Par Admin (Admin) le jeudi 11 octobre 2001 - 12h43: |
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Par Anonyme le mardi 09 octobre 2001 - 12h24: |
« La seule joie des gens mariés est d’assister au mariage des autres…Une joie diabolique »
Ramon GOMEZ DE LA SERNA.
DRUNKRAT
Par Anonyme le mardi 09 octobre 2001 - 12h06: |
Dear Sir,
Do you know where I can find more (biographical) data about Jules Lellouche, cause I have a painting of this painter that I like very much.
Yours truly,
J.M.Aben
The Netherlands
jer.aben@planet.nl
Par Anonyme le mardi 09 octobre 2001 - 12h03: |
Alain Finkielkraut: le nouveau bouc emissaire
Déconcertant progressisme
par Alain Finkielkraut
Trois semaines ont passé depuis le 11 septembre et déjà la stupeur se dissipe,l'examen de conscience succède à l'épouvante. A peine entrons-nous dans la période du deuil que la pensée progressiste s'affaire à instruire le procès de la puissance américaine.
Il n'y a pas de fumée sans feu, dit le Tribunal, pas de révolte sans bon motif, pas de terrorisme pour rien. L'Amérique n'a été si spectaculairement frappée que parce qu'elle est coupable. Coupable d'étrangler la population irakienne par un embargo qui a déjà fait des centaines de milliers de morts. Coupable de n'avoir pas signé le protocole de Kyoto visant à réduire l'émission de gaz à effet de serre. Coupable d'avoir fabriqué les talibans, et Oussama Ben Laden. Coupable de faire payer aux Arabes un crime commis par les Européens, en leurimposant l'Etat d'Israël. Coupable, quand il ne l'instrumentalise pas, d'humilier l'islam. Coupable de ne pleurer que ses propres victimes et de se laver les mains de catastrophes bien plus graves, comme le génocide du Rwanda, en les baptisant "crises humanitaires". Coupable donc de surenchérir par le racisme lacrymal sur son impérialisme sans pitié.
On se prend à penser, devant ce réquisitoire monumental, qu'il n'existe sur la terre aucune injustice dont le pays de la bannière étoilée puisse se dire innocent. Tout le mal lui revient, à lui et à nous, nous Occidentaux, nous Européens, dans la mesure où nous faisons bloc avec les Américains et où nous versons les mêmes sanglots discriminatoires.
Une telle agressivité pénitente reconduit, en l'inversant, l'arrogance qu'elle dénonce. Pour le bien de l'humanité hier et pour son plus grand malheur aujourd'hui, l'Occident prend toute la place : l'autre n'est qu'un comparse, un figurant, un ectoplasme ou, au mieux, un symptôme.
Mais pour qu'un tel raisonnement tienne le coup, il faudrait d'abord que les deux seules actions militaires entreprises par l'OTAN depuis sa création n'aient pas eu pour objectif de rompre avec l'inertie de la communauté internationale ou, plus précisément, des non-Occidentaux face à la situation désespérée des peuples majoritairement musulmans de Bosnie-Herzégovine et du Kosovo. Et puis, il faudrait surtout que la colère islamiste soit dirigée contre ce que l'Occident a de pire : la rapacité financière, la consommation effrénée, l'égoïsme du bien-être. Or les commanditaires des pieux carnages du 11 septembre et leurs admirateurs n'ont aucunement le souci de remédier à la misère du monde ou de sauvegarder la planète : le réchauffement climatique est le cadet de leurs soucis. Ils haïssent l'Occident non pour ce qu'il a de haïssable ou de navrant, mais pour ce qu'il a d'aimable et même pour ce qu'il a de meilleur : la civilisation des hommes par les femmes et le lien avec Israël.
C'est le destin claquemuré qu'ils font subir aux femmes, le mépris où ils les tiennent et le désert masculin de leur vie qui rend fous les fous de Dieu : fous de violence, fous de hargne et de ressentiment contre le commerce européen des sexes, contre l'égalité, contre la séduction, contre la conversation galante ; fous, enfin, du désir frénétique de quitter la terre pour jouir de l'éternité dans les jardins du Paradis où les attendent et les appellent des jeunes filles "parées de leurs plus beaux atours".
Quant au lien profond, malgré toutes les vicissitudes, entre les Etats-Unis et Israël, il a donné assez de crédit au président Carter pour négocier, en 1978, la restitution à l'Egypte de sa souveraineté sur le Sinaï, et assez de poids au président Clinton, vingt-deux ans plus tard, pour convaincre le gouvernement d'Ehoud Barak de partager Jérusalem suivant la formule : tout ce qui est arabe est palestinien, tout ce qui est juif est israélien. Shlomo Ben Ami, le principal négociateur israélien de Camp David, a raison d'écrire : "Aucun pays européen, aucun forum international n'a fait pour la cause palestinienne ce que Clinton a fait pour elle."
Mais son chef, Yasser Arafat, voulait plus que ce partage de Jérusalem et que la création d'un Etat palestinien. Avec la revendication du droit au retour, il s'est placé dans la perspective de la lente absorption de l'Etat juif parl'islam. Peut-être n'est-il pas trop tard. Peut-être les protagonistes seront-ils capables ou contraints de s'arracher à la logique de l'affrontement malgré l'amertume et la méfiance accumulées. Une chose est sûre, en tout cas :aux yeux des fondamentalistes high-tech qui ne désirent rien tant que la montée aux extrêmes, l'Amérique incarne la menace du compromis, c'est-à-dire du sacrifice pour la paix d'une partie de la terre de Palestine.
C'est donc mentir que d'expliquer et de justifier la fureur du sentiment anti-américain par le soutien indéfectible de la Maison Blanche à la
politique "fasciste", "colonialiste", voire "génocidaire" d'Israël. Quant à prétendre, comme tel expert en géostratégie entendu l'autre jour à la télévision, que le mouvement palestinien, pacifique et démocratique dans l'âme, est contraint aux attentats-suicides par la brutalité de l'occupant, c'est délivrer un brevet de légitime défense au combattant de la guerre sainte qui affirme que "tout juif est une cible et doit être tué".
