Par Admin (Admin) le vendredi 29 mars 2002 - 06h49: |
Par Mena (Mena) le jeudi 28 mars 2002 - 01h15: |
Caramba, c’est encore raté ! (info # 012703/2)
Par Stéphane Juffa © Metula News Agency
Avec le Président égyptien Hosni Moubarak, ce sont dix chefs d’Etats qui boycotteront le sommet arabe qui s’ouvre cet après-midi à Beyrouth. D’autres, tels le roi de Jordanie ou le prince héritier Abdallah d’Arabie saoudite, n’honorerons la rencontre que de leur présence éclair, afin de ne pas transformer la catastrophe en désastre.
Inutile non plus de chercher des raisons principalement politiques, à cette avalanche de désistements. Comme nos amis de Aman nous l’ont fait savoir très tôt ce matin, les services jordaniens et égyptiens craignent une action d’envergure des terroristes chiites au Liban, contre les leaders arabes raisonnables. En fait, les renseignements sont encore plus précis que cela, à les croire, ce que le raïs cairote redoute, c’est une action violente du mouvement Hezbollah, à l’instigation de ses patrons iraniens.
Pour la Syrie, qui occupe le Liban et pour la France chiraquienne, qui parraine à coups de millions d’Euros son gouvernement supplétif de Beyrouth, ce sommet qui tourne à la Tour de Babel, sonne bien sûr l’échec retentissant de leur quête de reconnaissance internationale. Ceux qui ont pris l’option téméraire de soutenir qu’il existe une différence entre le terrorisme d’Al Queida et le terrorisme-résistance de Nasrallah en sont pour leurs frais. Ceux-ci sont les mêmes, qui avaient organisé le sommet avorté de la Francophonie à Beyrouth, alors que le Hezbollah fait la loi, par procuration de Damas, dans tout le Sud Liban. Ils avaient cru, êtres naïfs, qu’il était loisible de domestiquer le terrorisme, pourvu qu’on lui montrât de la considération !
Eh bien, il a toujours été évident qu’ils avaient tort mais désormais, ils seront bien forcés de s’en apercevoir ! Le terrorisme est et ne demeure que l’instrument armé d’une volonté politique et composer avec lui, c’est comme négocier avec une armée ennemie, en omettant de considérer qu’elle a un propriétaire. Hariri, Védrine et Chirac apprennent tout à coup que la guerre contre le terrorisme a un sens réel et que déclarer la guerre au terrorisme, sans la faire aux terroristes, n’est pas seulement un artifice fayot, il est aussi confiné à n’être qu’un exercice de verbiage protocolaire, destiné, immanquablement, à être mis à nu.
Le Liban d’Hariri apparaît aujourd’hui tel qu’il est vraiment, une province en ruine sous occupation syrienne, dirigée par une cour des miracles. Et ça n’est pas à la Cour des miracles, que les présidents ont coutume de se rencontrer.
Refermons cette parenthèse nécessaire pour retourner à notre analyse principale ! Le Hezbollah est une organisation dirigée par Téhéran, quelle raison aurait alors Téhéran de menacer l’existence des chefs des Etats arabes modérés ? – La réponse concerne bien sûr l’initiative saoudienne, qui, décidément, est en train de foutre un charivari du tonnerre de feu dans les structures politiques régionales.
Vous imaginez bien, ô lecteurs admirablement perspicaces de la Ména, que le Prince Abdallah n’a pas été soudain pris d’une passion pour Israël, au moment de faire connaître son initiative. A la vérité, les violences israélo-palestiniennes constituent une menace tangible pour les Etats arabes modérés du Moyen Orient. La hargne des combattants du Fatah, du Jihad et du Hamas est communicative et leur propension à se faire exploser les intestins au milieu des foules civiles a fini par donner des idées aux pauvres bougres du Caire, ainsi qu’aux habitants des camps de réfugiés de la périphérie d’Aman. Et s’il est quelque chose que les régimes à légitimité discrétionnaire redoutent plus que tout, c’est assurément les mouvements de foules. On sait comment ils commencent, on les voit s’étendre et lorsque les souverains de droit céleste, absolu ou militaire, s’aperçoivent de leur existence, il est déjà trop tard pour arrêter le raz de marée.
L’élément qui inquiète le plus les rois, les raïs et les émirs, c’est la dimension intemporelle, lyrique et géographiquement globale, que Yasser Arafat a donné à sa guerre avec Israël. Son histoire "de milliers de Shahyds qui vont se sacrifier pour libérer Jérusalem" avait l’air d’une manœuvre médiatique, au début de l’Intifada mais elle dure ! Les leaders arabes assistent, aussi impuissant qu’Ariel Sharon et que le Président Bush, au suicide de tout un peuple, tombé sous la houlette d’un timonier à moitié fou et surtout insensible aux arguments de la raison établie. « Ce qui est le plus effrayant, dans la démarche d’Arafat, c’est qu’on a l’impression qu’elle peut ne jamais s’arrêter », me confiait notre correspondant dans l’Autorité palestinienne Sami El-Soudi. « De plus, on assiste à un phénomène boule de neige, » ajoute-t-il, « une sorte d’orgie sanguinaire dans laquelle les nouveaux martyrs veulent se sacrifier pour honorer le geste de ceux qui se sont tués avant eux ! Plus la guerre d’Arafat dure-t-elle et plus la situation économique des populations palestiniennes sombre dans la précarité. Il flotte dans l’atmosphère de Palestine une sensation de "maktoub", de fatalisme et au fil de la ruine et de la rivière de sang qui coule sans discontinuité, les gens acceptent l’idée que ce conflit ne finira jamais et qu’il réclamera son lot quotidien de personnes sacrifiées. »
L’image du peuple palestinien contrit, qui compte sa douleur en espérant un cessez-le-feu qui ne vient pas est une invention des médias occidentaux et de la propagande arafatienne. Elle est loin du compte, comme Sami me l’a confirmé également. « Les Palestiniens ont l’impression de vivre leur destinée et ce qui prime dans nos rues, ce sont les avalanches de récits chevaleresques, patriotiques et religieux et pas du tout l’attente que tout cela finisse ! Les gens suivent Arafat, démunis des moyens de comprendre la portée de ses décisions tactiques, seulement persuadés "qu’il faut aller jusqu’au bout." Ils ignorent bien sûr que ce bout là n’existe pas, puisque toute leurs sources d’information et leurs meneurs locaux essaient, 24 heures sur 24, de les persuader du contraire. »
La télévision palestinienne leur dit aussi qu’il s’agit de la même bataille des opprimés, de Gaza à Bagdad et ce message est colporté par-delà les frontières de Palestine, amplifié et embelli, jusqu’à ce qu’il percute les esprits des habitants des cités pauvres du monde arabe, pour leur servir d’exemple. Au Caire, les jeunes gens s’inscrivent comme volontaires au martyre dans les branches locales du Hamas et à Aman, la police se mesure à des manifestations populaires, chaque jour plus fournies, chaque jour plus violentes !
