Par Admin (Admin) le mardi 12 mars 2002 - 07h08: |
Par ALBERT SIMEONI (Albert) le lundi 11 mars 2002 - 16h16: |
Je voudrais que nous ayons tous une pensée pour les victimes du 11 septembre à New York.
Par Janet (Janet) le lundi 11 mars 2002 - 16h02: |
Cette derniere analyse est entierement a mon gout et,J'ajoute :
IT IS HARD FOR THE HAPPY TO UNDERSTAND MISERY (QUINTILLIAN )plus
SET THIS HOUSE IN ORDER (LA BIBLE )plus
BE SURE YOU'RE RIGHT THEN GO AHEAD (CROCKETT) je ne sais pas si vous voyez des rapports avec l'article de Charlotte,moi, j'en vois et tout notre monde beneficiera en les lisant et en les mettant en pratique pour essayer de guerir les fous,qui atteignent,en effet un nombre que meme les ordinateurs n'arriveront pas a compter...Ou allons-nous ????
Par Charlotte (Charlotte) le lundi 11 mars 2002 - 15h19: |
De Moise et ses Dix Päroles ils int fait les Dix Commandements, une espece de reglement interieur pour le pensionnat des Oiseaux
De Yehouchoua bar Myriam, qui avait '' je ne suis pas venu pourajouter ou retrancher un Yod de la Thora, ils ont Jesus Christ, et ont completement transforme son enseignement
De Karl Marx ils ont reussi a nous donner Sraline et ses goulags
D'Einstein ils n'ont retenu que la bombe d'Hirochima
Freud au secours reviens ils sont devenus fous
Par Henri Bueno (Henri) le lundi 11 mars 2002 - 12h46: |
Emile Chalom
Ton initiative de t'addresser aux palestiniens pourait avoir plus d'effets si tu pouvais la dire en arabe.
En tous cas je t'en felicite
Une des causes de toutes les guerres c'est le manque de communication et de comprehension.
Les israeliens n'ont pas fait l'effort d'apprendre l'arabe, quand aux palestiniens ils enseignent malheureusement la haine a leurs enfants.
Chalom et brahka
Par Michka (Michka) le lundi 11 mars 2002 - 12h38: |
Victoria, ta suggestion est lumineuse. Je joins ma voix à la tienne pour commencer à boycotter cette vipère de gisèle halimi. Comme tu le vois et n'ayant aucun respect pour cette féministe qui en réalité aurait voulu posséder un pénis, je supprime les majuscules de son nom et prénom.
Bien sur qu'elle a déplacé la haine de sa mère, des hommes sur ses corréligionnaires. En psychanalyse on appelle çà un déplacement. Et pour ceux qui ont lu "fritna", il y a une histoire
de frère mort et lui, possédait le pénis en question donc l'amour sans condition de Fritna.
Je pense que cette gisèle-sorcière, n'ayant aucune crédibilité parmi nous, en a trouvé une auprès de personnes peu recommandables. Au royaume des aveugles, les borgnes sont rois. Une psychanalyse sert à libérer ses émotions. En a-t-elle??? J'en doute.
Il lui manque, une chose essentielle, c'est cette capacité à se remettre en question, donc l'intelligence qui consiste à reconnaitre ses erreurs et faire son mea-culpa.
Elle n'a donc plus sa place sur Harissa. Au mieux
sur la liste harissienne des personnes peu recommandables. Dommage qu'on ne puisse pas y insérer benbassa et brauman.
Par Bazooka (Bazooka) le lundi 11 mars 2002 - 12h37: |
Bonjour Mr. Tubiana,
J'ai beaucoup apprecie votre recit sur la Jerusalem de 1948.
Vous demandez ce qui a change depuis 53 ans ?
Alors, je vous donne mon avis sur la question :
Jerusalem est capitale unifiee de l'Etat d'Israel depuis 1967. Et, premiere constatation : peu importe le statut qu'elle a, Jerusalem sert malheureusement toujours de decor a la violence terroriste. Mes pensees vont ici aux victimes du Cafe Moment de Rehavia et a leur famille.
Meme si ce ne sont plus les Jordaniens qui tirent sur les passants/travailleurs, ce sont les Palestiniens qui mitraillent la foule ou se font sauter. Et d'ailleurs pas seulement a Jerusalem !
En outre, l'obscurite ne nous protege plus de grand chose, c'est meme souvent le soir que les attentats sont perpetres.
Je vais vous dire, Mr. Tubiana, ce qui a vraiment change depuis 53 ans : c'est la possibilite qu'a chaque Juif de la planete de ne plus vivre courbe, mais de vivre en etre humain digne, la tete haute, et de pouvoir dire, comme vous le direz tres prochainement a la fin de Pessah, que "L'an prochain a Jerusalem", ce n'est plus un mythe, mais une REALITE !
Cela valait bien que vous et Robert, au peril de votre vie, aident a reconstruire un peu de notre belle capitale !
