Par Admin (Admin) le mercredi 24 avril 2002 - 02h24: |
Par Zagdoun (Zagdoun) le mardi 23 avril 2002 - 16h53: |
Monsieur BUENO
il semblerait que le pen soit plus dangereux que chirac ..a voir tous ces gens chialer .
Par Henri Bueno (Henri) le mardi 23 avril 2002 - 14h33: |
Quelle diference y a t-il entre le pen et chirac?,
l'un dit tout haut ce qu'il pense, et l'autre par ses "bons" conseils a arafat, a ete son complice de la mort de centaines de victimes.
Comment pourais je donner ma voix a chirac?
Par Henri Bueno (Henri) le mardi 23 avril 2002 - 14h14: |
Bebert,
Tu as certainement raison, mais que faire l'un est "treffa" et l'autre est "nebela".
Peut-etre que quelq'un a une solution?
Par Albert Simeoni (Albert) le mardi 23 avril 2002 - 13h52: |
ELECTIONS/ CHED MCHOUMEK OULLE I JI OUHED EMCHEM MENOU
( Garde le mauvais avant qu'il ne vienne un pire)
Ma chère ISABELLE,
Nous nous connaissons si bien que je n'ose même pas te contredire. Mes sentiments envers toi, et pourquoi les cacher ……? ont dépassé le cadre amical et ont pris une direction …….fraternelle.
Excuses moi de te le redire, je t'aime énormément et sin nous étions célibataires, j'aurai fais une démarche envers tes parents, à mes risques et périls. Bon, je n'ai pas eu de chance et puis je courts si mal….
Tu es magnifique , et tu ressembles à ces anguilles qui nagent à contre courant.
Si je prends mon cas, et celui de beaucoup d'autres familles, qui vivent ici depuis des décennies, partir serait catastrophique. L'esprit pionner c'est pour les jeunes. Sauf, si la situation devient dangereuse.
J'ai vécu en Tunisie et si j' en suis parti c'est pour un problème familial sinon j'ai vécu heureux.
J'ai mis 12 ans pour refaire ma vie, à projeter, non pour moi mes pour mes enfants. Mes filles.
Patricia, je te demande pardon de t'avoir donné rendez-vous à CESARE, ce n'est pas pour le moment.
En attendant, mets tes pieds dans un sot d'eau en pensant à ALBERT, qui n'a même pas un sceau pour essuyer sa boutique. Nous irons a SYRACUSE.
Merci Monsieur Mistiri, pour votre assurance concernant la syna de la MARSA. Et pour votre émotion particulière pour la GHRIBA.
ALBERT
Par Zagdoun (Zagdoun) le mardi 23 avril 2002 - 10h24: |
j'apprend dans vos messages , qu'israel est condamné par ci , rejeté par là , que les lieux de prières juifs sont profanés , comme certains cimetières ..ce sont malheureusement ces actes qui mettent Israël sur la défensive et qui font réagir cet état avec force , surtout militaire .quel choix a t'il que celui ci ?
israel n'a pas beaucoup de possibilité de repli , en cas de catastrophe , alors il fait tout pour l' éviter .qu'y a t il de plus normal ?
Par Henri Bueno (Henri) le mardi 23 avril 2002 - 07h53: |
Monsieur Monastiri,
Afin de mettre un peu d'ordre dans cette bataille de desinfomation, pouriez vous envoyer une photo actuelle de l'interieur de la synagogue de la Marsa,ou je conduisait souvent mon grand-pere qui etait mal-voyant.
Je vous en remercie
Chalom et Brahka
Y-H Bueno
Par Davideden (Davideden) le mardi 23 avril 2002 - 05h50: |
Emile,
Tu as raison. la seule chose qui doit etre maintenu est la communication avec les Juifs en France. Le but est de leur permettre de prendre des decisions quand et si ils avaient a en prendre.
Neanmoins. sur le plan personnel, chacun est libre de pousser et aider sa famille ou ses amis a foutre le camp.