Conscients, donc, que la folie et l’infinitésimalité dans le temps des choix tactiques d’Arafat et de l’incapacité des autres politiciens palestiniens sensés de lui faire entendre raison, les leaders arabes modérés veulent maintenant et à tout prix, que l’Intifada Al-Aksa s’arrête. C’est dans cette dynamique, qu’il faut lire l’initiative du prince Abdallah. Les riches cherchant toujours à consolider l’ordre qui est garant de leurs avantages et les pauvres, à le détruire, puisqu’il est le gardien de l’injustice qui les frappe !
Moubarak et les rois d’Arabie ne se contentent pas d’un cessez-le-feu, ils entendent aussi que le différend israélo-arabe tarisse et qu’il ne serve pas constamment, dans le monde arabe, de justificatif à la violence et au désordre. Et le prince héritier saoudien a très justement identifié le noeud gordien du conflit israélo-palestinien comme étant le problème du soi-disant retour des réfugiées palestiniens de 48. A la Ména et ça n’est pas une nouveauté du jour, nous sommes convaincus que tous les autres aspects du conflit sont, soit réglés par la proposition Clinton, soit qu’ils pourraient l’être en quelques jours de négociation intensive. Ce qu’Abdallah et Moubarak ont bien compris, c’est que l’exigence du retour de ces réfugiés, la "Khak el Aouada" en arabe, équivalait à l’éradication d’Israël et qu’Israël n’accepterait jamais d’entériner sa propre éradication. En d’autres termes, nos voisins ont réalisé, qu’en exigeant l’éradication d’un pays beaucoup plus puissant que sa nation, Arafat avait fait de sa guerre une guerre sans fin et que dans cette durée là, il finirait par réaliser son plan démoniaque qui consiste à rallier sous sa bannière les autres peuples arabes, même si c’était au prix de l’immolation des régimes de leurs dirigeants.
Et que ceux qui attendent d’Arafat, qui envoie ses Palestiniens se faire sauter dans les pizzerias israéliennes et qui affame ses enfants par calcul tactique, qu’il traite les dirigeants arabes et l’ordre dans leurs capitales avec plus d’égards, aillent s’abonner à une autre agence, ici ils encombrent !
Il faut aussi comprendre, que le prince Abdallah a tenté un immense coup de bluff en édictant sa proposition. Icelle, qui, dans le fond des choses, est équivalente à la proposition Clinton et qui propose aux Arabes un raccourci élégant pour renoncer à l’Aouada sans avoir l’air de perdre la face ! Le prince saoudien a misé à fond sur "l’autorité religieuse traditionnelle dont jouit l’Arabie saoudite dans le monde arabe" afin de faire passer la pilule. Oui mais voilà, cette autorité traditionnelle n’est pas quantifiable et son usage pour l’occurrence ne faisait pas l’affaire des ennemis du royaume saoudien.
Aussi, ce furent d’abord les émissaires de Yasser Arafat, qui frappèrent aux portes des palais de Riad pour demander aux princes que la proposition n’exclue pas l’Aouada. Puis ce fut Béchar El-Assad, le président syrien, qui vint plaider en Arabie "que la normalisation des relations avec Israël signifierait la fin de son régime et de l’occupation arabe du Liban" qui tiennent sur des justifications "anormales" mais qui, selon Assad, "servent l’intérêt de l’Islam et constituent la plus sûre barrière contre la pénétration des valeurs occidentales dans la région." Le prince Abdallah reprit alors sa copie, barra "normalisation" et la remplaça par "auraient des relations normales", puis, lorsqu’il se retrouva seul, il relit sa proposition et s’aperçut qu’elle ne signifiait plus rien et qu’elle était devenue aussi radicalement inexploitable que la position de Yasser Arafat à Camp David !
Pour avoir voulu assurer la pérennité de son régime, le prince avait fait éclater le vase de Pandore et il avait dressé une barrière infranchissable, entre les Etats arabes ou musulmans qui avaient un besoin urgent de paix et ceux, pour lesquels l’hypothèse sempiternellement représentée de la lutte pour la disparition d’Israël, participe d’un élément indivisible du dogme de leurs existences. Parmi ces pays, il y a l’Iran, la Syrie, Yasser Arafat et bien sûr l’Iraq de Saddam Hussein, pour qui l’acceptation d’Israël est antithétique des fondations mêmes de sa tyrannie. De plus, vous imaginez avec moi, chers lecteurs, qu’à la veille d’affronter les Etats-Unis dans ce qui risque bien d’être sa dernière incongruité, Saddam Hussein ne partage pas vraiment les préoccupations du prince de la Maison saoudienne. S’agissant du président iraquien et de son regard sur Riad et sur les Emirats du Golfe, j’ai bien entendu fait ici usage d’un prudent euphémisme.
C’est donc dans cette conjoncture de discorde profonde et inconciliable, que va s’ouvrir dans quelques heures, à 100 kilomètre de l’endroit dont je vous entretiens, le sommet des chefs d’Etats arabes. A moins d’une surprise de dernière minute, Yasser Arafat ne s’y rendra pas, même si le gouvernement israélien l’autorisait à le faire. En plus du "show du reclus" dont il va sans doute nous gratifier depuis Ramallah et dont il serait privé s’il se rendait dans la capitale libanaise, il craint que les USA et Israël l’empêchent de revenir, dans l’hypothèse où ses combattants se rendraient responsables d’assassinats collectifs en son absence ou, s’il utilisait la tribune de Beyrouth afin d’appeler la Ouma arabe à se sacrifier toute entière sur les murs de Jérusalem. Et s’il ne pouvait revenir, nous ne sommes pas sûrs du tout, à Métula, qu’un Etat arabe, toutes tendances confondues, s’empresse de lui prodiguer l’asile, tant Arafat est devenu dangereusement imprévisible, au fil de ses visions et de ses rôles historiques !
Ouvert sous de si mauvais auspices, malgré l’initiative saoudienne, dont l’importance est indiscutable pour l’avenir de la région, reste à savoir si ce sommet ne sera pas à la fois un désastre et une catastrophe !
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 28 mars 2002 - 00h04: |
Que l'on ne dise pas que c'est le désespoir qui a causé aux palestiniens de se faire exploser. Un être humain ne s'explose pas seul, il faudrait que quelqu'un l'éduque à la heine, l'équipe de ce genre de ceinture bombe. Il faudrait que quelqu'un planifie et dirige une telle attaque. C'est un crime car ce qui envoient ces terroristes ont comme but de tuer des civils innocents. Ou sont les personnes qui reprochent tout le temps aux israëliens quoique ce soit,comme certains ministres français et le chef de l'ONU, qu'ils reconnaissent que tuer des civils c'est criminel et n'a rien à avoir avec le combat pour la terre ou pour l'indépendance. C'est une blague, c'est de la heine. Qu'ils ne viennent pas nous dire après que Sharon ou les israëliens avaient fait ci ou cela nous avont tous soutenu la paix..
