'une paix israélo-arabe.
Aujourd'hui, le royaume saoudien est dans une situation analogue. A Washington, c'est l'administration George W. Bush qui est au pouvoir: la première, dans toute l'histoire des États-Unis, où les pro-israéliens soient en position d'influence, et surtout, depuis le 11 septembre 2001, la première où le dogme d'une alliance ou d'une amitié entre l'Amérique et la monarchie wahhabite soit remis en question. Dans le monde arabe et islamique, le phénomène Ben Laden et la tentation d'un djihad sans merci contre l'Occident, mais aussi contre une monarchie saoudienne jugée trop inféodée à l'Amérique, ont atteint la magnitude que l'on sait. Riyad a donc entrepris de contre-attaquer auprès de l'opinion américaine, y compris auprès d'une opinion juive américaine supposée toute puissante, en relançant les mots magiques de processus de paix. Mais en même temps, l'Arabie Saoudite rend service à la cause palestinienne et donc, par ricochet, à la cause benladeniste, en appuyant de sinueuses manoeuvres diplomatiques destinées à embarrasser les stratégies américaine et israélienne, à commencer par celles de l'Union européenne et certains membres de cette Union. Elle paie donc un double racket, pour assurer sa survie dans tous les cas de figure. C'est là une différence marquante avec la situation de 1981, où les Saoudiens, n'espérant aucun arrangement avec l'Iran de l'imam Khomeini, ne payaient que la seule Amérique.
L'un dans l'autre, il est évident que la prétendue offensive de paix saoudienne a été en fait l'un des facteurs déclenchants de l'escalade de la violence au Moyen-Orient. La stratégie de Yasser Arafat est connue, et a été décryptée avant même l'échec des pourparlers de Camp David, en juillet 2000, et le début de la nouvelle intifada, en septembre de la même année. Première phase: de provocation en provocation, amener les Israéliens à des représailles à grande échelle contre les Palestiniens. Deuxième phase: demander et obtenir une intervention internationale, de type Kosovo, sous l'égide de l'Onu et avec la participation de l'Union européenne. Troisième phase: à travers cette intervention, obtenir l'annulation de facto des accords d'Oslo, qui, en dépit de leurs nombreuses incertitudes ou faiblesses, présentaient du moins l'intérêt, du point de vue israélien, de garantir la légalité a priori du contrôle de la Cisjordanie, de Gaza et de Jérusalem-Est, et imposer à l'État juif un diktat de type munichois.
Jusqu'à présent, cette stratégie a échoué, grâce au commandant en chef de Tsahal, Shaul Mofaz, grâce à Sharon, grâce au ministre israélien de la Défense, le travailliste Binyamin Ben-Eliezer, et grâce à la lucidité exceptionnelle des principaux responsables stratégiques américains, de Donald Rumsfeld à Condoleezza Rice. Mais les échecs passés n'empêchent point, aujourd'hui, une nouvelle tentative à un niveau plus haut de duplicité diplomatique, assuré par les Saoudiens, et de violence sur le terrain.
En guise de conclusion provisoire, je voudrais remarquer qu'on peut déceler dans la démarche saoudienne une faille importante, qui permettrait de la retourner à l'avantage d'Israël et d'une vraie paix. Abdallah a bien parlé, en effet, d'une paix impliquant l'ensemble du monde arabe en échange d'une évacuation des Territoires. Quel aveu! C'est reconnaître qu'il n'y a point, qu'il n'y a jamais eu, de conflit israélo-palestinien mais un conflit israélo-arabe ou accessoirement israélo-islamique. C'est légitimer le contrôle israélien en Cisjordanie, à Gaza, dans la région de Jérusalem et sur le Golan. Car si ces territoires sont peu de choses par rapport à Israël, Israël, lui n'est pas grand chose par rapport au monde arabe et islamique; et se trouverait face à ce monde, sans les territoires en question, dans une position stratégique intenable.
La paix passera incontestablement par le droit de tous les peuples du Moyen-Orient à l'autodétermination, à l'indépendance nationale et à la sécurité: les Israéliens, les Arabes, et les autres nations ou ethnies. Mais les Palestiniens ne sont que des Arabes parmi les Arabes. Ce n'est pas moi qui le dis, mais Abdallah ibn Abdelaziz, régent et prince héritier d'Arabie Saoudite.
© Michel Gurfinkiel, 2002
Diffusé sur RCJ le 3 mars 2002.
Par Mailroom (Mailroom) le mardi 05 mars 2002 - 04h55: |
Recherche d'anciens camarades des années 1955-56
Bravo pour votre site, je ne suis pas de confession juive mais cela fait 45 ans que j'ai quitté la Tunisie. Je cherche à contacter des personnes ( ou leurs enfants ) ayant été scolarisées à l'école primaire de MEGRINE dans les
années 1955 à 1957, ainsi que des familles de MEGRINE SIDI-REIZIC.