Par Email (Email) le mardi 23 avril 2002 - 03h07: |
LA MARSA
Je suis tunisien musulman et j'ai pleuré quand j'ai appris le lâche attentat contre la Ghriba qui pour nous Tunisiens (juifs et musulmans) est un magnifique symbôle de la saine et heureuse cohabitation entre nous. J'ai appris par une presse haineuse que la synagogue de La Marsa aurait été victime d'un abominable acte antisémite, comme je suis citoyen de cette jolie petite ville, je suis allé IMMEDIATEMENT vérifier cette info, j'ai découvert que la synagogue est intacte, sans le moindre graffiti ni rien du tout. J'y ai emmené des amis francais qui ont fait le même constat. Alors mes amis juifs, mes concitoyens tunes, de grâce ne soyez pas victmes des manipulateurs. En Tunisie nous aimons nos amis tunes, nous respectons leur religion et nous sommes solidaires d'eux quand ils souffrent d'un acte ignoble et malveillant, mais nous n'acceptons pas la calomnie et la propagation de fausses nouvelles.
-Taoufik MONASTIRI (ou MESTIRI, comme vous voulez)
2070 LA MARSA
Tunisie
eMail : tmonastiri@planet.tn
Par Anonyme (Anonyme) le mardi 23 avril 2002 - 03h05: |
APres l'UEFA qui a sanctionne l'Hapoel Tel AViv, la FIFA voudrait suspendre ISRAEL ...Les discussions auront lieu le 3 mai...La propagande antiisraelienne touche tous les secteurs...A nous de la combattre...Voici l'email aupres duquel il faut protester...
Je compte sur vous TOUS et TOUTES
media@fifa.org
FIFA to vote on Israel ban
FIFA president Sepp Blatter has decided to include a plea for suspending Israel on the agenda of the executive of world soccer's governing body on May 3, according to reports over the last two days. In the last month several Arab soccer bodies have asked to have Israel ostracized because of the conflict with the Palestinians.
The Saudi news agency (SNA) on Sunday reported that Blatter sent a letter to the head of the Saudi FA, Sultan Bin Fahd Abdul Aziz, in which he said: "The matter of the suspension of the Israeli FA because of the country's actions against the Palestinian population is an issue we will have to consider seriously at our executive meeting in Zurich." Sources at FIFA headquarters Monday confirmed the issue would be discussed in Zurich on May 3.
Last month the Saudis sent a letter to FIFA on behalf of the Arab Football Union in which they called on Blatter "to protect the interests of the Palestinian FA - a full member of FIFA, which has been harmed by Israeli actions." Jordan, Kuwait, Syria, Lebanon and Oman added their names to the letter.
Blatter's move is clearly connected with his bid for re-election in a vote on the eve of the World Cup finals in Seoul on May 29. Blatter's standing as the most important functionary in the world's most important sport has taken a severe knock lately following allegations of corruption and mismanagement.
The balance of power in the committee appears to suggest the proposal has only a slim chance of being adopted. Apart from Blatter, there are eight European members of the committee, three of whom are vice presidents. All of them, except perhaps Belgium's Michel D'Hooghe, are expected to vote against.
UEFA president Lennart Johansson and Italian Antonio Matarrese are long-standing friends of Israel, as is Scotland's David Will. All of them will adopt the UEFA line which invariably opposes FIFA and its boss, Blatter. South Korea's Chung Mong-Joon, Julio Grondona, the president of the Argentina FA, and CONCACAF president Jack Warner are also not expected to support the proposal.
Jacob Erel, the chairman of UEFA's tournament committee who works out of Switzerland, warned that Israel would have to do some work to ensure the motion is defeated. "Even if there is only a slim chance that the move to suspend Israel is adopted, it is important to be prepared and to work hard to persuade the delegates on a personal level," he said. "It was not so long ago we saw how unlikely but politically-loaded votes went against Israel. Usually UEFA makes a special effort to oppose political dictates, so we should expect most of the European delegates on the committee to vote against. So will others, but nothing can be left to chance. It is imperative to work hard on each and every member of the committee in order to ensure their vote," Erel said.