Par Amsou (Amsou) le mercredi 27 mars 2002 - 20h44: |
MAMIE MACHIN CHOSE
TES "AKHBARES" SONT DEPASSEES
LES PALESTINIENS REINTEGRENT LE SOMMET DEMAIN
OCCUPE TOI PLUTOT DE TON TRICOTAGE ET USE UN PEU MOINS DE TON VENIN A TOI
Par Emma (Emma) le mercredi 27 mars 2002 - 19h24: |
Attentat-suicide a l'hotel Park a Natanya juste au moment ou le seder allait commencer.
Je connais plusieurs familles de France qui se trouvaient la bas.
Que D. nous aide.
Emma
Par Mamienova (Mamienova) le mercredi 27 mars 2002 - 16h53: |
qui l'eut cru? (!) le "sommet" des pays arabes
qui se tient à beyrout tourne au vinaigre! la
delegation palestinienne et les saoudiens
sont
partis furieux.....
qu'est ce que cela cache encore ?
bacher el assad crache quant à lui son venin!
Par Janet (Janet) le mercredi 27 mars 2002 - 16h09: |
M.E a entierement raison...Le peuple juif n'a demontre aucune amertume quand il arrive avec peut-etre,un carton a la main...Il se moque delui-meme,il repondrait,si on l'interrogeait:est-ce triste de toujours etre poursuivi et de devoir demenager continuellement(dans la gola...)Il repondra surtout s'il connait le yiddish,une plaisanterie et rira sous sa moustache,s'il en a une et l'autre croira qu'il est tres heureux...apres tout il voit du pays...il voyage.et surtout il garde la foi et le nom de D.n'est jamais prononce en vain.....Mais....Gai!!!.Persuadez-moi...
Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 27 mars 2002 - 15h13: |
"Servir dans Tsahal est une veritable mission divine"
par Israel Weiss, Grand Rabbin des Armees d'Israel
Actualite Juive, n°742, 21 mars 2002
A l’occasion des fetes de Pessah, "Actualite Juive" s’est rendu dans le quartier general de Tsahal, a Tel-Aviv, afin d’interroger Israel Weiss. Le Grand Rabbin des Armees explique en quoi la Torah et la defense militaire d’Israel sont intimement liees. Il detaille egalement le deroulement de la fete de Pessah sous les drapeaux.
Voici des Extraits de l'interview realisee par Carol Azoulay et que INFO'SION a choisis
Actualite Juive : Quelle place occupe votre ministere au sein de Tsahal ?
Israel Weiss : Nous sommes lies aux soldats dans les moments de joie comme dans ceux de peines, 24 heures sur 24. (... )
(... )
I. W. : Je pense que la Torah est le pilier du peuple juif. Depuis 5 000 ans, les Juifs se sont accroches a la Torah et ne s’en sont jamais completement eloignes. (... )
A. J. : Selon vous, existe-t-il un lien reel entre la Torah et l’armee ?
I. W. : Je suis convaincu que les vetements (militaires) que je porte sont aussi saints que ceux que portait le Cohen Gadol, car, a mes yeux, servir dans Tsahal est une veritable mission divine.
A. J. : Ce que vous dites trouve-t-il une base ecrite dans la Torah ?
I. W. : Oui, car la guerre que nous menons preserve la vie du peuple juif. Il s’agit pour moi de la plus noble action qui soit. C’est justement cette conviction qui permet aux militaires de garder leur moral intact.
A. J. : Peut-on etablir un lien entre Pessah et la periode difficile que nous vivons ?
I. W. : Sur le plateau du seder se trouve un oeuf, car on y compare le peuple d’Israel. Lors de la cuisson, l’oeuf ne se casse pas mais bien au contraire, il s’endurcit et devient incassable. Cette metaphore illustre parfaitement les evenements que nous vivons actuellement, dont nous sortirons renforces. L’oeuf possede par ailleurs une coquille. Si l’on parvient a la briser, l’oeuf nous livre alors sa quintessence.
De meme, si nous parvenons a briser la materialite qui nous habille, nous sommes capables de reveler notre vraie nature. Enfin, le vin, tres present lors du seder, nous livre aussi une lecon qui peut s'appliquer a notre epoque. Il necessite en effet une longue preparation avant d’etre apprecie. Il faut cueillir le raisin, le trier, le presser afin qu’il donne le meilleur de lui-meme. Nous devons egalement savoir nous defaire de notre apparence et nous rapprocher les uns des autres avant de livrer notre veritable saveur. Un grain de raisin seul ne donne rien, mais des milliers de grains livrent un nectar divin.
A. J. : Comment Pessah se deroulera-t-il sur le terrain ? Comment les soldats de garde pourront-ils y participer ?
I. W. : Il existe plusieurs types de seder a Tsahal. Par exemple, cette annee, grace au soutien de donateurs juifs francais, nous organisons un seder pour les soldats sans famille en Israel, qui regroupera pres de 500 d’entre eux dans un grand hotel de Tel-Aviv. Dans les bases, de jeunes rabbins dirigeront des sedarim de 10 soldats environ. Nous recevrons egalement l’aide de 150 jeunes etudiants des yechiva hesder. Enfin, des volontaires civils viendront en famille dans la base afin de passer le seder avec les soldats. Pour les soldats qui effectuent des gardes isolees, nous leur enverrons des colis prevus pour 3 personnes, qui comprennent, outre des repas, tous les symboles rituels de Pessah : 3 hagadot, des matsots, du vin, des oeufs, etc. Ils recevront aussi une haggada resumee (selon la loi juive) leur permettant de reciter les prieres obligatoires de la fete. J’ai egalement donne des instructions pour que leurs gardes soient reduites, ne serait-ce que de quelques minutes. Chaque soldat en Israel pourra donc participer a cette fete solennelle, et ce, quelle que soit sa fonction ou sa place.
A. J. : Il s’agira du deuxieme Pessah que les soldats israeliens passeront sur le front. Quel est leur etat d’esprit en cette veille de fete ?
I. W. : Nos soldats n’ont aucune faille dans leur motivation. Ils ne comprendraient meme pas cette question. Ils sont conscients de l’importance de leur mission. Ceux qui sont sur le terrain sont souvent plus fort moralement que ceux restes a l'arriere, qui craignent pour leur vie.
A. J. : Seraient-ils plus convaincus du bien-fonde de leur action que le gouvernement lui-meme ?
I. W. : Honnetement, je le pense. Mon gendre, qui est le frere d’Eran Picard, fait desormais partie d’une famille endeuillee. La loi martiale prevoit qu’une famille ayant perdu un fils ne peut plus envoyer de garcon sur le front, sauf autorisation expresse des parents. Mon gendre refuse de cesser de servir sur le terrain et insiste aupres de ses parents, afin qu’ils acceptent de signer l’autorisation…
A. J. : Quel sera, cette annee, le sens de la phrase rituelle que nous prononcons a l’issue du seder : "L’an prochain a Jerusalem" ?