Le nom d'Israël accablé de la responsabilité de l'antisémitisme dans sa version meurtrière et de la terreur qui s'est abattue sur le sol américain : voilà où nous en sommes ; voilà ce que le progressisme a fait de la pensée critique ;voilà ce qu'est devenue l'aptitude à se mettre soi-même en question et à sortir de son exclusivisme qui a longtemps constitué le trait distinctif del'Occident, et sa force spirituelle.
Alain Finkielkraut est professeur à l'Ecole polytechnique.
© Libération, 2001.
Par cohen victor (Bekhor) le mardi 09 octobre 2001 - 12h06: |
moi aussi je suis un peu taurch.
surtout ne pas avoir honte et se faire soigner.
Par cohen victor (Bekhor) le mardi 09 octobre 2001 - 12h05: |
Pour que la malentendance cesse d'être vécue de manière honteuse, il est temps que des personnalités fassent leur coming-out.
Sortez vos oreilles
Par JÉRÔME GOUST
Jérôme Goust est journaliste-écrivain malentendant.
Le jeudi 19 avril 2001
Quatre à 5 millions de personnes, soit 7 % de la population française, sont atteintes de baisse auditive. Si la plupart d'entre elles sont des «seniors», 40 % ont moins de 55 ans! De tels chiffres paraissent invraisemblables: «Mais où se cachent-ils? Il n'y a pas 4 millions de sourds en France!» Personne ne prétend cela; pour une raison bien simple: il ne s'agit pas de sourds, mais de MALENTENDANTS.
Sujet tabou, les problèmes d'audition sont largement occultés dans notre pays. Pourquoi cette mise sous silence?
La première raison est psychologique. L'ouïe est LE sens par lequel nous communiquons avec nos semblables. Si l'humain a inventé la parole, il a développé une audition qui permettait de distinguer les subtilités du langage. La baisse auditive frappe donc au cœur de notre humanité: ce n'est pas l'individu en tant que tel qui est touché, ce sont ses capacités relationnelles. Malentendant, mon problème n'est pas à l'égard de moi-même: c'est lorsque je veux VOUS rencontrer que la machine grippe. Ce n'est pas pour rien que deux catégories ont droit à un même type d'humour populaire, personnifié par le Pr Tournesol (ce «sourd-dingue»): malaudition et troubles psychiques se partageant l'honneur de frapper au cœur de la communication... la peur suscite le silence ou le rire, deux formes de déni.
La seconde raison est historique. Jusqu'à ces dernières années, seuls le fatalisme et la résignation permettaient de supporter cette fuite des décibels. Si les premiers verres correcteurs furent apportés au Moyen Age par la médecine judéo-arabe, si on savait opérer de la cataracte sous les pharaons... les premiers cornets acoustiques performants n'apparurent qu'au XVIIIe siècle et les premières aides auditives (sommaires) après la Seconde Guerre mondiale.
Physiologiquement et psychologiquement, la baisse auditive conduisait rapidement à la surdité, c'est-à-dire à l'impossibilité de communiquer: «Il m'est interdit de trouver un délassement dans la société des hommes, dans les épanchements mutuels (testament de Beethoven).»
Ces temps sont révolus!
Tout cela est maintenant du passé! Les malentendants ne sont plus des sourds. Depuis quelques années, une fantastique révolution technologique a brisé les frontières de la communication.
Nous sommes la première génération dans l'histoire de l'humanité à pouvoir garder une vie sociale en étant malentendants.
A nous de faire de cette possibilité une réalité par un coming-out: il faut que les malentendants sortent du silence.
Je m'adresse aux femmes et aux hommes connu(e)s: politiques, écrivain(e)s, journalistes, femmes et hommes de communication, actrices et acteurs, artistes, etc. Il y a parmi vous des malentendant(e)s qui portez (le plus discrètement possible) des appareils auditifs.
Pour que la baisse auditive cesse d'être vécue de manière honteuse comme une tare, montrez-la... VOS OREILLES NOUS INTERESSENT! Plus que tous autres, c'est vous qui pouvez contribuer à renverser l'image sociale de ce problème (1).
Pour que la société prenne en charge les problèmes d'audition, pour que le progrès soit partagé par tou(te)s. Pour positiver la malentendance et inventer la vie qui va avec.
Jérôme Goust est journaliste-écrivain malentendant.
(1) La quatrième Journée nationale de l'audition a lieu le 16 mai.
Par cohen victor (Bekhor) le lundi 08 octobre 2001 - 12h39: |
Recette du SABAYON A LA TUNE. pour 10 personnes.
Comme vous devez le savoir le vrai Sabayon a l'italienne n'a rien a voir avec le Sabayon a la Tunisienne.
Le SABAYON a la Tune a ete transforme certainement pour des raisons de KASHROUT.
Le premier est a base d'oeufs, creme fraiche, et de GRAPPA(eau de vie).
Quand au notre il est a base d'oeufs, et d'huile et eau de fleurs d'oranger ( MEAZOR).
Ingredient:
6 oeufs
20 centilitres d'huile de tournesol.
130 a 170 grammes de sucre en poudre.(doux ou moins doux)
2 sachets de sucre vanille (sucre roux de preference).
1 cuillere a cafe d'eau de fleurs d'oranger.
Quelques amandes rapees.(poudre d'amande)
Separer dans deux differents saladiers les blancs et jaunes de nos 6 oeufs.
Battre les jaunes d'oeufs comme pour faire des oeufs battus, en ajoutant le sucre, le sucre vanille et l'eau de fleurs d'oranger.
Battre les blancs en neige tres ferme, verser les blancs dans le saladier des jaunes et melanger le tout, tres delicatement avec le paumes et les doigts des deux mains, en soulevant du bas vers le haut en sens rotatif.
quand le melange est devenu homogene de consistance et de couleur mettre le saladier au congelateur environ 1/2 heure. puis les sortir du congelateur bien melanger notre SABAYON et le verser dans des un moule a cake ou dans des petits moules individuels, on soupoudrera d'amandes rapees et on replacera au congelateur.
Le soupoudrage d'amandes rapees peut se faire aussi au moment de servir.
Le SABAYON a la Tune peut se servir evec un morceau de gateau appele harissa aux amandes.
Si vous l'avez fait dans un moule a cake, le couper en tranches avant de servir.
bon appetit.
Par Anonyme le lundi 08 octobre 2001 - 12h37: |
Le 5 OCTOBRE A STAINS, LA HAINE viscérale des juifs ET UN ATTENTAT ANTISEMITE A LA SYNAGOGUE !!