Israel Football Association chairman Gavri Levy sent an urgent personal letter to Blatter on Monday and also asked for a meeting as soon as possible before the committee convenes. "We will act swiftly and decisively and I hope that it will all come to nothing, but in the disgusting world in which we live anything is possible," he said.
david.barouch@wanadoo.fr
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 23 avril 2002 - 02h27: |
A mon avis personne au monde n'a le droit de conseiller aux Juifs de France s'ils doivent emigrer ou rester s'il n'engage pas avec ses conseils sa résponsabilité financière.
Chacun doit décider seul son destin.
Par Mena (Mena) le mardi 23 avril 2002 - 02h20: |
Constat de forfaiture ! (info # 012304/2)
Par Denis Elkoubi à Paris © Metula News Agency
La désinformation est un néologisme, dont l’usage s'est répandu comme une traînée de poudre dans le vocabulaire de tous ceux qui se sentent dérangés, depuis l'automne 2000, par la relation des événements du Proche-Orient, telle qu’elle est faite par la plupart des médias français.
Ce mot recouvre cependant une réalité complexe, et la responsabilité des médias diffère selon la nature des désinformations.
Notre vocabulaire s’étoffe alors, au fur et à mesure que l’on comprend mieux le phénomène. De l'inculture crasse de tel ou tel journaliste, à la propagande volontaire des dirigeants d’un média ; de la mal-information, de la désinformation, de la fausse information, de la non information, de l'information occultée, non recoupée, on a fait goûter au peuple des formules diverses de la manipulation du récit de l’actualité.
On a eu droit à la fausse légende, aux images sans parole et donc indéchiffrables, ou plutôt qu’on ne peut déchiffrer qu'au premier degré. C’est un peu comme si, tout ce qui se passe au Proche-orient était aussi limpide qu'un roman de Barbara Cartland, et que les falsifications imaginables ont déjà toutes été fabriquées.
Aujourd'hui, une habitude semble s'être emparée du monde journalistique, elle consiste à éviter soigneusement de traiter les nouvelles qui parlent en faveur d’Israël. Lorsqu’on butte sur celles-ci et si on ne peut éviter d’en parler, on s’aménage le temps de les étudier dans tous les sens, si bien que le public n’en prend connaissance qu'une fois que l'événement est tombé dans l'oubli et dans le désintérêt !
Par contre, toute information qui peut noircir la cause d’Israël est immédiatement mise en onde, sans la moindre réserve, l’ombre d’une analyse critique, l’aube d’une mise en perspective et bien sûr, sans l’esquisse d’une vérification.
Considérons l'affaire du Karine A par exemple. Alors même que les armes étaient présentées à la presse, étalées sur un dock à Eilat, le Monde donnait encore la version d'Arafat, celle du "navire affrété par les israéliens afin de torpiller le processus de paix !" A la place d’investiguer la filière Hamas-Iran et les dangers que ces associations de terroristes font encourir aux intérêts du monde libre, le Monde s’emmêlait la réputation, à colporter les bobards du commanditaire des armes de contrebande !
Prenons l'affaire du petit Mohamed Al Dura. Il aura fallu 18 mois pour que des journalistes allemands osent poser la question de l'origine des balles meurtrières. Peu importe, à la limite, les conclusions de leur reportage, c'est la démarche qui était déontologiquement nécessaire dans un environnement médiatique qui se fait volontairement naïf, au point d’attiser la haine ethnique, par la propagation répétitive d’informations non vérifiées, toutes à la charge des Israéliens. Même que, visiblement, cette démarche salutaire n’a toujours pas approché les studios de Fr2 !
Au sujet de Djenin, on observe les mêmes complaisances des médias, dans leur hâte inconcevable à colporter les annonces de massacres. Et peu importe à ces médias que les annonces émanent de sources éminemment non fiables (c'est-à-dire, de sources qui se sont continuellement avérées percées depuis des années, c’est-à-dire aussi, des sources qui viennent de se révéler mensongères dans l’affaire du Karine A) puisque ils ont pris la décision dramatique de publier ces informations en faisant l’économie de toute vérification des faits. Bernard Henri-Lévy fustigeait avant-hier cette précipitation sur une radio FM : "qu'importe de ne pas faire un gros titre de Libération lundi matin, l'information peut attendre mardi et être vérifiée".