I. W. : La situation que nous vivons demande beaucoup de courage et surtout de la patience. Nous ne sortirons pas de cette crise avant un long moment. Nous representons le peuple de la paix par excellence. Nous sommes assoiffes de paix. Nous aspirons a la tranquillite et la serenite, plus que tous les peuples qui nous entourent.
Mais le courage du peuple juif et la foi dans la justesse de notre mission sont si forts que rien ne pourra nous faire abandonner notre terre.
Tous les efforts deployes par nos ennemis pour nous aneantir ne pourront rien contre notre determination. Une phrase de la Haggada relate que dans chaque generation, s’est eleve un peuple ennemi. Depuis la nuit des temps, les Juifs ont combattu des ennemis dont la ferocite a parfois semble irrationnelle. Et pourtant, ce petit peuple continue de survivre.
Chabat dernier, nous avons rendu visite a la famille Picard. Nous avons trouve 200 jeunes entasses dans la maison familiale, qui chantaient d’une seule voix des melodies d’une telle intensite que les temoins de la scene ont definitivement compris que rien ne pourrait jamais detruire un peuple dote d’une telle foi et d’un tel courage. Notre croyance nous permet de survivre aux peines demesurees que nous endurons.
L’existence du peuple juif ne sera jamais en peril et nous existerons ici-bas quoi qu’il arrive. J’espere que tous les Juifs du monde penseront tres fort a nos soldats sur le front, qui passeront un seder, certes difficile, mais qui seront l’image meme de ce gardien d’Israel qui ne sommeille ni ne dort.
Carol Azoulay
Par Fernand (Fernand) le mercredi 27 mars 2002 - 08h49: |
Le militantisme et le courage de Michka forcent l’admiration.
L’opinion que j’ai librement exprimée, comme ce Forum le permet, à propos d’un article qu’elle a rapporté n’est que mon opinion.
Qu’elle ne se démobilise pas.
Par Anonyme (Anonyme) le mercredi 27 mars 2002 - 07h06: |
Evèvenement culturel autour du livre : Odyssée des lecteurs (ville de Martigues)
"Tous parents , Tous différents"
Des débats, des conférences, des tables rondes
Des spectacles pour adultes et enfants
Des expositions scientifiques et artistiques
Des ateliers pour toutes les tranches d’âge
Nos parrains :
Albert Jacquard, généticien, homme engagé et souvent proche des gens qui luttent pour mieux vivre.
Pascal Picq, paléoanthropologue dont la qualité comme le dit Yves Coppens est d’avoir des idées personnelles et qui, par l’authenticité et la limpidité de son langage, passionne toujours son auditoire.
D’autres encore seront présents pour animer débats, tables rondes et conférences : Jean-Marie Pelt (Botaniste), Christiane Olivier (Psychanalyste), Roger Dadoun (Philosophe) et Daniel Sibony (philosophe, mathématicien et Psychanalyste).
visitez notre site : http://www.odyssee-martigues.org
Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 27 mars 2002 - 07h03: |
Je suis un ex parisien qui habite maintenant dans le sud de la France (pres de marseille). Je me rends compte depuis mon arrivée comme il est difficile de trouver des commercants "cacher" surtout les patissiers, bouchers etc. En bref tous les produits qui ne sont pas industriels.
Je suggere un petit état de ces commercants : adresses, plan, produit....
Bravo pour ce magnifique site qui est le votre et bonnes fetes de pessah.
arnaud.seknazi@club-internet.fr
Par Mena (Mena) le mercredi 27 mars 2002 - 06h43: |
Quand la Ména fait bégayer le PS français ! (info # 012603/2)
Par Jean Tsadik © Metula News Agency
Suite au démenti du part socialiste français, répercuté ces dernières heures par plusieurs radios FM parisiennes, qui nie que le PS ait invité la population à participer aux manifestations pro-palestiniennes de samedi dernier, nous sommes en mesure de confirmer ce qui suit :
En date du 21 mars et comme je l’avais indiqué dans mon article « Sous le couvert d’un appel à la paix », info no. 012203/2 de la Ména, le parti socialiste français a bien publié le communiqué suivant :
Le Parti socialiste appelle à participer aux manifestations de solidarité avec le peuple palestinien, le 23 mars à Paris et en province, sur la base des positions constantes du Parti socialiste pour parvenir à la paix dans cette région, à travers les principes suivants :la reconnaissance des droits des Palestiniens affirmés par les résolutions des Nations Unies, notamment la résolution 1397, et le droit pour les Israéliens à vivre en paix et en sécurité.
Soucieux de démontrer l’exactitude à toute épreuve de nos informations, j’ai appelé directement ce matin le Service de Presse du PS, à la rue de Solférino, où la très affable Madame Aïcha Ahmed m’a confirmé la véracité de l’émission dudit communiqué le 21 courant.
A mon avis, c’est maintenant que le PS va devoir s’expliquer sur ses contradictions ?
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 27 mars 2002 - 04h56: |
Bravo à Bingo d'avoir attirer notre attention sur la découverte de la similarité de la langue hébraïque et de l'égyptien. En effet les égyptiens étaient les premiers à prendre conscience du "Dieu d'Israël" Puisqu'ils étaient témoins de la lettre "Hé" hébraïque voir mon commentaire du
27 février 2000 que j'affiche à nouveau à titre de rappèle:
L'ORIGINE DE LA KHOMSA
(en français, connue comme La Main De Fatma)
Dans les Pays Arabes le symbole de la Khomsa est très connu. On le voit peint sur les façades et les portes des maisons. On le porte comme insigne, comme parure, comme bijoux. Les Juifs la portent comme accessoire. La Khomsa a gardé une signification dont l'explication de son origine est restée inconnue.
Tant les Arabes que les Juifs, s'octroyent le titre historique de ce symbole. Ils sont du moin tous d'accord que la Khomsa est un symbole protecteur.
En effet la Khomsa et un symbole de protection qui date depuis le temps quand Moïse se trouvait en Egypte.
La bible nous parle des dix plaies qui ont frappé les Egyptiens et dont les Juifs récitent l'histoire tous les ans la veille de Paques (Passover).
En ce temps-là, Moïse avait ordonné àYéhoshua (Josué), qui devint plus tard le chef de son armée, de peindre, avec du sang de mouton, le dessus de la porte d'entrée de chaque maison juive. Yéhoshua voyant que la peinture l'attardait, et comme Moise l'avait limité avec le temps, ordonna à ses hommes de tremper les mains dans le seau plein de sang et de les appliquer sur la porte des maisons juives, ce qui rendait la tâche plus facile, laissant ainsi l'empreinte des cinq doigts.
Après que les messagers de la mort étaient passés, tous les premiers-nés égyptiens ont trouvé la mort, alors que les premiers-nés juifs étaient épargnés.