DERNIERE NOUVELLE TRES IMPORTANTE : VIGILENCE
Les Municipalités communistes de la banlieue parisienne en perte de vitesse et en quête d'électorat ( les beurs sont une belle cible!!), incitent avant les prochaines élections, comme les verts ... à la haine des sionistes, donc des juifs ... A Stains, pendant deux mois, une banderole anti-sioniste était suspendue devant la Mairie de Stains , nous avons laissé faire !
RESULTAT
HIER SAMEDI 5 OCTOBRE 2001, UN ATTENTAT GRAVISSIME A TOUCHE LA SYNAGOGUE DE STAINS (93) !!!
NATURE DES FAITS
On a lancé un cocktail molotov contre le mur d'enceinte de la synagogue, le mur est noir, la police a diligenté une enquête et prélevé les débris, heureusement il n'y a ni victimes, ni dégats.
La TV et la presse n'en feront comme d'habitude qu un petit entrefilet, normal !!, à nous de nous défendre
Ce n'est pas un hasard, c'est une résultante de la politique de fond, à des fins électorales, menée par les anti-mondialiste (José Bové) les verts, les trotskistes, l'extrême droite et les communistes.
Déjà à Vitry, une exposition photo antisioniste s'est déroulée dans l'indifférence des autorités communautaires.
Nous vous demandons d'être très vigilents, et de rouspéter avec véhémence auprès des mairies concernées et ce par TOUS LES MOYENS !
Dès aujourd'hui Ecrivez par fax ou lettre , Téléphonez,
Pilote du parti communiste pour l'immigration !! (drôle de titre !!)
Monsieur Michel BEAUMALE
Maire de Stains
6 Avenue Paul Vaillant Couturier
93240 STAINS
Tel : 01 49 71 82 27
Fax: 01 48 29 56 43
Bernard-Cohen Hadria
Par Anonyme le lundi 08 octobre 2001 - 12h20: |
D'après http://www.Israelinsider.com www.Israelinsider.com, l'hypothèse la plus probable du crash de la Siberian Airlines N°1812 serait qu'un commando terroriste se serait emparé de l'avion en déviant sa route et qu'il aurait été volontairement abattu par un missile à la demande des Etats-Unis, pour éviter qu'il n'atteigne une cible sensible. La désinformation qui s'ensuivit proviendrait des américains qui ne souhaiteraient pas qu'on assimile leur "terrorisme" avec celui subi par les israéliens depuis de très nombreuses années!
D'où le "coup de gueule" de Sharon, pour mettre les pendules à l'heure....
Albert Soued
Par Anonyme le lundi 08 octobre 2001 - 12h12: |
Intifada, une année, déjà...
Par Elie Barnavi
Publié le 27 septembre 2001, page 17
Juillet 2000. Dans le huis clos de Camp David, Yasser Arafat, Ehud Barak et leurs collaborateurs sont réunis sous la houlette du président Clinton.
Il s'agit de démêler en quelques jours un écheveau vieux d'un bon siècle et que dix ans d'un laborieux processus de paix n'ont fait qu'entamer.
La tâche est rude, peut-être impossible. Certes, n'en déplaise à la mode en vogue dernièrement, il se passe à Camp David des choses intéressantes.
On y met sur la table des sujets jusque-là tabous, les implantations, Jérusalem. Les Israéliens avancent des propositions inédites, que le monde entier, on l'a un peu oublié depuis, tient pour audacieuses. Mais la rencontre est mal préparée, mal engagée, handicapée par les relations tendues entre les deux principaux protagonistes. Ceux-ci se trouvent en outre entravés par d'énormes difficultés internes: le Palestinien est arrivé à Camp David en traînant les pieds, peu assuré d'une opinion publique exaspérée par les lenteurs d'un processus interminable qui n'a pas tenu ses promesses; l'Israélien, qui a poussé à la roue, est venu, lui, soutenu par la plupart de ses concitoyens mais avec une courte majorité parlementaire. Sans même parler de la volonté d'aboutir - j'y reviendrai -, les ingrédients du succès, à savoir le temps, la confiance et le soutien des mandants, manquent cruellement. C'est l'échec.
Pour le président de l'Autorité palestinienne, la question qui se pose dès lors est comment améliorer une offre israélienne à l'évidence insuffisante. L'objectif est toujours de signer une paix en bonne et due forme avec Israël, mais en obtenant de meilleures frontières, une souveraineté mieux définie à Jérusalem et une forme quelconque de reconnaissance de ce fameux «droit au retour», faute de quoi il sera incapable de «vendre» cette paix à son peuple. Comment s'y prendre? En recourant à la violence révolutionnaire. La première intifada l'a emmené à Madrid, la seconde l'emmènera à Taba. Avec ce calcul en tête, il déclenche les troubles du 29 septembre (je dis bien 29 septembre, car la veille, jour de la visite d'Ariel Sharon sur le mont du Temple, il ne s'est pratiquement rien passé), tout en continuant de négocier. Le but, n'est-ce pas, est de parvenir à de meilleurs termes, pas de tout faire capoter. En effet, au milieu des violences, la négociation va bon train. A la base de Bolling déjà, le 23 décembre, Arafat a endossé le plan Clinton, qui dessinait les paramètres acceptables pour les deux parties d'un accord de paix éventuel. Enfin, à Taba, en janvier, il obtient ce qu'il souhaitait: un Etat palestinien d'un seul tenant sur l'essentiel des territoires occupés par Israël depuis la guerre des Six-Jours, une compensation territoriale pour le reste, la souveraineté sur les quartiers arabes de Jérusalem, un règlement honorable du problème des réfugiés. Il sait qu'il vient de saisir l'histoire à la gorge. L'Etat palestinien souverain qu'il n'aurait jamais obtenu des frères arabes, il l'a obtenu de l'ennemi sioniste, les armes à la main. Ce n'est pas tout le rêve palestinien; mais, en homme d'Etat, il sait que le rêve doit donner du sens à la réalité, jamais s'y substituer.