A propos, vous ne nous dites pas ce qu'il est advenu de votre ami Robert, est-il toujours parmi nous ?
Bien a vous, bonne fetes de Pessah.
Par GOOSTE (Gooste) le lundi 11 mars 2002 - 12h03: |
En effet VICTORIA , G.Halimi m'a absolument révolté par certaines de ses positions .j'ignorais que son nom figurait parmis les tuns célèbres .c'est vraiment un comble .
cordialement
Par GOOSTE (Gooste) le lundi 11 mars 2002 - 11h44: |
Emile
Depuis quand t'adresses tu a des robots ?
actuellement ces robots sont certains de leur victoire .c'est pour cela qu'ils y vont de bon cœur ..et que je mitraille et que je 'm'éclate ' tant pis je deviendrais un martyre de la cause !
il est tant qu'israel les secouent , pour qu'ils retrouvent le sens de leur réalité .
merci
Par Anonyme (Anonyme) le lundi 11 mars 2002 - 09h10: |
Merci d'informer vos amis a propos des demarche de Subaru-Fuji.
La société Fuji, a retiré israel de la carte des pays qu'elle remet à tous les clients qui ont fait un achat.
oui, les magasins Fuji près de chez vous donne une carte du monde a ses clients sans israel!!!!!
Selon Fuji, tout simplement Israel n'existerait pas. Et ceci étant adressé surtout aux clients des entités Arabes. Je suis sure qu'une carte sans israel a l'interieur fait très, très plaisir à ces derniers.
Ceci est un fait sans précédent qui démontre que l’appel au boycott d'Israel émanant des entités arabes porte ses fruits. Beaucoup d'israeliens appellent aujourd'hui aux boycotts des cameras , des batteries, etc...
Par chance les alternatives existent, comme par exemple les films Kodak et agfa, - les cameras Nikon, olympus, canon, samsung etc...
Je considère personnellement que les actions de fuji sont véritablement des insultes a Israel, et jusqu'à que les gens de chez Fuji ne s'excuse pas et réimprime une nouvelle carte, je n'achèterai plus de produit de cette marque et je vous encourage a faire pareil!
Aussi, prière de faire passer le messages autour de vous.
je suis sure qu'acquérir du pouvoir peut faire arriver des miracles, et même 3 à 5 % de réduction dans les ventes les amènera a reconsiderer la question.
aussi il est important de noter, Subaru est Fuji,
prenez cela en considération.
jogiarmon@yahoo.fr
Par Mailroom (Mailroom) le lundi 11 mars 2002 - 08h56: |
LA STRATEGIE DE SHARON
PAR MICHEL GURFINKIEL
Sharon en fait-il trop, n'en fait-il pas assez, en fait-il à la fois trop et pas assez ? Ce sont les questions que l'on entend aujourd'hui en Israël et dans le reste du monde. Elles sont souvent posées dans un esprit malveillant. Elles ne font parfois que refléter un désarroi réel devant une situation qui ne cesse de se dégrader. Ainsi, beaucoup d'Israéliens ou de non-Israéliens seraient prêts à accepter l'idée d'une guerre totale, dans le grand style de 1956, 1967 ou 1973, contre des organisations palestiniennes elles-mêmes engagées dans un djihad total. Mais pour l'instant, cette guerre n'a pas été déclenchée. Israël frappe sans doute de plus en plus fort, mais n'assène pas, apparemment, de coups décisifs. Et l'ennemi, pilonné mais intact, semble contre-attaquer avec de plus en plus d'audace, de virulence et d'efficacité. D'où le soupçon : Sharon a-t-il vraiment un plan, sait-il où il va, ou se borne-t-il, comme l'écrit Joel
Marcus, un éditorialiste du journal israélien de gauche Haaretz, à pratiquer une sorte de fuite en avant ?
Des questions stratégiques n'ont de sens que par rapport à un contexte stratégique. Avant de juger Sharon, rappelons dans quel contexte stratégique et géopolitique Israël se situe aujourd'hui.
La première donnée, c'est qu'Israël, en 2002 comme auparavant, est voué à des guerres dites asymétriques. L'Etat juif est quantitativement faible (petite population, petit territoire, pas de ressources naturelles) face à un monde arabe quantitativement fort (forte population, territoire extrêmement vaste, importantes ressources naturelles). Il ne peut donc assurer sa survie qu'à travers une large supériorité qualitative, voire même une supériorité qualitative absolue : cohésion politique, haut niveau socio-éducatif, importante avance technologique, mais aussi et surtout capacité de prendre l'initiative en matière militaire, de frapper quand il veut et où il veut, sur le terrain et dans les conditions qu'il aura lui-même choisis. Aujourd'hui comme autrefois, Israël ne peut prendre le risque d'une seule défaite majeure.
La seconde donnée stratégique et géopolitique, c'est qu'Israël a perdu, en grande partie, cette capacité d'initiative dont dépend sa survie même.