Les Egyptiens se sont finalement rendus compte que les maisons juives portaient le signe de la main (Khomsa) avec du sang. Les messagers de la mort avaient reconnu le sang avec le signe de la main,et avaient frappé les maisons egyptiennes, qui ne portaient pas. ce signe.
Les Egyptiens avaient saisi que ce symbole avait sauvé les Juifs. Depuis ils avaient adopté aussi le signe de la main comme l'avaient fait leurs voisins juifs. En effet puisque ce signe symbolisait la protection, les peuples du Moyen Orient et d'Afrique du Nord l'ont adopté.
Ils est à noter que même la plupart des Juifs qui portent encore aujourd'hui la Khomsa ne se doutent pas de son origine.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 27 mars 2002 - 04h28: |
Je profite du commentaire d'aujourd'hui dans lequel Janet nous dit qu'elle ne croit pas que le peuple juif ait eu un jour de gaîté....... sauf le jour de l'indépendance d'Israël.
A cette occasion je trouve nécessaire d'intervenir et de dire mon opinion la gaîté ne dépend ni de la race ni de la religion ni du peuple ni de la nation. La gaîté est là pour tout être humain qui se remplit d'amour. L'amour et la gaîté sont deux forces divines qui se complètent.
Le peuple juif est très riche en traditions et en festivités qui le rendent joyeux et gai, voir les milliers de blagues et les comédies juives publiées dans plusieurs livres et dans plusieurs langues. Le tune lui-même est un bon vivant c'est ce qui le rend riche et joyeux. Certes la vraie gaîté est celle qui est accompagnée d'amour. Elle dérive de la foi, du culturel et du spirituel. Les autres joies qu'on appèle gaîté n'ont rien avoir avec la gaîté à laquelle je me réfère.
J'espère que ce méssage créera de la joie et de la gaîté à toute personne et à tout peuple qui désire remplir son coeur d'amour indépendemment de toutes circonstances. Je souhaite à Janet et à tous les harissiens que votre seder vous apporte de la joie et de la vraie gaîté. Voyez cet article du New York Times qui vous montre que d'autres voient dans la religion juive une religion de valeur morale.
http://www.nytimes.com/2002/03/24/magazine/24CONVERSION.html
Par Janet (Janet) le mardi 26 mars 2002 - 23h35: |
Personnellement et ayant lu beaucoup et souvent notre histoire,je ne crois pas que le peuple juif ait eu un jour de gaite depuis que la destinee l'a rendu un emigrant a perpetuite...la seule et unique date ou tous les juifs de tous les pays du monde ont crie,chante et pleure de joie,de gaite c'est le JOUR DE L'INDEPENDANCE d'Israel...et voyez comme personne n'arrive a admettre que les juifs sachent se rejouir...Les non-Juifs nous tolereraient, peut-etre si l'on reinstallait des camps de concentration ...Donc > m'eliminer en tant qu'ETRE VIVANT parce que je n'ai pas un choix bon pour moi et pour mon pays.
Par Michka (Michka) le mardi 26 mars 2002 - 22h57: |
Quand j'ai soumis à votre lecture les positions de la rédaction d'Am Israel Haï c'était dans un but d'information.
Il y a des gens admirables qui se battent sur tous les fronts pour attaquer la désinformation dont les Juifs sont victimes et Harissa en fait grandement partie, pendant ce temps-là, certains continuent à faire la politique de l'autruche.
Il n'est pas question de déposséder les Juifs de leur droit de vote mais de leur ouvrir les yeux. Chacun reste LIBRE.
Continuer à rester dupes quant aux intentions des hommes politiques est suicidaire. Entre nous et je vous pose la question suivante : irez-vous voter le coeur plein d'ESPOIR ???
Par Fernand (Fernand) le mardi 26 mars 2002 - 21h46: |
La logique qui aboutit à éliminer tous les candidats à la présidentielle me paraît spécieuse.
En effet elle aboutit à dépouiller les membres de la communauté juive qui y adhéreraient de ses attributs de citoyen. Si c’est cela qui est recherché autant le dire franchement et en préambule afin de nous éviter la lecture d’arguments de cour d’école.
Car quel est l’homme politique français qui passerait au travers de ces filtres ?
Par Michka (Michka) le mardi 26 mars 2002 - 20h51: |
Les élections présidentielles et les juifs de France par la rédaction d'Am Israël Haï
Certains de nos coreligionnaires ont choisi de s'engager concrètement dans l'élection; tels notables de la communauté ont été intronisés conseillers politiques d'un candidat notoirement hostile à Israël; telle organisation professionnelle juive appelle à voter nommément pour certains candidats plus que pour d'autres etc…
Nous n'adopterons pas cette démarche car nous comptons sur l'intelligence de chacun et respectons la liberté de choix de tous.
Néanmoins, nous estimons qu'il est indispensable de porter à la connaissance de nos amis certains faits sur les différents candidats en lice; nous ne donnerons aucune recommandation positive de vote: nous nous contenterons d'énumérer les candidats pour lesquels il nous paraît moralement "interdit" de voter à charge ensuite pour chacun de déduire, par élimination, sur qui il paraît souhaitable de porter son choix.
Le seul et unique critère d'"élimination" est la position du candidat face à Israël.
Vous découvrirez, en outre, en fin d'article, un bulletin de vote Am Israel Haï, à utiliser si vous le souhaitez…
Prenez le temps de lire cet article émanant tout droit de notre rédaction.
Liste des candidats à éliminer:
1) Jacques Chirac:
Candidat favori des juifs en 1995, Chirac est aujourd'hui honni dans la communauté.
Résumons brièvement l'évolution de ses rapports avec les juifs:
Lorsqu'il était maire de Paris, Chirac distribua généreusement des subventions aux constructions d'écoles juives et s'offusqua de la visite d'Arafat invité par Mitterrand.
Devenu l'"ami" des juifs qui votèrent massivement pour lui en 1995, Chirac reconnut la responsabilité directe de Vichy dans la déportation des juifs de France le 16 juillet 1995, ce qui fit dire à Le Pen sur le moment "M.Chirac paie sa dette électorale à la communauté juive".
Au delà du caractère ridicule de cette phrase et de l'abjection de son auteur, force est de constater que celui-ci avait raison sur la suite de cet événement.
En effet, en avril 1996, moins d'un an après avoir "payé sa dette électorale", Chirac, dans un discours fleuve prononcé devant tous les notables de l'Université Al-Azhar du Caire, centre névralgique de la subversion islamiste internationale et bastion de la formation des imams les plus fanatiques, parle de la "politique arabe de la France, composante essentielle de sa politique étrangère".
Dès lors, Chirac devient l'ennemi occidental le plus farouche d'Israël, ce qui ne s'est jamais démenti jusqu'à aujourd'hui; complètement vendu aux musulmans, Chirac ne doit moralement avoir aucune voix juive: il convient d'en tenir compte lors de l'élection.