Ainsi, hier, au journal de la mi-journée d’Europe 1, un journaliste du nom de Bertin interrogeait Guy Siri, le directeur régional adjoint de l'Agence des Nations Unis pour l'Aide aux Réfugiés (UNWRA), sur ce qui se passe à Djenin après le retrait israélien.
Le journaliste affirmait, ce qui constitue un exercice hasardeux bien qu’habituel lors d’une interview, " afin de ne pas effacer les traces d'un éventuel massacre, la recherche des survivants dans les ruines a été arrêtée".
Cette remarque eut le don de faire sursauter Guy Siri qui lui répond "pas du tout, nous continuons les recherches, mais celles-ci sont très délicates, car de nombreuses ruines sont truffées d'explosifs. Hier d'ailleurs, un médecin a eu le pied arraché par une mine anti-personnelle !"
J’attends alors avec une curiosité aiguisée la question clé de l’entretien, celle qui peut faire un peu de lumière sur l’énigme de Djenin et qui s’impose, journalistiquement parlant, après la dernière réponse de Siri : Qui a disposé les explosifs dans les ruines de Djenin, les Palestiniens ou l’armée israélienne ?
Cette question est bien entendu cardinale dans la recherche de la vérité, puisque tout au long de la bataille dans le camp de réfugiés de Djenin, les Israéliens ont argué qu’ils étaient dans l’impossibilité d’évacuer les blessés palestiniens ou de laisser les gens de la presse se déployer dans cette zone, précisément parce qu’elle était littéralement truffée d’explosifs, de bobby-traps et de mines disposées à dessein par les éléments armés des organisations terroristes palestiniennes.
Effectivement, si Guy Seri peut témoigner de ce qu’il sait, il va sans doute étayer par sa contribution les thèses israéliennes !
Pourtant, comme si l'information avait soudain perdu toute espèce d’intérêt, Bertin éluda la question et prit congé de son interlocuteur.
Il avait ainsi évité de diffuser sur les ondes d’Europe un témoignage de proximité qui étayait la version israélienne et qui accentuait le doute raisonnable sur l’hypothèse palestinienne des massacres.
On ne doit pas éviter de se poser la question, de savoir si en agissant ainsi, Bertin a véritablement fait un travail de journaliste ? Sinon, comment faudrait-il qualifier sa démarche ? Faut-il y voir celle d’un propagandiste, celle d’un exécutant de la désinformation, peut-être ? A ce qu’il semble, Bertin est arrivé à Djenin en sachant d’avance ce qu’il voulait y trouver : un massacre et rien d’autre ! Et cette recherche dirigée fait, à priori, l’impasse sur toutes les évidences qui pourraient démontrer, à concurrence de preuves, que l’hypothèse de départ de la rédaction d’Europe 1 est invalide ! Soit Bertin va véritablement découvrir des charniers en Palestine, soit il va se taire, mais en aucun cas, la dialectique de la vague médiatique qui porte les médias français, ne va-t-elle envisager ce qui ressemble à l’évidence, à savoir une nouvelle tromperie médiatique des dirigeants palestiniens ou encore, une confirmation des thèses israéliennes. La dynamique de la désinformation, c’est de parler sans limites de massacres, dans le cas de Djénin, quitte à mettre des réponses dans la bouche des témoins qui refusent de les consommer, jusqu’à ce que les évidences (comme dans le cas du Karine A) démontrent de manière irréfutable l’inanité absolue des thèses du massacre. Dès lors, on lèvera le camp, sans faire l’effort de remettre les faits à leur place, en s’abstenant soigneusement d’entériner les affirmations ininterrompues d’Israël et en ne songeant pas un seul instant, à demander pardon d’avoir aussi mal fait son boulot et d’avoir trempé dans la merde l’image d’une nation innocente ! Pire, on quittera Djénin sur un reportage sibyllin, apte à entretenir la confusion dans l’esprit des auditeurs français ; on risquera un : "Bien sûr les enquêteurs n’ont rien trouvé mais est-ce qu’on trouve jamais les preuves des souffrances des innocents ?" On laissera ainsi l’auditeur lambda, saoul de désinformation, penser un truc du genre : "On s’arrange toujours pour protéger les juifs, tout le monde aide toujours à dissimuler les crimes des juifs" et la charge émotive, générée uniquement par l’arnaque médiatique, ira gonfler le ressentiment xénophobe qui brûle ces temps le cœur des Français !