Certes, il dispose toujours de moyens humains, techniques et technologiques lui permettant de frapper n'importe où au Proche et au Moyen-Orient. Mais il n'a plus le droit ou la licence politique de les utiliser. Tant que le monde arabe dans son ensemble refusait de reconnaître son existence et affirmait être en état de guerre avec lui, Israël pouvait arguer en permanence d'un droit de légitime défense, et non seulement riposter à des attaques mais également mener des attaques préventives. Mais dans la mesure
exacte où un processus de paix a été engagé, d'abord avec l'Egypte, en 1977, puis avec l'ensemble des pays arabes, lors de la conférence de Madrid, en 1981, et enfin avec l'OLP de Yasser Arafat, lors des accords d'Oslo de 1993, Israël a perdu la présomption de légitime défense et donc
sa capacité à agir à sa guise. Si le processus de paix avait été sincère, ou si du moins les très grands puissances, notamment les Etats-Unis ou
l'Europe, avaient veillé à ce que les engagements des uns et des autres fussent tenus, cette régression aurait été tolérable. Malheureusement, le processus a été une duperie, au moins en ce qui concerne les principaux
voisins et adversaires d'Israël, l'Egypte de Moubarak, la Syrie de la dynastie Assad et l'Autorité palestinienne de Yasser Arafat. Israël se trouve donc aujourd'hui dans une situation stratégique que l'on peut que qualifier de tragique : celle d'un homme bien armé et bien entraîné qui ne peut réagir quand on assassine ses enfants sous ses yeux et quand on prépare l'incendie de sa maison.
La priorité absolue d'Israël, depuis septembre 2000, a été de restaurer au moins en partie sa capacité d'initiative et donc sa capacité de dissuasion.
Ehud Barak était probablement très bien placé pour le faire : les offres de paix qu'il venait de faire à la Syrie et aux Palestiniens lui avaient donné un important crédit politique. Il n'a pas voulu ou osé agir. En février 2001, Sharon le remplace. Cet homme que l'on présente habituellement comme un bulldozer sans états d'âme est en fait un stratège subtil, formé à
l'école britannique, qui a toujours misé sur des attaques indirectes, élégantes comme on dit en jargon militaire. Contrairement à Barak, il est
résolu à frapper. Mais il sait qu'une attaque frontale et massive conduira à un fiasco politique : les Etats-Unis, même avec un président aussi amical que George W. Bush, seront contraints d'accepter le principe d'une
médiation ou d'une intervention internationale qui sauvera, une fois de plus, Arafat et ses organisations. Il opte donc pour une riposte graduée, par touches successives, impliquant à l'occasion des retours en arrière.
L'essentiel, à ses yeux, c'est que cette riposte - qui coûte cher en vies humaines, en fatigue, en temps - ait bien lieu, qu'elle se poursuive,
qu'elle croisse en intensité, qu'elle n'essuie pas de veto massif de la part des Etats-Unis.
Par rapport à ces objectifs, Sharon n'a pas varié depuis un an. Les premiers résultats ne sont pas insignifiants. Mais il faut regarder la
vérité en face : c'est une guerre inexpiable qui se déroule aujourd'hui au Moyen-Orient. Israël est condamné à la gagner. "En ce jour, je ferai des généraux d'Israël comme un brasier au milieu des arbres, et comme une torche dans une meule... Et Jérusalem se maintiendra, assise dans
Jérusalem" (Zacharie, XII, 6).
Diffusé sur RCJ le 10 mars 2002.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 11 mars 2002 - 03h46: |
Souvenirs de Jérusalem
Lorsque nous vivions en Tunisie, mon cousin Robert et moi jouions ensemble à attraper les oiseaux. Sa mère était restée veuve, après que son mari était mort de ses bléssures de la guerre 1914-1918. Quand son père souffrait encore de ses blessures, il me disait: "J'éspère que mon fils et toi ne connaîtront jamais les guerres". Hélas pendant la deuxième guerre mondiale Robert combattait déja les Allemands et moi je me trouvais sous les bombardements des avions Messerschmidt et Stuka. Puis pendant des années je ne l'avais plus vu.
En 1948/49 je le rencontrai à Jérusalem. Nous avions tous deux trouvé un travail dans la fabrication de blocs pour la construction, nous étions alors bien payés. J'avais fini par habiter avec sa mère et lui à Katamon. Le seul défaut de ce travail était qu'il fallait aller à pied tous les jours de Katamon jusqu'à l'autre côté de la ville aussi exposait aux soldats jordaniens. Alors nous devions passer par la gare qui était déserte. Auprès du mur de la gare il y avait tout le temps un gardien qui dirigeait le va-et-vient des habitants de Katamon. Les soldats de la légion arabe étaient perchés sur les murailles de l'ancienne ville, ils visaient et tiraient sur chaque passant.