2) Lionel Jospin
L'épisode marquant des rapports entre Jospin et les juifs restera sa visite en Israël au cours de laquelle il n'hésita pas à qualifier, comme c'est normal de le faire, le Hezbollah d'organisation terroriste et de condamner les actions de celui-ci contre les soldats israéliens, ce qui lui valut un quasi-lynchage par les bêtes sauvages palestiniennes et une sévère remontrance par Chirac.
A première vue, ces événements pourraient faire pencher notre sympathie en sa faveur mais force est de constater que sa phrase qui a fait couler tant d'encre, procédait beaucoup plus d'une volonté d'empiéter sur les prérogatives de Chirac en matière de politique étrangère et donc de s'affirmer que d'une réelle sympathie envers Israël.
Ses positions pro-palestiniennes ainsi que celles du Parti Socialiste et le choix d'Hubert Védrine, anti-juif notoire, comme chef de la diplomatie française fait définitivement pencher la balance en faveur de son élimination pat les électeurs juifs.
3) François Bayrou
Pro israélien pour les uns en raison d'une phrase prononcée à Nice sur Jérusalem comme capitale d'Israël, nous éliminons définitivement Bayrou de notre choix pour avoir donné une interview complaisante au site islamiste www.oumma.com , interview visible sur cette page:
http://oumma.com/article/afficher_article.asp?NumArticle=361 .
4) Olivier Besancenot
Candidat figurant de la Ligue Communiste Révolutionnaire, nous n'insisterons pas sur le caractère violemment anti-juif de ce mouvement d'extrême-gauche, dissimulant sa judéophobie sous des oripeaux de respectabilité anti-colonialiste. A éliminer d'urgence…
5) Daniel Gluckstein
Ne pas se laisser berner par son patronyme: Gluckstein, juif trotskyste, incarnation de la haine de soi, se voit appliquer les mêmes observations que Besancenot. A éliminer.
6) Christine Boutin
Pasionaria des anti-pacs et officiellement "anti-islamiste et ayant de la sympathie pour Israël", Madame Boutin comporte, dans son entourage politique et privé, beaucoup de catholiques intégristes de la paroisse de Saint-Nicolas du Chardonnet dont les positions anti-juives sont bien connues: à éliminer.
7) Jean-Pierre Chevénement
Sans doute l'un des candidats les plus pro-arabes qui soient. Fédérateur des anti-juifs de gauche et de droite, pro-irakien, pro-algérien, pro-palestinien, nous ne pouvons que déplorer qu'une juive ait épousé cet individu et que des juifs, y compris des notables éminents de la communauté (que nous ne nommerons pas pour ne pas faire de médisance mais dont les noms sont visibles sur le site officiel de sa candidature…), lui apportent leur caution. A éliminer de votre choix de toute urgence.
8) Robert Hue
Anti israélien et anti juif comme toute la mouvance d'extrême gauche, son élimination est naturelle et se passe de commentaires…
9) Arlette Laguiller
Son aversion pour Israel est constante et jamais reniée. De plus, elle alla jusqu'à "comprendre" les attentats du 11 septembre qui sont "mérités" au nom de la haine anti-américaine et de la lutte contre l'"oppression capitaliste". A éliminer de votre choix électoral a défaut de pouvoir l'éliminer physiquement…
10) Corinne Lepage
Seule candidate juive à l'élection, Madame Lepage a toujours montré une profonde et sincère sympathie pour Israël. Pour autant, nous ne pouvons nous résoudre à la soutenir puisqu'elle appellera à voter pour Chirac au second tour… donc à éliminer…
11) Jean-Marie Le Pen
Nous mettons en garde tous les juifs qui seraient tentés de voter pour lui en pensant que c'est un allié des juifs dans la lutte contre les arabes qui incendient des synagogues: non seulement Le Pen est un anti-juif notoire mais la la haine qu'il éprouve pour nous s'accommode fort bien d'une complaisance envers les islamistes les plus radicaux et certains dirigeants arabes avec lesquels il entretient les rapports les plus cordiaux comme Saddam Hussein ou Kadhafi.
Ajoutons que son épouse n'a rien d'autre à faire de ses journées que de s'occuper des enfants irakiens avec sa fondation "Enfants d'Irak" alors que la logique politique à laquelle elle adhère devrait plutôt conduire cette grande bourgeoise à s'occuper en priorité des "petits français".
Voter Le Pen est un crime pour un juif.
12) Bruno Mégret
Mégret est beaucoup moins complaisant envers les islamistes que ne l'est Le Pen mais il est tout aussi anti-juif que lui et l'interdiction de voter pour lui quand on est juif est tout aussi forte.
13) Alain Madelin
Sans doute le candidat les plus pro-israélien qui soit: il avait eu le courage politique d'aller en Judée-Samarie avec Jacques Kupfer, président du Likoud de France et est apprécié d'Ariel Sharon. Les élus de son parti le sont tout autant.
Pour autant, nous nous refusons à le soutenir car il s'est expressément prononcé pour un état palestinien, faute impardonnable à nos yeux. A éliminer comme les autres… Dommage…
14) Noël Mamère
Ecologiste, donc appartenant à un mouvement ayant depuis longtemps prouvé son hostilité à Israel, son élimination est indispensable. A lire: son interview sur le site islamiste http://oumma.com/article/afficher_article.asp?NumArticle=364 .
15) Charles Pasqua
Son profil "sécuritaire" et anti "jeunes de banlieue" nous laisse penser qu'il est sans doute le seul candidat qui oserait faire quelque chose contre les actes anti-juifs mais la fidélité à ses convictions gaullistes et donc forcément pro-arabes ne peut faire pencher la balance qu'en sa défaveur.. A éliminer donc..
16) Christiane Taubira
Réputée tiers-mondiste et anti-mondialisation, elle n'hésite pas à apporter son soutien à José Bové l'anti-juif et ses amis… Vous savez ce qu'il vous reste à faire…
17) Jean Saint-Josse
Aucune prise de position dans le conflit: no comment.
18) Jacques Cheminade
Candidat d'extrême gauche mais ayant des liens avec les milieux d'extrême droite américains, sa candidature fantaisiste ne présente aucune sympathie particulière, bien au contraire, pour les juifs: à éliminer
Faisons donc les comptes: 18 candidats, 17 à éliminer, un figurant à négliger…
Reste donc…Hum… Il doit y avoir une erreur…
Non, il n'y a aucune erreur car il n'y a personne de valable pour un juif soucieux de la situation dont souffre Israël.
La première chose que nous lui conseillons de faire est de quitter la France et d'émigrer en Israël.