Il reste un problème de taille: Ehud Barak, que tous les sondages donnent perdant aux élections imminentes, a-t-il les moyens politiques d'honorer ses engagements? Sans doute pas, mais tant pis. En forçant la signature ne serait-ce que d'un accord-cadre, en annonçant urbi et orbi que Taba a tenu ses promesses et en ordonnant la cessation immédiate des violences ainsi que des discours de haine qui émaillent la presse palestinienne, il préserve l'avenir. Il dispose de l'appui de l'Administration américaine, de l'Union européenne et, surtout, de l'ensemble du camp de la paix israélien. Il sait, en effet, que c'est là que se trouvent ses meilleurs alliés. Désormais, quel que soit le gouvernement en place à Jérusalem, il lui sera impossible de faire comme si Taba n'avait jamais existé...
Le lecteur aura compris: si le résumé de Camp David relève de l'histoire, tout le reste est, hélas, de l'histoire-fiction. Reprenons le fil des événements. On s'en souvient peut-être, le monde entier tient responsable de l'échec de Camp David le président de l'Autorité palestinienne. De fait, l'homme s'est contenté de dire non à tout ce qu'on lui proposait, sans se donner la peine d'avancer ses propres souhaits. Et, une fois l'échec consommé, la question qu'il se pose n'est pas «comment améliorer l'offre israélienne», mais comment se sortir de ce mauvais pas? Autrement dit, comment rétablir en sa faveur une opinion internationale déchaînée et une opinion palestinienne amère et manifestement hostile à tout compromis?
La réponse sera la même que dans le scénario-fiction: en recourant à la violence révolutionnaire. Mais le point d'aboutissement devra être différent: si la première intifada l'a emmené à Madrid, la seconde l'y ramènera. Ce qu'il cherche désormais, c'est l'internationalisation du conflit. Il a deux modèles en tête, à ses yeux complémentaires: le Sud-Liban, où, pense-t-il, une poignée de combattants déterminés ont forcé pour la première fois Tsahal à une retraite sans accord; et le Kosovo, où la communauté internationale est intervenue sur le terrain pour faire le ménage et donner la victoire à la partie la plus faible.
Il n'est donc pas question de reconnaître les acquis de Taba: ses lieutenants ont beau affirmer qu'on n'a jamais été aussi proche d'un accord, lui préfère traiter Barak de fasciste devant le gratin du monde assemblé à Davos. Il n'est pas question non plus d'arrêter l'incitation à la haine, qui atteint des sommets inconnus auparavant. Et il n'est surtout pas question de mettre un frein à la violence, mais de l'intensifier.
Une année plus tard, le bilan se révèle désastreux. A l'heure où j'écris ces lignes, au lendemain du dernier en date, et peut-être le premier sérieux, des cessez-le-feu qui ont jalonné de leur impuissance «l'intifada des mosquées», 815 malheureux, dont 625 Palestiniens, ont payé de leur vie la stratégie bizarre du raïs. L'économie palestinienne est en lambeaux, la misère règne, le pays est livré aux bandes armées qui font dans la surenchère nationaliste et/ou intégriste. Arafat a certes conservé son aura de chef incontesté du mouvement national palestinien; mais des voix de plus en plus nombreuses et fortes s'élèvent dans son propre parti pour demander où les mène cet homme dont les intentions sont devenues opaques pour ses plus proches conseillers.
C'est que rien ne s'est passé comme il l'entendait. Remarquable tacticien, il s'est révélé piètre stratège. Comme tous les détenteurs du pouvoir absolu, Arafat comprend mal les ressorts de la démocratie libérale, en confondant volontiers divergences d'opinion et débilité du corps social.
Or le terrorisme non seulement n'a pas entamé la cohésion de la société israélienne, il l'a renforcée. En faisant contre lui l'unité des Israéliens, il perdait tout espoir de gagner cette guerre à l'usure.
Surtout, l'internationalisation du conflit s'est révélée une chimère.
Pourquoi? D'abord, parce que Sharon a refusé de se couler dans le moule que les Palestiniens, le monde arabe et une opinion mondiale avide de clichés ont préparé à son intention. Déterminé à éviter le piège qu'on lui tendait, le gouvernement d'Union nationale a dosé ses ripostes en limitant autant que faire se pouvait les dégâts. Ensuite, parce que les Etats-Unis ont refusé de jouer à ce jeu-là et que, sans eux, il n'y a pas d'internationalisation possible. Aussi, parce que la violence, physique et verbale, a fini par se retourner contre ses auteurs. L'entreprise de délégitimation d'Israël a tourné court à Durban. Et l'on peut dater du 1er juin, date de l'attentat-suicide de la discothèque de Tel-Aviv, le commencement de la fin de «l'intifada des mosquées».
Enfin, le raïs a joué de malchance. Les bombes volantes qui ont enseveli des milliers d'innocents à New York et à Washington l'ont mis du même coup devant le dilemme qu'il a si mal résolu voici une décennie, au moment de la guerre du Golfe. Cette fois, il semble avoir mieux choisi son camp. Or ce choix implique l'abandon irrévocable de la violence et le retour à la négociation, aussi longue, âpre et difficile soit-elle.
Il est malheureux qu'il ait fallu tant de douleur pour allumer une petite lueur d'espoir; il serait criminel de la laisser s'éteindre.
Elie Barnavi est ambassadeur d'Israël en France.
Par Anonyme le lundi 08 octobre 2001 - 12h58: |
Demande recettes à base de fèves
Bonjour
Nous venons de consulter votre site recette mais les noms de plats nous sont inconnus. Pouvez-vous nous dire lesquels se font à partir de fèves (plus particulièrement des entrées froides) Merci. Cordialement.
Stéphane Binhas
stephane.binhas@wanadoo.fr
.
Par Citron (Citron) le lundi 08 octobre 2001 - 12h46: |
de la poudre aux yeux
les grandes puissances ont commencees 1 lutte contre le terrorisme
bush promer de frapper tous ceux qui vont aider les trroristes ......tous le monde sait que londre cache et couve loge et laisse en libre sirculation les terroristes magrebeins pourtant jugees pour des crimes ds leurs pays (exp le terroriste rached gannouchi et ses acolytes..)
ils amassent de largent tiennent des meetings en toute liberte.
ce double language doit cesser
ils doivent extrader les terroristes de chez eux avant de frapper a 4000 km et essayer de tuer 1 salot sans passer par 1 tribunal ou par lonu
.....he w. tu ne vas pas frapper londre .... :))
czaara@yahoo.fr
Par Anonyme le lundi 08 octobre 2001 - 12h30: |
Bin Laden has won
By Joseph Farah
© 2001 WorldNetDaily.com
I didn't think it was possible that U.S. Mideast policy could get any worse than it was under former President Clinton.