Je me souviens du rôle de ce gardien israëlien. Son devoir était d'observer les soldats de la légion arabe et quand il jugeait le moment approprié de passer il nous faisait signe avec son bras de courir vite vers l'autre côté où il y avait un autre mur qui nous protégeait. Sur dix passants il y avait un parmi nous qui était touché, parfois mort parfois bléssé par les balles des soldats jordaniens, nous retournions pour le tirer mort ou vivant de la vue des ces soldats. Nous vivions alors sans crainte ni peur, alors que notre vie était tout le temps en danger. Nous faisions face à notre journée avec espoir et courage. Le soir au retour du travail le gardien cédait son rôle à l'obscurité qui était devenue notre gardien protecteur. Je me demande qu'est-ce qu'il y a de changer depuis 53 ans?
Par Mena (Mena) le lundi 11 mars 2002 - 02h44: |
AFP : Mauvaise langue ! (info # 011003)
Par Elyakim P. Simsovic ã Metula News Agency
Voici une information communiquée par l'AFP :
"Un Palestinien a réussi à pénétrer, cette nuit, dans une colonie du sud de la bande de Gaza. Avant d'être abattu, il a tué quatre Israéliens et en a blessé vingt-deux, dont six grièvement, dans une attaque à l'arme automatique et à la grenade. Le mouvement radical islamiste palestinien Hamas a revendiqué cette attaque." (08/03/2002 - 6:57)
Analysons :
Un Palestinien a réussi à pénétrer, cette nuit – l'expression "a réussi" laisse entendre qu'il s'agit d'un exploit. Bien sûr, il aurait pu échouer. Il semble, d'après les premiers comptes-rendus, qu'il ait pénétré dans l'agglomération à la faveur du passage d'ouvriers arabes de la région de Khan Younes et de Rafah. Autrement dit, l'exploit consistait à exploiter précisément ce qu'il peut y avoir de relations pacifiques ou du moins "normales" entre Juifs et Arabes et de ce qui assure en l'occurrence la subsistance de dizaines de familles palestiniennes.
Bien entendu, il a tout aussi bien pu sectionner un grillage...
"a réussi" est une appréciation, "s'est introduit", "a pénétré", etc. sont des faits.
Une fois à l'intérieur de l'enceinte de l'agglomération, il a fait irruption dans une école, tirant à tout va dans une colonie du sud de la bande de Gaza – Il ne s'agit donc pas d'une colonie (même si l'on s'obstine à désigner ainsi les villages et agglomérations où des Juifs redonnent vie au sol ancestral - hitnahalout = prise de possession d'un héritage) mais d'une école talmudique (Yéchiva) du village ou cinq (et non quatre) gamins de dix-sept à dix-huit ans en terminale ont été lâchement assassinés et vingt-trois autres (et non vingt-deux) blessés. Ils ont été tués en tant que cibles préméditées (et non en tant que victimes civiles malencontreuses d'une opération menée contre des forces militaires hostiles). Ils ont été tués ou blessés dans leurs chambres, dans les couloirs, dans une salle d'étude.
Dans le vocabulaire courant, on appelle cela une tuerie ou un massacre.
Avant d'être abattu, il a tué quatre Israéliens et en a blessé vingt-deux – bien que paraissant factuellement exacte, la présentation est fallacieuse. En effet, en mettant "avant d'être abattu" en tête de phrase, on transforme subrepticement l'agresseur en victime, laquelle a (héroïquement ?) réussi à tuer une part de ses assaillants avant de succomber. Mais l'information, en réalité, n'est même pas exacte quant aux faits. En effet, dans l'établissement où il a pénétré, il a tué et blessé ses victimes par ses tirs et ses grenades. Il est alors sorti de l'école et s'est heurté à deux Israéliens qui ont finalement réussi à l'abattre. L'information de l'AFP laisse entendre que ses victimes auraient été tuées ou blessées lors de l'échange de tirs, ce qui est totalement faux. De plus, il eut fallu dire "il a tué quatre adolescents et en a blessé vingt-deux". Pourquoi dire "Israéliens ?" C'est qu'ainsi on anonymise les victimes, on efface le fait qu'il s'agissait de gamins sans défense et on en fait des cibles "légitimes" puisque les Israéliens "occupent" ou "colonisent". Pour être honnête, l'information aurait dû être formulée à peu près ainsi :
"Un terroriste (homme armé s'attaquant systématiquement à des civils Ndlr) palestinien a fait irruption dans une école israélienne située dans une localité du sud de la bande de Gaza où il semble avoir pénétré à la faveur d'un passage d'ouvriers arabes qui viennent y travailler régulièrement.