Des vrais professionnels, collègues journalistes et grands reporters des chaînes de télévisions françaises et des grands organes de la presse écrite, nous répètent à l'envi que le responsable principal de la désinformation c’est l'inculture générale des néo-journalistes. Nous avons ainsi essayé, parce qu’ils sont honnêtes dans leur conviction, pendant ces longs mois de lynchage médiatique, de ne pas céder à l'idée qu'il y avait une volonté organisée de nuire à Israël derrière la "désinformation".
Pourtant, l'inculture ne peut pas, à elle seule, servir d’excuse à la trahison de toutes les règles du métier de journaliste. Quand depuis 18 mois, la Ména s’est insurgée, documents à l’appui, contre la dérive des médias, relevant jour après jour, avec la méticulosité d’un horloger, les distorsions, les manipulations les falsifications, personne ne peut plus affirmer raisonnablement qu'il ignore les conséquences ravageuses d'une information qui ne ferait pas l'objet d'une élaboration scrupuleuse, en conformité avec les règles et les usages de notre profession.
Aujourd'hui, il nous faut bien considérer avec Stéphane Juffa, que l'inculture des informateurs, mais aussi, le sacrifice qu’ils font des normes et des valeurs sont tels, que l’équilibre démocratique, républicain et des comportements politiques, s’en trouve directement menacé.
L'abandon résolu du sens critique donne des habitudes compulsives. Hier, les rumeurs remplaçaient les investigations, aujourd’hui, ce sont elles qui font l'information.
Les résultats du premier tour des élections présidentielles ont mis en évidence, comme sur une prise de vue instantanée, la somme des sentiments haineux et non réfléchis qui hantent notre communauté nationale. A force de bâtir l’information sur la rumeur, on autorise les esprits à construire aussi leur conviction sur des bases de valeurs similaires. Pourquoi, quelqu’un pensait-il qu’une telle information pouvait exister sans forcément induire la formation des idées ?
Par Mailroom (Mailroom) le mardi 23 avril 2002 - 02h08: |
L'explosion à Djerba est "un acte criminel prémédité", dit Tunis
Par Lamine Ghanli
TUNIS (Reuters) - La Tunisie, qui avait initialement soutenu que l'explosion meurtrière du 11 avril devant la synagogue de la Ghriba à Djerba était un accident, a pour la première fois déclaré lundi qu'il s'agissait en fait d'un attentat suicide.
"Il s'est avéré que l'explosion est un acte criminel prémédité, perpétré par un Tunisien dénommé (Nizal) Naouar avec la complicité d'un proche parent en Tunisie," déclare le gouvernement dans un communiqué.
Le gouvernement a diffusé ce communiqué trois heures après que le ministre allemand de l'Intérieur, Otto Schily, eut déclaré que Berlin et Tunis étaient convaincus du caractère criminel de l'explosion de Djerba, qui a coûté la vie à 11 Allemands, cinq Tunisiens et un Français.
"Il existe des informations sûres nous donnant à penser à 100 pour cent que c'était un crime terroriste", a déclaré le ministre allemand à des journalistes après avoir été reçu par le président tunisien Zine el-Abidine Ben Ali.