De mémoire voici quelques noms : Rita VELLA; ALESSI; ANGELOTTI; PERTUZIO; BIJON; AMATO; ANGELO; MORIES; ARNOULET; ROCH; BRUN; ARNOULET; LANGELO; VALENTIN; ARBAUD; BEZINA: Julien DI FRANZA
Pardon pour les oublis
"Pierre JOTHIE"
pierrejothie@free.fr
Par Anonyme (Anonyme) le mardi 05 mars 2002 - 04h46: |
TONTON ISAAC
Je ne sais pas si vous vous en souvenez, de ce temps pas si lointain, six mois tout au plus, où les morts, palestiniens ou israeliens avaient un nom dans cette horrible guerre qui n'en finit pas de nous endeuiller...
Ils n'en ont plus, ce sont simplement des nationalités qui s'alignent dans des funérailles politiques et haineuses.
Je connais en tout cas le nom de l'une des victimes de l'embuscade d'Ofra. Il s'appelait Itzhak Didi, c'était un de ces êtres charmants comme nous en connaissons tous, amical, heureux de son destin qui pourtant avait été mouvementé, cultivé, drôle et surtout plein d'amour de son prochain.
Je le connaissais bien, c'était mon oncle chéri, mon parrain aussi et même un peu un autre père, lui qui n'avait jamais été marié et n'avait pas eu d'enfants.
Alors puisqu'il est mort anonymement, simple cadavre bâché devant les caméras de télévision pour qui il n'était qu'une pièce de plus dans le décompte sordide, puisqu'on l'enterre aujourd'hui en Israel où je ne me rendrai pas, j'aimerais simplement que vous fassiez circuler ce message afin que son nom et son souvenir soient évoqués avec tendresse et sans esprit de haine, simplement pour qu'on se rappelle que derrière chaque mort, juif ou arabe ou les deux comme c'était le cas de mon oncle, il y avait une vie qu'on a ôtée et qui pourtant rendait notre humanité plus riche et plus belle.
Daphne
Par Toufiq (Toufiq) le mardi 05 mars 2002 - 04h18: |
la graine de la violence arrosee du sang amer de la revenge ne fera jamais pousser l'arbre de la paix.si on seme du ble on ne recoltera pas du riz.
quelle partie insensee et meurtriere de ping pong entre des fous qui ne peuvent pas ou ne veulent pas lacher les raquettes.l'arbitre est aux abonnes absents.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 05 mars 2002 - 02h58: |
On dit aussi
Chfayfi Hakouni (Mes lèvres me démangent)
Barakala Fik
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 05 mars 2002 - 02h53: |
Albert Oucan Khou Yenfa' Khou, Had Mayebki A'la Bou ( Si un frère peu soutenir son frère personne ne pleurera son père)
La Idahek Ou La Ibaki ( ni il fait rire ni il fait pleurer )
Le Qlem Ia'li Leqdem (Le crayon élève les talons)
Essbeb Ikasser Esslassel Lefqar ( Les circonstances brisent les chaines de la misère.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 05 mars 2002 - 02h39: |
Je ne comprends pas pourquoi que Sharon ne s'adresse pas à la population palestinienne en leur demandant de choisir entre la paix ou la guerre.
Sharon dit qu'il ne veut pas casser la coalition actuelle, alors qu'il demande au peuple israëlien par un référendum:
1-S'ils veulent qu'il continue à maintenir la coalition et continue à jouer le ping pong avec la vie des Palestiniens en sacrifiant la vie des Israëliens
2- Si le peuple veut qu'il négocie avec les Palestiniens
3- Si le peuple veut aller en guerre contre les Palestiniens
Laissons ainsi le choix aux 2 peuples
Par Toufiq (Toufiq) le mardi 05 mars 2002 - 02h10: |
effectivement les dictons ou leur applications changent avec le temps.avant quand l'oeuil gauche
clignait tout seul soit on recevait un bonne nouvelle ou la visite de quelqu'un,maintenant cela veut dire qu'on va bientot recevoir un email ou lire un commentaire interessant sur harissa.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 05 mars 2002 - 01h08: |
Albert voilà comment moi j'ai appris ce dicton:
MA YEHOSS EJAMRA, OUCAN ELI YA'FESS ALHA
Ne sent la brûlure que celui qui écrase la braise.
Tu vois comment les choses changent d'une gération à l'autre
Et toi tu l'avais appris comme ça
Elli yafèch yal zemra..ouhè elli hass èl hraquââ. Celui qui foule la braise, c'est lui qui sent la brulure.)
Par Bingo (Bingo) le mardi 05 mars 2002 - 00h05: |
Je presume que ces vers sont en faveur de Monsieur Simeoni?
Par cohen victor (Bekhor) le lundi 04 mars 2002 - 23h58: |
Il est un homme d’une sagesse orientale, s’exprimant avec des phrases paraissant fatales
Son verbiage d’une qualité monumentale, semait parmi les lecteurs des lacunes mentales.
Sa confabulation lui portait souvent préjudice car ses allusions manquaient parfois d’appendice.
On le traite de cynique ce bonhomme venu d’Afrique, mais ses intentions parfois fantastiques
Sont le reflet de la compassion qu’il pratique envers ses prochains identiques.
La victoire a deux balles, qu’on lui a annoncé, n’est en réalité qu’une équivoque prononcée.
N’aimant pas la désapprobation recensée, il sème un amour fraternel souvent partagé.
Par Admin (Admin) le mardi 05 mars 2002 - 04h39: |