Vidant neuf chargeurs par rafales et jetant six grenades, il a tué cinq adolescents de dix-sept à dix-huit ans et en a blessé vingt-trois autres (Il y a 3 blessés graves, 8 moyens et 12 légers*). Une des chambres de l'école a été totalement incendiée par le jet des grenades et on tente encore d'identifier l'une des victimes qui s'y trouvait. Au sortir de l'école, le terroriste s'est heurté à des forces israéliennes appelées à la rescousse ; un officier d'active habitant la localité et l'officier municipal chargé de la sécurité l'ont finalement abattu au terme d'une fusillade."
Méditons un peu :
Un terroriste n'est pas essentiellement un voyou des bas quartiers animés d'instincts violents. C'est aujourd'hui un "commando" surentraîné (par El Qaïda, par la Force 17 ou par le FPLP...), rompu aux techniques de combat et endoctriné idéologiquement et moralement. Il peut être sincère dans ses motivations et agir avec abnégation et esprit de sacrifice. C'est néanmoins et tout simplement un vulgaire et méprisable assassin, bien que ses chefs et mandants soient criminellement encore plus coupables que lui. Le terrorisme a partout le même visage masqué : ce qui le caractérise, c'est la lâcheté morale avec laquelle le crime est perpétré. Lâcheté ne signifie pas peur. Le terroriste peut savoir et vouloir risquer sa vie pour sa cause : il a été entraîné à tuer sans hésitation ni remords. Tuer le plus possible, sans discrimination pour provoquer la terreur. Pour que chacun sache qu'il est une cible. Pas une cible potentielle. Une cible tout court.
Comme ces gens que l'on torture sans leur poser de questions : ils n'ont même pas l'espérance qu'une réponse apportera la délivrance, fut-ce la mort. Ils n'ont même pas la consolation d'une résistance opposée à leur tortionnaire.
Faire exploser une bombe dans un restaurant, c'est s'exposer à tuer N'IMPORTE QUI. N'importe qui, cela veut dire y compris ceux qui, au sein de la société israélienne, militent en faveur de la paix ou en faveur des "droits des Palestiniens". Y compris un réserviste en rupture de réserve ou même, pourquoi pas, Ahmed Tibi ayant eu le tort d'avoir faim.
La notion de civils innocents ou de victimes innocentes n'existe pas. Un bébé sera demain soldat ou mère de soldats. Un adulte, c'est un permissionnaire entre deux périodes de réserves. Qu'importent les durées respectives des permissions et des périodes ? Qu'importe si le réserviste n'est presque pas entraîné à la guerre et préfèrerait être ailleurs que sous l'uniforme ? Il est l'ennemi. L'Israélien – ou, pour parler leur langage en cette occasion, le Juif – est l'ennemi. Car l'ennemi c'est quiconque se défend ou peut participer à une défense, même passive.
Décidément, nous n'avons pas les mêmes échelles de valeurs et c'est peut-être pourquoi nous avons tant de mal à nous entendre. Ce qui a probablement fait capoter les négociations, c'est sans doute le fait que chaque parti projetait sur l'autre ses propres préjugés. Les Israéliens, sincèrement épris de paix et du souci de la sécurité et du bien-être de leurs populations croyaient les Palestiniens animés des mêmes intentions. Les Palestiniens, agissant dans la logique d'une stratégie ayant pour ultime objectif la destruction d'Israël, une logique qui pose que "la diplomatie est la poursuite de la guerre avec d'autres moyens", étaient sans doute persuadés que les Israéliens devaient chercher à les berner, comme eux-mêmes cherchaient à berner les Israéliens. Des propositions aussi généreuses que celles de Ehoud Barak devaient nécessairement receler un piège. Le piège le plus grave étant que ces propositions risquaient de désamorcer le mécanisme même de l'AP. Risquaient de les réduire vraiment à une situation de paix où ils finiraient par perdre le contrôle, le pouvoir et en fin de compte, leur position privilégiée aux dépens de leurs frères voués à rester les damnés de la terre.
* L'échelle d'évaluation de la gravité des blessures en terminologie israélienne doit être précisée. Elle est strictement clinique, en référence aux atteintes organiques. Cette terminologie, méconnue du public, a pour effet de réduire la représentation que l'on se fait de la gravité d'une blessure.
Un blessé grave lutte pour sa vie ; il est la plupart du temps inconscient et souffre d'une atteinte à un ou plusieurs organes vitaux (cerveau, poumons-cage thoracique, foie, etc.) Un blessé "moyen" est la plupart du temps au moins estropié, bien que ses jours ne soient pas en danger. (Il faudrait signaler ici qu'une simple blessure peut entraîner la mort si le patient est en état de choc hémorragique). Un blessé léger peut - par exemple - avoir perdu tout ou partie de la vision d'un oeil ou l'usage d'une main, avoir subi plusieurs opérations pour retirer des éclats de différentes parties de son corps, souffrir de plusieurs fractures ouvertes ou non.
On utilise aussi parfois une terminologie intermédiaire "léger à moyen" selon l'état initial qui peut évoluer après diagnostics plus précis et premiers soins. Égratignures et des états de choc forment encore d'autres catégories. Un état de choc peut entraîner des séquelles à vie, alors qu'une amputation peut être suivie d'une parfaite réadaptation fonctionnelle et psychologique.