Il a en revanche ajouté qu'il était impossible d'affirmer avec certitude que l'attentat - commis à l'aide d'un camion-citerne transportant des bonbonnes de gaz - était l'oeuvre d'Al Qaïda, comme l'ont déclaré certains de ses collègues, selon qui il existe des preuves de l'implication des réseaux d'Oussama ben Laden.
Le gouvernement tunisien n'a pour sa part fourni aucun élément sur le groupe auquel serait lié Naouar.
Deux quotidiens arabophones basés à Londres ont dit la semaine dernière avoir reçu une revendication émanant de l'Armée islamique de libération des lieux saints, un groupe qui serait proche d'Al Qaïda, selon eux.
Schily, qui a fait étape dimanche sur l'île de Djerba, a déclaré que des analyses techniques "nous ont amenés à être sûr à cent pour cent qu'il s'est agi d'une attaque terroriste".
PROJETE EN L'AIR
Selon lui, les informations sur le camion-citerne, les substances utilisées et le site de la déflagration devant la plus ancienne synagogue d'Afrique du Nord confirment que l'attentat était délibéré.
"Les informations et les précisions pointent vers un crime. La quantité et la nature des matériaux utilisés dans le camion-citerne confirment qu'il s'est agi d'un attentat (terroriste)", a dit le ministre allemand, qui a refusé d'en dire plus, invoquant "l'intérêt de l'enquête en cours".
Le gouvernement tunisien a en revanche accepté de fournir certains éléments sur les matériaux utilisés, déclarant que "l'enquête a fait ressortir le caractère artisanal des produits utilisés et de la méthode d'exécution de l'opération".
Pour la première fois, il donne des détails sur le kamikaze, soulignant que "les investigations ont également permis d'établir que l'auteur de l'opération résidait à l'étranger".
Le frère de Naouar, Walid Ben Mohamed Naouar, qui vit en France, a vu lundi son recours contre un arrêté de reconduite à la frontière rejeté par le tribunal administratif de Lyon.
Tunis ajoute également que l'enquête se poursuit en coopération avec les autorités françaises et allemandes.
Ces dernières, qui penchaient déjà depuis plusieurs jours pour la thèse de l'acte criminel, ont interpellé brièvement mardi dernier un homme en liaison avec l'explosion de Djerba.
A Berlin, le quotidien à grand tirage Bild publie lundi le récit d'un rescapé allemand de l'explosion de Djerba, Michael Esper, qui raconte avoir été projeté en l'air par le souffle de la déflagration.
Ce touriste critique aussi la lenteur de la police et des secours tunisiens et affirme avoir subi les quolibets de la population djerbienne pour avoir dû emprunter, comme ses autres compatriotes blessés, un autobus pour aller à l'hôpital faute d'ambulances en nombre suffisant.
Environ un million de touristes allemands se rendent chaque année à Djerba, haut lieu du tourisme tunisien.
Par Zagdoun (Zagdoun) le mardi 23 avril 2002 - 00h05: |
Le Monde
Militants juifs et musulmans appellent à un "sursaut républicain"
Le score du candidat d'extrême droite et sa présence au second tour de l'élection présidentielle française, ont catastrophé, dimanche, les militants juifs et musulmans, particulièrement sensibles à la dimension raciste et xénophobe du parcours politique de Jean-Marie Le Pen.
Par Zagdoun (Zagdoun) le lundi 22 avril 2002 - 23h00: |
La “ Patrie des Droits de l’Homme ” devra se montrer plus modeste au sujet de la morale qu’elle prêche à ses consœurs de la famille des Nations. Les dirigeants de la gauche française qui ont défilé il y a quinze jours sous les banderoles où l’on voyait le slogan “ ?= croix gammée ”, et d’autres avec “ Sharon = Hitler ”, seront contraints de retirer la poutre entre leurs yeux. La croix gammée est sans doute plus proche d’eux qu’ils ne se l’imaginaient.
Par Moka (Moka) le lundi 22 avril 2002 - 22h54: |
Mais Madame, vous ne lisez pas ce que l'on vous écrit.
Je vous répète que je ne vis pas en France, pourquoi voulez-vous me faire partir d'un pays que je n'habite pas.