I was wrong.
It just got worse - a lot worse.
In fact, viewed through the eyes of the Islamic world, President Bush's announcement that he favors the creation of a Palestinian state as part of a comprehensive Middle East peace initiative can only be seen as a huge strategic victory for terrorism.
I don't know how it can be interpreted any other way.
The message is loud and clear: Keep up the violence, intensify it, keep raising the stakes, make the U.S. pay a price and your demands will be met - eventually.
I'm sick to my stomach over the U.S. sellout of Israel. There would never be a good time for this, but following the dramatic Islamic terror attack on the U.S. makes it appear the U.S. is caving to pressure. You know why it looks that way? Because, like it or not, we are.
I know we're all supposed to rally around our commander in chief right now, but what Bush has done is unconscionable. It will not achieve the goals it is designed to achieve. We are not dealing with honorable adversaries in the Middle East. We are dealing with murderers, liars, cheats, thieves.
This is not a conflict between two reasonable sides with legitimate grievances. It's a conflict between right and wrong, good and evil.
Bush's decision will result in more bloodshed beyond our imaginations. It will result in more terrorism in the U.S. - much more deadly even than what we witnessed Sept. 11.
This is worse than negotiating with terrorists. This is unconditional surrender to them.
It no longer matters what the U.S. does to Osama bin Laden in Afghanistan.
He has already won the war. He has managed to enshrine himself as the hero to hundreds of millions of radical Muslims worldwide whose goal is - and always has been - the destruction of the Jewish state and, ultimately, Islamic hegemony over the whole world. Alive, he will be a hero. Dead, he has achieved martyrdom status.
The Bush administration has decided to make its bed with the totalitarians in the Arab world at the expense of the one bastion of freedom in the Middle East - Israel.
What the administration will soon learn is you can never win by making concessions to these tyrants. No concession is ever enough. It took many in Israel a long time to figure this out.
We are rewarding terrorism - pure and simple.
Remember who will lead this new Palestinian state for life. His name is Yasser Arafat, the father of modern-day terrorism - a man with lots of
American blood on his hands.
For 30 years of hijackings, Olympics murders, execution of U.S. diplomats, suicide bombings, torture of dissident Arabs, the cold-blooded killings of Israelis and more, the reward for Arafat is the presidency of his own state.
With this model in mind, isn't it time to consider giving bin Laden a state, too?
But as any astute observer of the Middle East can tell you, a Palestinian state was never the final goal in the first place. So this is not the end.
The Palestinian state was, at best, an interim step toward the annihilation of the state of Israel. It's only a strategic step to chip away at the Jewish state's security, to make it vulnerable, to make an Arab military victory more achievable.
President Bush has also moved the world a step closer to nuclear war with his incredibly ill-advised decision. Because, as Israel's conventional security is compromised by land concessions and co-existence with yet another hostile state, its reliance on the nuclear option increases.
I'm sure they are celebrating in Arafat's headquarters today. I'm sure they are shooting guns in the air in bin Laden's lair. I'm sure the Iranians, the chief sponsors of international terrorism are grinning broadly in Tehran.
I'm sure there are smiles on the faces of leaders in Damascus and even Baghdad today.
This is a war on terrorism?
It seems more like a victory for terrorism.
It seems more like an international celebration of terrorism.
It seems more like surrender to terrorism.
Par David (David) le lundi 08 octobre 2001 - 12h58: |
j'aimerais connaitre la recette du sabayon tunisien mon petit fils l'adore et je voudrais lui en faire merci
Par Anonyme le lundi 08 octobre 2001 - 12h53: |
Vous savez pourquoi les tunisiens sont les rois de la longévité ?
Tout simplement car:
« Pour vivre longtemps, il faut souvent mourir de rire » (Alexandre et Lev SHARGORODSKY).
Et, en cette matiére, on est médaille d'or !!!
DRUNKRAT.
Par Anonyme le lundi 08 octobre 2001 - 12h01: |
Site des DIX COMMANDEMENTS.
Salut j'ai fait un site sur les DIX COMMANDEMENTS. Si tu veux voir.
http://www.lesdixcommandements.fr.St
Shavoua Tov, et Shana Tova
"Zanzouri Thierry" tzanzouri@wanadoo.fr
Par Anonyme le lundi 08 octobre 2001 - 12h59: |
L'Amour
L'amour ne donne rien qui ne vienne de lui
L'amour ne retire rien qui ne soit de lui
L'amour ne captive pas davantage qu' il n'est captivé
Car l'amour ne vit que dans l'amour.
radzou@yahoo.fr
Par Anonyme le lundi 08 octobre 2001 - 12h53: |
Incursion brutale des forces de sécurité sur la pelouse du stade de France (info # 010710)
Par Ilan Tsadik © Metula News Agency
Hier soir, lors d¹un match de football opposant l¹équipe de France à la sélection algérienne, les forces de sécurité de l¹État français ont brutalement chargé des jeunes musulmans, qui avaient entrepris de manifester, spontanément et à mains nues, leur dégoût pour l¹assassinat de centaines de milliers des leurs par l¹armée d¹occupation française.
Déjà, lors de l¹exécution des hymnes nationaux, les immigrés maghrébins n¹avaient pu retenir leur douleur et l¹avaient exprimé, en huant copieusement la Marseillaise, ainsi que le nom de chacun des joueurs tricolores, lorsqu¹il était appelé par le speaker du stade de France.
Ces immigrés, forcés de fuir la misère, laissée derrière lui par l¹occupant colonial métropolitain, sont désormais contraints de rechercher les moyens de leur subsistance quotidienne, dans le pays qui est responsable de la mise à sac de leur propre patrie. C¹est souvent, dans des conditions insupportables de paupérisme, que la population musulmane doit quémander sa subsistance, sur cette étrange terre d¹accueil. Plus que tout, c¹est cependant le racisme omniprésent en France, ainsi que l¹absence de chances sociales égales à celles des européens, qui sont les plus difficiles à supporter pour cette population déracinée de 7 millions d¹âmes.