La seconde est de glisser le bulletin ci-dessous dans l'urne en guise de protestation:
A découper selon les pointillés
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EN 1942, SOUS LA HOULETTE DE PETAIN, LAVAL ET DARQUIER DE PELLEPOIX, L'ETAT FRANÇAIS VEND LES JUIFS A L'OCCUPANT ALLEMAND ET N'HESITE PAS A LES ENVOYER A LA MORT…
EN 2002, SOUS LA FERULE DE CHIRAC, JOSPIN ET VEDRINE, PREMIERS DIRIGEANTS OCCIDENTAUX A AVOIR RETABLI LE CALIFAT EN PLEIN CŒUR DE L'EUROPE, LA REPUBLIQUE ARABE DE FRANCE, OCCUPEE PAR LES ISLAMO-NAZIS, LAISSE SE PERPETRER SUR SON SOL UN GRAND NOMBRE D'ACTES ANTI-JUIFS DANS LE BUT D'OBTENIR LES VOIX MUSULMANES.
1942-2002: 60 ANS N'AURONT DONC PAS SUFFI POUR QUE LA FRANCE TIRE LES LECONS DE SON HISTOIRE.
ELLE EST AUJOURD'HUI UN PAYS FOUTU, N'AYANT PLUS D'AUTRE AVENIR QUE CELUI DE DEVENIR MEMBRE DE LA LIGUE ARABE ET NOUVEAU LIEU SAINT DE L'ISLAM.
PAR CE VOTE NUL MAIS MILITANT, JE MARQUE MON EXASPERATION DE CE QUE LA FRANCE EST DEVENUE ET QUI EST ILLUSTRE PAR L'IMAGE CI-DESSOUS:
Par Toufiq (Toufiq) le mardi 26 mars 2002 - 19h51: |
merci nao pour ton explication,tu n'a omis (naomi)aucun detail.pour le seder avec l'agneau aucun betail n'a egalement ete omit.s'il y a des pratiquants et aussi vegetariens parmi nous je serais curieux de savoir comment et quoi ils mettent sur leur table de seder.tres bonnes fetes et bisous a la petite.
Par Bingo (Bingo) le mardi 26 mars 2002 - 19h49: |
On a retrouvé l'Arche d'Alliance
L'incroyable découverte de deux chercheurs français
Trop longtemps, les historiens et archéologues ont refusé de voir ce qui saute aux yeux lorsque l’on étudie la civilisation pharaonique et la culture hébraïque. D’incroyables similitudes entre les deux alphabets ont donné envie à Messod et Roger Sabbah de relire la bible sous un angle nouveau. En comparant les textes bibliques hébraïques et araméens, avec la langue égyptienne, les preuves se sont accumulées jusqu’à former un tableau cohérent de l’histoire du peuple Juif. Voici comment ils ont retrouvé l’Arche d’Alliance.
Par Messod et Roger Sabbah
Le 4 novembre 1922, l'un des ouvriers du chantier d'Howard Carter et de Lord Carnavon découvre dans la Vallée des Rois, face aux ruines de l'ancienne capitale Thèbes, la première marche de l'escalier conduisant dans la tombe de Toutankhamon, mort en 1330 avant J.C. La nouvelle se répand comme une traînée de poudre, déclenche une euphorie générale. Presse, médias, personnalités scientifiques et politiques, rois, le monde entier ne parle que de la plus magnifique de toutes les découvertes archéologiques. Après de longs mois d'étude, de classification des objets et du mobilier funéraire, la tombe fut vidée de tout contenu. Seul le lourd cercueil de granit rouge, avec à l'intérieur le premier des trois sarcophages contenant la momie du roi, conserva son emplacement originel dans la chambre funéraire. Toutes les richesses furent regroupées au musée du Caire et exposées au regard des visiteurs émerveillés par ces œuvres d'arts, vieilles pour le moins de trois mille deux cent cinquante ans.
Le tombeau fut ouvert aux touristes, généralement surpris par son exiguïté comparée aux autres hypogées de la Vallée des Rois.
Cependant, bien qu'étudiée de fond en comble, la tombe de Toutankhamon n'avait pas révélé tous ses secrets. Elle renfermait plusieurs énigmes auxquelles nul historien, égyptologue ou exégète ne prêta attention : sur le mur est de la chambre funéraire, au-dessus des douze prêtres tirant le catafalque mortuaire, sont peintes huit colonnes d'inscriptions religieuses.
Sur la dernière colonne, un signe hiéroglyphique insolite est tracé: Ce hiéroglyphe signifiant en égyptien "Grand Dieu" ou "Ô Dieu", rappelle exactement la cinquième lettre de l’alphabet hébraïque, le "Hé" ç qui est aussi en hébreu le symbole du "souffle de Dieu". Sans doute cette "coïncidence" entre les deux écritures n'attira-t-elle pas les chercheurs, persuadés pour la plupart d'une absence de filiation entre la civilisation des anciens Egyptiens et celle des Hébreux...
Tombe de Toutankhamon
Hiéroglyphe “Le Grand Dieu”,
équivalant du “Hé” hébreu
Sur le mur nord, un personnage énigmatique, coiffé de la couronne d'Egypte arborant furéus, serpent symbole de royauté, préside à la cérémonie de "l'ouverture de la bouche" du roi défunt Toutankhamon. Le nom de ce mystérieux personnage figure sur deux cartouches royaux placés au-dessus de son visage : le Divin Père, le pharaon Aï. Son nom "Aï" s'écrit en hiéroglyphes de deux signes :
Si l'on isole ces deux signes du cartouche de Aï, ils sont graphiquement identiques aux deux Yod hébreux. Mais encore, plus troublante est la ressemblance de ces deux Yod avec le nom ineffable de Dieu le Yod-Yod de la Bible araméenne que l'on prononce "Adonaï" dans la liturgie, car il est interdit de dire le nom de Dieu.
Le pharaon Aï représenté dans la tombe de Toutankhamon serait-il impliqué dans l'histoire des Hébreux, telle qu'elle fut racontée dans la Bible ?
A l'entrée de la salle du trésor, couché sur un "coffre à brancards", le chien Anubis garde la tombe de Toutankhamon ; son nom se prononce en égyptien "Anabi" (ou Anapi). La similitude entre les deux langues est frappante. En hébreu, Nabi signifie prophète ou gardien de la loi. Mais plus encore, le chien et le coffre sont recouverts d'un châle sacré de lin à franges, "agrémenté d'une double tresse de lotus bleus" rappelant les bandes bleues du "talleth avec les tsitsit", le châle de prière frangé des Hébreux.
L'Eternel parla à Moise en disant : "Parle aux enfants d'Israël et dit leur de se faire des franges aux ailes de leurs vêtements, dans toutes leurs générations, et d'ajouter à la frange de chaque coin un cordon d'azur" (B.H.R. Nombres XV, 37)
Le "coffre à brancards" en bois sculpté et doré à la feuille, rappelle dans sa forme et dans sa conception religieuse l'Arche sainte de la Bible portée par les prêtres.