** Belle "paix des braves !" La formule originale est de de Gaulle. Il l'a utilisée lors d'une conférence de presse tenue à l’hôtel Matignon le 23 octobre 1958 : " Que vienne la paix des braves et je suis sûr que les haines iront en s’effaçant ! J’ai parlé de la paix des braves . Qu’est-ce à dire ? Simplement ceci : que ceux qui ont ouvert le feu le cessent et qu’ils retournent, sans humiliation, à leur famille et à leur travail. "
De Gaulle n'avait pas l'intention de désarmer la France. La paix des braves, cela signifiait que les Fellaghas du FLN rentrent chez eux. Lorsque Arafat invoque la "Paix des braves" cela devrait donc signifier que les assassins du Hamas du Jihad et du Fatah déposent les armes et rentrent chez eux, pas qu'Israël cesse de se défendre.
Par Lucia (Lucia) le lundi 11 mars 2002 - 01h51: |
Chers amis, je vous envoye un petit rayon de soleil directement de Californie.
Comme vous le savez, j'ai recherche une amie d'enfance depuis plusieurs annees.
Je l'ai trouvee, par le plus grand des hasards, et grace a l'un de mes freres.
Nous nous sommes rencontrees et reconnues. Une visite de reves.
Je souhaite a tous ceux qui recherchent quelqu'un d'avoir le meme resultat.
Perseverez!! Lucia
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 10 mars 2002 - 22h29: |
Bravo Albert, ma maitresse t'aurait donné 10 sur 10 pour ton récit d'amour inédit. 100 sur 100 pour le vocabulaire et une mauvaise note pour avoir oser franchir le seuil sacré. Et je te vois au piquet en disant: "Madame pardonnez-moi je ne répète plus cet acte."
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 10 mars 2002 - 22h14: |
Appel d'un Juif aux Palestiniens.
Il faut une fois pour toutes que les mères et les pères qui envoient leurs enfants en première ligne pour se faire tuer et devenir des martyrs, cessent de sacrifier leurs enfants. Les leaders religieux ou nationaux qui les poussent à faire ce crime affreux ne sont pas prêts à se sacrifier eux-même ou leurs enfants et sont des incapables s'ils ont besoin de ces méthodes. Ils donnent des ordres et mettent leurs enfants à l'abri! Le martyr est une notion primitive des anciens temps. Les Japonnais n'ont pas réussi avec leur Harakiri à sauver leur pays et en finale ils ont compris et ont choisi le chemin pacifique. Aujourd'hui ils sont plus riches que tous les pays arabes rassemblés. Ceux qui n'ont pas bien compris, qu'ils réfléchissent encore une fois avec leur conscience car rien ne vaut la vie humaine de leurs enfants.
La mort des enfants est voulue par les leaders incapables d'arranger quoi que ce soit, au contraire, ils veulent la politiser pour combler leur faiblesse. Laissons de côté les religions et la politique.
Est-ce vraiment ce que les Palestiniens veulent pour leurs familles et leurs enfants? N'avez-vous pas assez de toutes les fausses promesses de vos leaders?
Est-ce avec ces valeures que les Palestiniens veulent construire un pays?
Est-ce de cette façon qu'ils veulent négocier la paix avec les Israëliens ?
Chaque mort d'un côté ou de l'autre c'est une haine de semée dans les coeurs. Cette haine multipliera le cycle de la violence pendant des années.
Vos leaders vous ont infligé 50 années de souffrances. Ils prêchent la paix à l'ouest et instiguent la violence dans le monde arabe. Vous ne pensez pas qu'ils jouent avec votre crédibilité?.
.Pourquoi toujours ce revers? Pourquoi toujours les menaces de la violence?
Les Israëliens qui avaient signé avec vous à Oslo étaient des hommes honnêtes et ils avaient cru humainement bien faire .
Vos leaders les avaient déçus. Comment voulez-vous que demain ils pouront leur faire confiance.
Ne vous étonnez pas s'ils seront méfiants. On ne cré pas la confiance en un jour.
Si vous voulez vraiment alléger la souffrance de votre peuple, pour l'amour du Ciel, dites à vos leaders de faire une déclaration en arabe comme a dit George Bush, notre président, afin que ces émeutes absurdes s'arrêtent. Vous n'avez pas de chance d'obtenir quoi que ce soit avec la haine et les sacrifices des enfants. Vos leaders enflamment les masses pour rien. Ils vous donnent de faux espoirs comme dans le passé. Vous croyez que le monde fera quelques chose pour vous ? Vous vous trompez! Les Israëliens qui sont près de vous seront mieux placés pour vous aider. Je sais que parfois certains parmi eux ne sont pas toujours agréables, mais vous pouvez raisonner avec la majorité du peuple. Vous trouverez des oreilles prêtes à vous écouter et des coeurs ouverts prêts à vous aider. Il y a des dixaines de conflits dans le monde et le monde continue à vivre y compris le monde arabe.