Ahmed Abuker, un de ces gavroches d¹à peine quinze ans, exhibait fièrement, hier soir, les traces des coups de matraques, laissées par les gardes républicains sur son petit corps meurtri. Les yeux rougis par la douleur mais aussi par les vexations continuelles, qu¹il doit subir dans ce pays où il est pourtant né, Ahmed trouvait encore la force nécessaire pour soulever ses petits doigts et faire le signe de la victoire. Derrière lui, une foule de musulmans estimée à 50.000 personnes scandait sans relâche : " on a gagné, on a gagné ! "
Bien sûr, sur le terrain, la loi du sport avait donné la victoire aux bleus mais pouvons-nous réellement parler de loi du sport, alors que les Français sont champions du monde et disposent des meilleures conditions d¹existence et d¹entraînement, alors que les footballeurs algériens, sont réduits à se débattre, dans des conditions de guerre civile, séquelles de la toujours très récente et sanglante occupation française.
Au goût des organisateurs européens, ce match, le premier entre une sélection française et l¹équipe d¹Algérie, depuis les massacres et les tentatives d¹épuration ethnique, qu¹avait entrepris Paris en Algérie, devait commémorer la " normalisation " des relations entre les deux peuples.
C¹était sans compter sur l¹orgueil blessé des déracinés d¹Algérie, qui n¹ont pas hésité à s¹exposer aux coups des forces de la répression, estimées hier soir à près de 1500 vigiles, policiers, placeurs, stadistes et CRS, soutenus par les moyens de contrôle électronique du dernier cri.
Le hurlement de douleur des musulmans était hier plus fort que tous les moyens qui avaient été mis en place, afin que cette partie prenne les allures " d¹un match comme les autres ! "
Dans les tribunes du gratin, à quelques mètres du Premier ministre Lionel Jospin, on distinguait les visages souriants de politiciens français, ainsi que d¹anciens officiers, qui avaient participé d¹une manière ou d¹une autre, à ce qu¹ils appellent encore " les événements d¹Algérie ".
A ce jour, lesdits " événements " d¹Algérie, ont coûté la vie à près de 700.000 maghrébins ! Pour mieux comprendre les sentiments des jeunes musulmans, hier, sur la pelouse du stade de France, nous vous donnons, ci-après, le score macabre d¹un autre match, à la manière de l¹Agence France Presse, du PAF et des journaux et autres magazines français. Pour mieux comprendre la colère des gavroches algériens, nous vous donnons les éléments de comparaison de ces statistiques, en face de ceux du conflit israélo-palestinien, qui défraye pourtant la chronique ces
derniers mois :
Algérie : 700.000 morts musulmans, 30.000 européens, soit un mort européen pour 23 musulmans !
Palestine : 677 morts arabes, 176 Israéliens, soit un mort israélien pour 3,8 arabes.
Algérie : Parmi les 30.000 morts européens, 27.000 étaient des militaires, occupés à " réprimer " la population locale et 3.000 étaient des civils !
Palestine : Parmi les 176 morts israéliens, 47 faisaient partie des forces de sécurité israéliennes 6 seulement ont été tués lors d¹actions offensives et 41 en train de s¹opposer à des attaques arabes. 129 Israéliens civils ont perdu la vie lors d¹attaques suicides ou d¹attentats revendiqués par les organisations palestiniennes. Ils ne présentaient aucune menace violente pour la population arabe.
Algérie : Parmi les 700.000 morts algériens, moins de 70.000 mille faisaient partie, d¹une manière ou d¹une autre, de la résistance armée.
Palestine : Parmi les 677 morts arabes, 587 ont été tués alors qu¹ils s¹adonnaient, sans provocation de la part des Israéliens, à des agressions de toutes sortes, contre les Israéliens. Parmi les 90 autres victimes palestiniennes, 62 faisaient partie d¹organisations s¹adonnant à l¹assassinat de civils et 28 sont des victimes innocentes du conflit.
En une seule journée de mai 48 et dans le bourg de Sétif uniquement, les Français ont tué 8400 musulmans, soit 12 fois et demi de plus, que de Palestiniens durant toute la seconde Intifada !
Algérie : Le nationalisme algérien n¹a jamais menacé la France métropolitaine.
Palestine : Près de 80% des Palestiniens déclarent vouloir l¹éradication de l¹État d¹Israël et 98% d¹entre eux, exigent le " retour de 5 millions de réfugiés de 48 " en Israël, condition qui signifie également l¹éradication de la souveraineté politique de l¹État hébreu.
Algérie : La France ne revendiquait aucun lien historique antérieur avec la terre algérienne.
Palestine : La terre d¹Israël constitue, sans le moindre doute objectif, le creuset de la nation israélienne. Il en va ainsi, au moins depuis 1500 ans, avant même l¹apparition de l¹Islam !
Algérie : Les Français d¹Algérie disposaient d¹un territoire métropolitain, où ils pouvaient immédiatement exercer leurs prérogatives politiques souveraines, dans le cas où ils quitteraient l¹Algérie.
Palestine : Israël est le seul territoire souverain, sur lequel s¹exerce l¹autodétermination du peuple d¹Israël.
Algérie : La raison unique de la présence des Français en Algérie était d¹ordre économique. Ils y jouissaient des richesses de la terre algérienne, ainsi que d¹une main d¹¦uvre bon marché et privée de droits politiques.
Palestine : La raison de la présence des Israéliens sur ce territoire est d¹ordre national uniquement. Les conditions économiques qu¹ils y rencontrent sont plus défavorables, que celles existant en Europe ou aux États-Unis.
Algérie : 39 ans après les accords d¹Evian, les termes racistes sont encore très fréquemment employés par les Français de souche, afin de s¹adresser à la population immigrée. On notera parmi ces expressions choisies : raton ratonnade, melon, bicot, bounioule.
Palestine : Il n¹existe aucun terme raciste, à l¹encontre des Arabes, dans la langue hébraïque.
Jusqu¹à maintenant, et en ne considérant que la période de 1954 à 1962, en comparaison de la deuxième Intifada, il est mort plus de 1033 fois plus d¹Algériens durant les " événements " que de Palestiniens ! 1033 fois !