Tu la recouvriras [l’arche sainte ; en hébreu "arone"] d'or pur, à l'intérieur comme à l'extérieur tu la recouvriras, au-dessus tu construiras une corniche d'or tout autour. (Exode XXV,11)
Tu feras des barres de bois de chittim, et tu les recouvriras d'or. (Exode XXV, 13)
La chambre funéraire de Toutankhamon contenait quatre chapelles imbriquées les unes dans les autres. La deuxième était recouverte d'un grand voile de lin, placé sur une armature de bois, donnant à cet ensemble l'aspect d'une tente. Cette dernière, recouvrant les trois autres chapelles, avait été comparée à l'époque avec la tente qui abritait le tabernacle de l'Ancien Testament, le Saint des Saints construit en bois doré, et contenant l'Arche d'alliance...
Le tabernacle, sa tente et sa couverture ; ses agrafes et ses planches, ses traverses, ses piliers et ses socles... (Exode XXXV, 11)
Tu feras un rideau pour l’entrée de la tente, en azur, pourpre, écarlate et de lin retors, travail de brodeur. (Exode XXXVI, 36)
Lorsqu'Howard Carter ouvrit la troisième chapelle, il remarqua sur l'un des panneaux latéraux deux anges aux ailes déployées vers le haut, évoquant les anges situés sur l'Arche sainte du récit biblique. Ils étaient reproduits sur les deux portes scellées de la quatrième et dernière chapelle, ainsi que sur le couvercle du sarcophage d'or.
Les chérubins devront déployer leurs ailes vers le haut, abritant de leurs ailes le couvercle, leur face l'un vers l'autre.
(S.E., Exode XXV, 20)
Selon la description de Carter, l'examen du dernier sarcophage de Toutankhamon, fils présumé d'Akhénaton, permet de faire l'observation suivante : celui-ci, en or massif était recouvert d'un voile de lin de séparation rougeâtre. Or la Bible parle également d'un voile et d'un rideau pourpre couvrant l'Arche sainte...
Tu y déposeras l’arche du témoignage, et tu couvriras l'arche au moyen d'un voile.
(Exode XXXVI, 19)
Tu feras un rideau pour l'entrée de la tente, en azur, pourpre et d'écarlate et de lin retors ...
C'est là, au-dedans du rideau, que tu feras entrer l'arche du témoignage.
(Exode XXVI, 31-33)
Le corselet d'or de Toutankhamon, costume des pharaons et des dieux, composé de deux rectangles de pierres et d'or tressés (pectoral et dorsal) reliés par des bretelles d'or, terminé en arrière par des chaînes tressées, évoque le vêtement sacerdotal, de forme analogue, porté par le grand prêtre biblique.
Corselet d'or de Toutankhamon. Le pectoral comprend six rangées en avant et six en arrière.
Tu feras le pectoral de justice, ouvrage d'artiste, comme l'ouvrage de l’éphod [robe du grand prêtre] tu le feras : c'est d'or, d'azur, de pourpre, d'écarlate, et de lin retors. Que tu le composeras.
Il sera carré, plié en deux ; un empan en longueur, un empan en largeur.
(Exode XXVIII, 15)
Tu devras faire sur le pectoral des chaînes tressées, ouvrage en faon de cordes en or pur...
(S.E., Exode XXXVIII, 22)
Les nombreuses amulettes retrouvées sur la poitrine de la momie du petit roi ont-elles un rapport avec les "ourim" et les "toumim" du grand prêtre, tel qu'ils sont décrits dans la Bible ?
Et tu placeras sur le pectoral du jugement les ourim et les toumim pour qu'ils soient sur la poitrine dAaron lorsqu'il se présentera devant l'Eternel.
(Exode XXVIII, 30)
Rachi commente :
Ourim et Toumim. C'est le nom divin écrit en clair, qu'il portait [le grand prêtre] sur les plis du pectoral, grâce à quoi il rendait claires (Méïr ) ces paroles et il rendait vraies (Matemam ) ces paroles...
“Le pectoral de Toutankhamon est formé de douze rangées de pierres incrustées.”
Akhénaton portait le nom de son dieu Aton sur sa poitrine, et vénérait Maât, déesse de la justice et de la vérité... La Bible parle du "pectoral du jugement" incrusté de douze sortes de pierres :
Tu l’empliras de pierreries enchâssées en quatre rangées de pierres. Sur une rangée un rubis, une topaze et une émeraude, première rangée. Deuxième rangée : un nofek, un saphir et un diamant ; troisième rangée : un léchem, un chebô et un ahlama ; quatrième rangée : une tartes sienne, un choham et un jaspe. Ils seront enchâssés dans de l'or, lors de leur remplissage. Ces pierres, au nom des fils d'Israël, sont au nombre de douze selon ces noms. Elles seront gravées en manière de cachet, chacune avec son nom, selon les douze tribus.
(Exode XXVIII, 17)
Les artistes accomplissant de telles ceuvres d'art ne pouvaient être issus que de la caste des prêtres joailliers, seuls à même de transmettre leur savoir. Le masque de Toutankhamon porte un pectoral divisé en douze rangées de pierres incrustées dans l'or, et disposées en trois groupes de quatre...
Après avoir isolé la momie du sarcophage d'or, les archéologues retirèrent délicatement les bandelettes afinde dégager du corps du jeune roi les nombreux objets précieux, couteaux, amulettes, colliers et pectoral d'or. L'avant bras gauche de la momie ainsi dénudé portait six bracelets d'or, un seul au niveau du biceps et deux anneaux à la main gauche: l'un sur le majeur et l'autre sur l'annulaire. Les bracelets et les anneaux ainsi placés correspondent à la position des phylactères ou téfilines de la tradition hébraïque, entourant l'avant-bras gauche et les deux doigts de la main.
Le bandeau d'or" sur la tête de Pharaon arbore furéus sur le front, vautour et serpent, signes de Haute et Basse Egypte, terminé par deux lanières tombant sur la nuque. Il évoque également les "téfilines de la tête", les phylactères, formés du boîtier portant le nom divin, du bandeau frontal et de deux lanières.
Tu les attacheras [les paroles sacrées]
comme symbole sur ton bras,
et tu les porteras
en fronteau entre tes yeux.
(B.H. Deutéronome VI, 4-9)
La tête de la momie de Toutankhamon, coiffée d'une calotte ornée de sceaux d'or gravées au nom d'Aton, semble être l'ancêtre de la kippa portée par les fidèles du judaïsme.
Le châle de Pharaon, en égyptien "sesset", avec ses bandelettes bleues azur et or, pourrait être l'origine du châle des rabbins, appelé "talleth" ou "sesset", caractérisé par des bandes bleu azur.
Vénère Dieu sur ton chemin
Quelle que soit sa forme manifestée,
Qu’il soit fait de pierres rares
Ou incarné dans une statue de cuivre,
Une forme remplacera une autre forme,
Comme l’innondation succède à l’inondation.
Donne ton amour à la terre entière.
Sagesse de Mérikaré
Par Admin (Admin) le mercredi 27 mars 2002 - 06h27: |