Les Juifs du monde entier ont du coeur et ils peuvent vous aider, mais n'oubliez pas que ce peuple a été lui-même déraciné et exilé pendant des siècles de cette terre que vous dites la vôtre.
N'oubliez pas aussi que le peuple juif est compétant, généreux et bienfaisant, il aime la justice par la conviction et non pas par la violence. Nous les Juifs des pays arabes nous ne nous sommes jamais révoltés quand nous étions sous la domination arabe, car nous aimions et nous respections la terre où nous sommes nés et nous aimions vivre en paix. Nous avons laissée ces terres propres, sans une goutte de sang, quoiqu'elles avait été nos demeures pendant des milliers d'années. N'oubliez pas que nous étions aussi des réfugiés, mais nous nous sommes entraidés pour que nos âmes et celles de notre peuple n'en souffrent pas. Faites de même, tous le monde vous viendra en aide y compris les Juifs du monde. Pour l'amour de vos enfants et pour l'amour d'Allah.
Celui qui croit mourir dans le "Jehad" doit comprendre que le vrai "Jehad" c'est le contrôle de ses actes physiques . Celui-ci est le plus grand et le seul vrai combat que tôt ou tard l'Homme doit confronter. Seuls les courageux, les coeurs propres et les personnes d'amour y réussissent. Ce combat est le seul combat sacré et nécessaire que chaque être humain doit entreprendre et c'est le seul qui pourra ouvrir la porte du paradis. C'est dans ce sens que Mohamed avait écrit "Celui qui meurt dans le combat entre au Paradis" Remplissez votre coeur d'amour et pas de haine si vous ne voulez pas vous détruire vous-mêmes.
Emile Tubiana
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 10 mars 2002 - 20h32: |
LE MERCREDI 13 MARS 2002 A 20 H 00 PRECISES
LOGE - SAM HOFFENBERG
de 20 h 00 à 20 h 30 Tenue Fermée, vote pour de nouvelles
A 20 H 30 SOIREE LITTERAIRE
La Loge reçoit Yaëlle KONIG, pour son livre " ET IL S'APPELLERA JOSEPH..." Editions Romillat.
Romancière, Directrice de Collection, Journaliste Littéraire, Animatrice à Radio Chalom, Nice, chroniqueuse dans Israël Magazine, et Soeur de la Loge Mazal Tov de NICE
Elle y raconte la vie d'un rabbin de Tunisie au début du XXème siècle. Au portrait du saint homme, respecté tant par les musulmans que par les juifs, se mêlent les couleurs, les parfums, la lumière de la ville de Béja. Là, justement, où elle est née.
Au Centre Culturel Charles liche, 14 place des Vosges 75004 PARIS
(Temple des Vosges 2ème étage - métro Bastille) - PAF 7 €
Shulhan@aol.com
Par ALBERT SIMEONI (Albert) le dimanche 10 mars 2002 - 19h59: |
LES MEMOIRES D’UN GOULETTOIS
L’ENFANT DE LA GOULETTE
PAR ALBERT SIMEONI (BEBERT).
30/04/2001
‘…AMOUR D’ AVRIL 68..’
Août 1967. Sidi - Bou- Said l’Olivier rouge, discothèque à la mode dans les années 70. ‘Jean’ côtelé bordeaux, chemise crépon orange (de la pure phosphorescence). J’évoluais au milieu de la piste dans un pas de Madison twist parmi les invités ‘gratos’. Une jeune fille, coupe à la garçon, se mêle en solitaire à la foule, en plein milieu de la piste. Elle ‘ s’accote’ et suit mon pas maladroitement. Je lui tiens la main et l’aide. Connaissance et échanges ‘banaux ‘. Nous passons le reste de la soirée ensemble, assis sur les petits tabourets recouverts de tissu rouge/grenat. Elle était en vacance chez sa tante qui habite Kèrrédhine. Marseillaise. Nous avons passé tout le mois ensemble. Echanges de lettres et retour à Pâques. Je l’attendais avec une très grande impatience car je l’aimais.
Un jour, de cette semaine là, elle me fait une confidence et me dit..
‘Je préfère faire ça avec toi…. avec quelqu’un que j’aime.’
C’était la première fois de ma vie que j’entendais une pareille sincérité dite par une jeune fille de 18 ans.. A 23 ans, j’étais puceau dans le vrai amour. Nous avons donc convenu de faire abriter notre premier échange dans la discrète maison d’hiver de sa tante.
Je la trouvais encore plus belle et très attirante. Tout est vraiment beau quand on aime.
La pièce sentait le renfermé. Nous, nous assîmes sur le bord du lit. Une pénombre bienfaitrice et un silence, seulement dérangé par le clapotis des vagues accompagnés notre esseulement.