Par Anonyme le lundi 08 octobre 2001 - 12h45: |
Pour la genealogie
bonjour,
vs pourrez trouver d'autres renseignements ds les livres de Lionel Levy: La Nation Juive Portugaise, Livourne- Amsterdam- Tunis l'Harmattan 1999
et ds les links du site d'harissa.com section genealogie
Cordialement,
CS
Par Anonyme le lundi 08 octobre 2001 - 12h41: |
There are apparently some French (Moroccan,Algerian) guys who hate Israel, and built a so-called "Israeli" site named "Israelonline".
http://israelonline.multimania.com/index.htm
"Multimania" seems to be a French host.
Par Anonyme le dimanche 07 octobre 2001 - 12h42: |
Chers amis Harissiens, je vais etre a New York 18-22 Octobre, et j'aimerais
rencontrer quelques-uns, si possible. Si vous voulez me joindre,
e-mail: cmimi@hotmail.com. Merci
Par Anonyme le dimanche 07 octobre 2001 - 12h49: |
Chanson française
Hommage à la chanson française : "Avec le temps"
Josée Moonens chantera Piaf, Brel, Ferré, Trenet, Barbara, Brassens, Prévert...
Au théâtre Beit Leissine (bamartef Haélione)
jeudi 11 octobre, 21h00
jeudi 25 octobre, 21h00
(entrée : 50 nis)
Alain Ramette
Directeur des cours
Institut français de Tel-Aviv
a.ramette@ambafrance-il.org
Par Anonyme le dimanche 07 octobre 2001 - 12h17: |
QUELQUES EXPRESSIONS DE CHEZ DRUNKRAT
BARRRRAAAAAD YA OUTCHANE
"Rafraichis ya l'assoifé"
HALLI BACH TWALLY
"Sucre ta bouche pour revenir"
IJJJA MINNNA THOUK EL BENNNNA
"Viens par la goute les douceurs"
CRISTAAAAAAAAL YA KAYAFA
"Cristals les fumeurs" pour celui qui avait demandé le cri du marchand de tabac.
BOUGA, FANTA, COCA COLA, BIEN GLACE GAZOUUUUUUUZ
ESSSSSKHOOUUUN WEL BNIN YA
"chaud et bon"
ARCHAN DE BOTEIL ARCHAND DE JORNOS
"marchand de bouteilles, marchand de journeaux"
TAXI BIBI YEMCHI WE JY FIL ACHRA WE NOSS YEMCHI WE BOSS (intraductible)
BISTA BISTA
"pizza pizza"
Amicalement.
Nejib
Par Anonyme le dimanche 07 octobre 2001 - 12h47: |
Bonjour, je suis née SPIZZICHINO ( fille de Nino et de Simone Uzan ) à Tunis en 1945. D'après Paul Sebag, c'était un sobriquet de brocanteur (livournais ). Où puisje essayer de reconstituer l'arbre généalogique. Ma famille paternelle est assez rare. j'aurais plaisir à dialoguer. Amitiés. PM.
paulemathonnat@wanadoo.fr
Par Mena (Mena) le dimanche 07 octobre 2001 - 12h44: |
Israël USA : " reset " (info # 010610)
par Stéphane Juffa © Metula News Agency
" Inacceptable ! " C'est ainsi que la Maison blanche a qualifié les déclarations d'Ariel Sharon. D'ailleurs, les grognements des hauts responsables américains étaient si violents, en réaction au discours du Premier ministre israélien, qu'ils sont parvenus jusqu'à Métula !
L'Administration US a d'autre part affirmé quelque chose de très pertinent : " lorsque éclate un différend entre alliés, il existe d'autres voies d'en discuter, que de l'étaler sur la place publique ". Ils ont sans doute raison, à Washington, mais si Sharon n'avait pas secoué le cocotier, à la façon d'un bulldozer, personne ne l'aurait entendu !
De plus, nous sommes suffisamment bien placés, à la Ména, pour vous dire que le chef de l'État hébreu, " avait déjà utilisé toutes les autres voies " et de manière intensive, en plus, avant de taper du poing en public, mais que ses appels diplomatiques étaient restés totalement ignorés du Président Bush.
Ajoutons à cela, que le manque de communication directe, au plus haut niveau, entre ministres israéliens et américains, depuis les attentats du 11 septembre, avait quelque chose d'anormal, dans les relations entre les deux alliés. Et ce manque de communication, alors que Bush a reçu à Washington les dirigeants de dizaines d'autres nations, était à porter à la charge des Américains. Ils avaient un peu trop tendance à considérer le soutien israélien comme " dans la poche " et d'oublier, que nous nous trouvons aux premières loges pour le feu d'artifice et que cette situation justifiait des égards particuliers !
Cela est vrai, surtout lorsqu'on sait, que Sharon a mis le paquet, pour soutenir l'effort de guerre américain. A Métula, on vous dit que des sections entières du Mossad travaillent sur les requêtes du FBI et de la CIA et que le Premier ministre a donné des instructions personnelles, afin qu'Israël mette toutes ses " relations particulières " au service de la " liberté immuable ". De plus, l'État hébreu a fait de la place pour des soldats américains dans ses propres casernes, et sans aucune condition, aidant ainsi l'Amérique à remplir des missions pointues de soutien tactique, depuis le sol de notre pays.
Dans l'autre sens, l'attitude de l'establishment US était dédaigneuse et l'information ne parvenait pas à Jérusalem en temps réel ! Ensuite, il y a eu cette affaire de " proposition d'une solution politique imposée, pour le différend israélo-palestinien " et ce fut la goutte qui a fait déborder le vase. Pour Sharon, il est bien sûr impossible de prouver la tenue de ces discussions à Riad et au Caire mais cela ne veut pas dire non plus, qu'elles n'ont pas eu lieu.
Dans leur empressement à courtiser les régimes arabes, les Américains en oubliaient même de remarquer, que l'Autorité palestinienne ne respectait en aucune manière les cessez-le-feu, auxquels elle avait souscrit. Plus que cela, les E.U semblaient se satisfaire des seules déclarations d'intention de Yasser Arafat et devenaient insensibles aux cas des trop nombreux civils israéliens, qui sont tombés ces derniers jours, sous les attentats de la terreur palestinienne. De Métula, nous rappelons d'ailleurs à nos abonnés, que le terroriste qui a tué trois civils innocents à Afula, faisait partie du Fatah, le parti même de Yasser Arafat ! (Des fois que Tf1, l'AFP, Enderlin, le Monde etc. auraient omis ce " détail d'ordre technique ").