Pouvez-vous nous assurer, en votre âme et conscience, que ce sont les gens de le Pen qui ont incendié les synagogues?
Qui a ouvert la porte à l'immigration clandestine? Le Pen?
Qui libère les délinquants? Le Pen?
Qui a fait descendre les gens dans la rue pour réclamer des augmentations de salaires? Le Pen?
Je suis navré de vous dire qu'en europe il y a toujours eu des actes xénophobes, s'il fallait partir à chaque fois.
Voila ce que je voulais vous dire, je vous remercie d'avoir "élevé" le débat, restons-en là, si vous le voulez bien.
Merci et bonne journée.
Par Zagdoun (Zagdoun) le lundi 22 avril 2002 - 22h49: |
http://www.lesbeursavecchirac.com/site/
les beurs avec chirac
Par Nao (Nao) le lundi 22 avril 2002 - 22h44: |
Moka votre reaction est irrealiste et au contraire je lis comme d'autres l'Histoire a l'endroit (et non a l'envers) car elle est helas un eternel recommencement.
Il y a 3,5,10 ans qui auraient cru que des synagogues en France seraient brulees, desacrees etc etc?? On aurait dit mais non avec la Shoah ca ne peut plus arriver!
Quel est le resultat en 2002???
Le vent de panique, ca n'est pas nous ou de mauvais esprits qui le soufflons, ce sont les resultats des elections et les actes antisemites recents! Nuance.
Nul ne vous oblige a partir si vous ne le souhaitez pas! Mais vous aurez ete prevenu!
Par Nao (Nao) le lundi 22 avril 2002 - 22h37: |
Je me suis mal exprimee: bien sur qu'ils sont concernes (j'ai qd meme bcp de famille en France), mais qd je dis ils sont cas a part c'est parce que pas tt le monde n'a ts ses enfants a l'etranger.
Ils ont une porte de sortie que certains n'ont pas.
Par Moka (Moka) le lundi 22 avril 2002 - 22h35: |
Je suis désolé de constater que les conseilleurs ne sont pas les payeurs.
Tout le monde s’échine à nous dire de « fuir » la France, et tout le monde veut nous démontrer qu’il est urgent d’attendre.
Chacun est un cas différent.
Continuez à faire souffler un vent de panique, vous ferez irrémédiablement le lit de Le Pen, il vous en sera éternellement reconnaissant.
Vous voulez nous faire lire l’histoire à l’envers.
Laissez les BHL et autres donneurs de leçons s’égosiller dans les médias, ils n’ont rien à perdre, ils retomberont aussitôt sur leurs pieds, ce sont d’habiles danseurs.
Et le pauvre homme qui aura vendu son patrimoine pour une bouchée de pain, se retrouvera gros Jean comme devant.
Par Moka (Moka) le lundi 22 avril 2002 - 22h24: |
Madame Nao, pourquoi le cas de vos parents est-ce "un cas à part"?
Vous voulez me faire croire qu'ils ne sont pas concernés?
Par Nao (Nao) le lundi 22 avril 2002 - 22h22: |
Mes parents ont hate de partir, ils sont a l'age de la retraite et doivent vendre leur business. Ts leurs enfants sont a etranger (Israel ou USA) donc (presque) plus d'attache affective en France.
Maintenant ils remercient le ciel que tous leurs enfants soient deja partis.
Mais c'est un cas a part je vous le concede.
Si j'avais des enfants en bas age en France, je serais legitimement inquiete pr leur avenir et aurais hate de partir.
C'est aussi ce que me disent beaucoup de mes amies ds ce cas.
Par Moka (Moka) le lundi 22 avril 2002 - 22h07: |
Madame Nao, ne vous fâchez pas sur ce que je vais vous demander, je vous en prie.
J'ai lu une fois dans un commentaire, que vos parents vivaient en France.
Pourriez-vous me dire en toute franchise, ce qu'ils ont l'intention de faire, dans les jours qui viennent?
Merci.
Par Admin (Admin) le mardi 23 avril 2002 - 02h03: |