L’angoisse fait toujours allumée une cigarette. Aucun échange verbal. Pas de murmure. Rien que des regards confus et pudiques. Je lui pris la main que je portais à ma bouche puis lentement, délicatement comme voulant savourer cet instant de joie refoulée, je pris sa tête entre mes mains et l’embrassais fougueusement. Une étreinte unique pour moi qui n’ai étreint que des betteraves. Je l’aidais à dégrafer son soutien gorge, et là sous mes yeux purs, je découvris ses petits seins garnis de deux belles cerises, couleur grenat. Mon dard était levé depuis longtemps. Il salivait dans sa cache. Mon pantalon à terre formait avec sa jupe un ensemble coloré. Nos deux culottes, l’une sur l’autre s’enlaçaient à notre insu..
Nous nous découvrions. Mes doigts, tout tremblants naviguaient à vue. Ma tête reposait sur son ventre. Je gardais les yeux fermés de peur de faire fuir cette fleur aux pétales doux. Mon cœur battait une symphonie curieuse. Un halètement. Comme une fin de course, courût par un forcené. Je pris mon courage à deux mains et la, j’ai vu. J’ai vu pour la première fois ce que j’imaginais dans ma tête encore adolescent. Je perdais à cet instant là mon regard vierge.
Oui, pour la première fois, j’ai vu en chair et en poils ma fleur de lys. Lentement, je désirais sans effaroucher mon flirt, palper cette inconnue en éveil qui dormait à quelques cm de mon nez.. Puis détournant légèrement ma tête …. je levais mes yeux vers C…., elle qui attendait le reste et moi qui demandais un consentement acquis dès l’instant où nous fûmes là. Mes doigts, mûs par l’instinct et pleins d’audace osèrent…..
Et là …je descendais dans le creux de son vallon , pur et vierge , encaissé dans le plus beau carrefour du monde. Je découvrais cet énigmatique bourgeon en éveil sur lequel était posé une goutte de rosé au goût et à l’odeur si parfumé que je restais plusieurs minutes à boire dans ce calice ce flot de jouissance, m’enivrant jusqu ‘ à l’ivresse.
La porte du Paradis s’ouvrait sous mes yeux pudiques, honorant plusieurs fois de mon étalon impatient ce fourreau de velours, sans retenue. Pour le bien de notre désir.
La lisière de l’orée fut franchie. Nos deux corps ne formaient plus qu’un. Ils s’enivrèrent tellement que nous chavirions ensemble dans un même élan. Dans ce qu’on appelle communément l’amour. Non ce n’était pas de l’amour commun. C’était un accouplement paradisiaque, une union que maints poètes, chacun à sa façon, ont su dans leur délire, décrire avec engouement, beauté et une telle explosion d’images et de verbes que je me suis permis, à mon tour, de vous faire découvrir naïvement, sincèrement et sans culot ma première vraie expérience d’amoureux.
La femme est très belle. Je l’aime non pour ce qu’elle a mais pour ce qu’elle ait. Un morceau de Paradis sur terre qu’il faut écouter avec des oreilles de sourd.
ALBERT ….l’amoureux. Texte inédit.
Par Victoria (Victoria) le dimanche 10 mars 2002 - 19h31: |
Je suggère au webmaster de supprimer Gisèle Halimi de la liste des juifs tunes censés nous faire honneur : à l'occasion de la journée de la femme elle a déclaré soutenir les terroristes palestiniens. Alian Finkelkraut en avait la nausée en le rapportant sur Radio J aujourd'hui.
Visiblement cette femme n'a pas réglé ses problèmes avec sa mère (cf. son bouquin "Fritna"). Donc sa haine d'elle-même rejaillit sur tout son peuple. C'est toujours comme ça avec les juifs antisémites. Au lieu d'aller chez un psy, ils nous font payer leur pathologie.
Par Nao (Nao) le dimanche 10 mars 2002 - 17h04: |
Cher Albert, merci de ton vif plaidoyer. Je vois que toi tu as su me comprendre au dela de mes ecrits. Oui ma plume derange, je le sais! Sous mes cotes tranchants et explosifs, il y a aussi un etre qui souffre de la haine, de la violence et de la misere ds ce monde.
J'ai oublie de dire que si on suivait les definitions de certains, alors bcp de journalistes meriteraient eux aussi le titre de "racistes".
Quant a Slim, son humanisme lui fait honneur. Il faut qd meme rappeler que le terrorisme n'est pas que le resultat helas de gens ignorants et misereux. Il suffit de voir Bin Laden qui lui meme est loin d'etre ineduque ou pauvre. Au contraire, il fait partie des nantis et a fait des etudes et vient d'une famille richissime.
Le terrorisme vient de la haine de l'autre et de son desir de le voir detruit et non de la misere ou du manque d'education.
Par Admin (Admin) le lundi 11 mars 2002 - 02h41: |