Voilà, plus ou moins bien reconstitué, l'environnement politique, qui a amené les conseillers de M. Sharon à tenter un coup d'esclandre, afin de remettre les pendules des relations israélo-américaines à l'heure ! En fait, à Washington, on a surtout été irrité du choix du moyen, plus que par la teneur du discours de Sharon. Et puisque le chef d'État israélien a joué l'incident public, on lui a rendu la monnaie de sa pièce et on a fait le coup des " vierges effarouchées ", le scénario du " Oh surprise ! ".
Les besoins stratégiques des deux alliés étant ce qu'ils sont, leurs brouilles ne peuvent être que superficielles, croyez-en la longue expérience des analystes de Métula ! Ce qui n'empêche pas les " partenaires " de se faire des petits coups tordus, et de se mettre parfois des coups de pieds sous la table. Comprenez : nous n'affirmons pas que l'irritation était tout à fait feinte, ni dans l'excitation de Sharon, pas plus que dans les l'ire de Bush et de Powell ! Non, ce que nous disons, c'est que ces formes d'expression pseudo spontanée, sont instrumentales de mouvements politiques calculés. En d'autres termes, l'expression publique d'un ras-le-bol, est aussi un moyen codifié pour faire changer les choses !
Bon. Après les échanges de mots désagréables, après la scène de ménage, les alliés se sont rapidement réconciliés. Il n'a pas fallu plus d'un coup de fil, entre Sharon et Powell, afin d'émettre, dans les deux capitales, des communiqués d'amour parfait, à tel point, que l'observateur peu avisé de ce genre d'effets de scène, n'a aucune chance d'y retrouver son latin !
Alors, me direz-vous, Sharon nous a fait la grande scène du quatre pour rien ? Que non, vous répondrai-je, son message est parfaitement passé et la situation actuelle est formidablement différente, de celle qui primait avant la fameuse conférence de presse ! En fait, et pour rester clairs et précis, dans le style de la Ména, le bruit de la brouille a servi de paravent parfait pour deux modifications tangibles de la situation :
a) Israël a rompu le cessez-le-feu, qu'elle observait unilatéralement, à la demande de l'Administration américaine depuis le 11 septembre et les USA n'ont rien trouvé à redire, à " l'incursion " de Tsahal dans deux quartiers arabes de Hébron, pas plus qu'au renouveau des éliminations ciblées de Palestiniens, ayant participé à des assassinats de civils israéliens.
b) Colin Powell et Yoschke Fisher (mais ou se cache encore ce vieil Hubert ?), ont littéralement pris d'assaut le téléphone de Yasser Arafat, pour l'obliger à respecter un cessez-le-feu absolu avec Israël. Cette fois-ci, ils ont averti le Raïs palestinien, que s'il continuait à prendre les occidentaux pour des bananes, ces mêmes occidentaux allaient modifier en profondeur leur relation avec l'Autorité palestinienne. Il semblerait d'ailleurs, que Powell et Fisher aient été suffisamment précis, puisque Arafat a fait lui-même une déclaration, ce soir sur la TV palestinienne, pour ordonner à toutes les composantes palestiniennes, de respecter scrupuleusement la trêve. A Métula, nous notons que pour la première fois depuis longtemps, Arafat a menacé le Jihad et le Hamas de mesures de rétorsion, au cas où elles refuseraient d'obtempérer.
Gageons que Powell a expliqué à Arafat, que Sharon était vraiment " énervé " et que les USA ne pouvaient plus en faire façon. De là à exiger du Président de l'Autonomie, " qu'il cesse de donner de bonnes raisons au Premier ministre, de régler lui-même le manquement des Palestiniens à respecter le cessez-le-feu ", il n'y a qu'un pas, que les abonnés futés de la Ména auront franchi depuis longtemps !
Est-ce que vous comprenez, maintenant, comment on appuie sur le bouton " reset ", dans les relations internationales ?
Par Davideden (Davideden) le dimanche 07 octobre 2001 - 12h44: |
J'ai la chance dene pas vivre en France. Cela dit je suis sous le choc devant la position anti-Israelienne, anti-juive et anti-Americaine des medias ecris.
Cette derniere semaine uniquement le journal "Le Monde" a publie 2 dessins qui auraient rendus la propagande Nazi fiert.
J'ai envoye des messages sur le forum mais ils sont "detruits" rapidement et je suis maintenant interdit pour "antisemitisme"!!
J'ai donc cree un forum sur Yahoo pour discuter l'aspect anti-juif des medias Francais et specifiquement "Le Monde".
Je vous invite tous a publier sur mon forum les articles et dessins anti-juifs que vous trouvez dans la presse et ailleurs.
Merci
David Eden
justeden@hotmail.com
http://clubs.yahoo.com/clubs/antisemitismedanslemonde
Par Toufiq (Toufiq) le samedi 06 octobre 2001 - 12h53: |
Fait historique tres peu connu:
LA PAIX D'AL WAWAH
En marge des premiers accords de camp david,La CRC (Confederation des Rockers du Caire) et le RUI
(Rockers Unis d'Israel) ont conclu un accord de paix permanente dans la petite oasis egyptienne d'Al Wawah.
Par Anonyme le samedi 06 octobre 2001 - 12h18: |
Bougie 11 octobre a 20h
Peut-être l'avez vous déjà reçue. Voici une inititative lancée ce matin sur Internet qui mérite d'être renvoyée au maximum de personnes de votre entourage.
Symbole de ce que nous refusons, les événements de New York et leurs conséquences appellent de chacun d'entre nous une réponse forte. Pour les soutenir et dire à nos amis américains notre compassion et notre peine, je vous propose de construire une action mondiale:
Le 11 octobre à 20h, heure locale de chacun des pays, chaque foyer pourrait allumer le maximum de bougies sur son immeuble, son jardin, sa rue.
Les satelittes retransmettront l'image et nous compteront. Si cette action vous agrée, merci de rerouter d'urgence à la totalité de votre carnet d'adresses ce message.
Merci.
Muriel Elkaim
elkaim@pharma.univ-montp1.fr
Par Admin (Admin) le dimanche 07 octobre 2001 - 12h33: |