Par Admin (Admin) le jeudi 02 mai 2002 - 07h19:

Par Michka (Michka) le mercredi 01 mai 2002 - 17h17:

Quand les masques tombent
[Un visiteur nous transmet ce qui suit.]

Ce soir, dimanche 28 avril 2002, dans l'émission 7 à 8 sur TF1, une sympathisante du FN (présentée ainsi par le journaliste), près du siège du FN à Saint-Cloud, fustige les journalistes présents dans la rue, en leur disant que le temps où les juifs tiennent les médias va prendre fin, qu'ils ont des faciès de juifs, que cela se voit, qu'ils ne pourront plus longtemps scléroser les médias en France
- "On sait bien que vous, les juifs, vous tenez les médias, mais cela va finir!"
- "Moi, je suis catholique, je n'ai pas besoin de rabbin dans mon église" !

Et de rajouter une énormité historique en expliquant que Napoléon III a donné, en 1808 (!!), un bout de terre aux juifs en Algérie, et qu'après, ces même juifs hurlent au scandale à propos de la position française en Algérie

Quand les inventions historiques, les propos niais et le "parler vrai" de l'extrême droite fasciste rejoignent certains propos issus de l'islam...

Samuel CHEVALIER-MILHAU


__________________
Menahem Macina
Administrateur des sites reinfo-israel : www.reinfo-israel.com
et CJE : www.chretiens-et-juifs.org

Par Michka (Michka) le mercredi 01 mai 2002 - 16h07:

MESSAGE A JACQUES CHIRAC CONTRE L'ANTISEMITISME

Dépassons le simple OUI à Jacques Chirac comme président et profitons de ce contexte pour nous exprimer et faire passer notre message :

Le jour des élections, conservez le bulletin de vote de Jean Marie Le Pen et inscrivez dessus le message suivant :

"Nous avons fait barrage à l'extrême droite, faites barrage à l'antisémitisme"

Une délégation de responsables communautaires et de personnalités apportera le même message au lendemain des élections à l'Elysée.

Renvoyez le bulletin à l'attention de
M. Jacques Chirac,
Président de la République
Palais de l'Elysée
Paris

Il n'est pas nécessaire d'affranchir l'enveloppe.

Le Comité Juif d'Action

Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 01 mai 2002 - 14h10:

Entendu et vu aujourd'hui sur France 2 au cours du film de propagande electorale du F.N. pour le 2e tour;

Le Pen passe en revue une a une ses "photos de famille", puis s'arrete sur une photo de Jeannie sa femme (ou concubine ?).

Celle-ci s'est drapee d'un tchador noir et tient dans ses bras un garconnet irakien a la mine eploree :

[Voix off de Le Pen] :

- " La, c'est Jeannie ma compagne, a Bagdad, en tant que presidente d'une association pour la sauvegarde des enfants irakiens.

[Puis sur un ton de compassion]

- " L'Irak, pays bien malheureux ... "

Ce compte-rendu est essentiellement destine a rafraichir la memoire des intervenants de ce site qui veulent toujours nous faire croire que ce monsieur est, ou pourrait etre, un ami d'Israel.

On ne peut pas etre a la fois l'ami de l'Irak et celui d'Israel, il a tres nettement choisi son camp depuis la Guerre du Golfe.
De deux choses l'une soit vous avez la memoire courte, soit vous l'avez selective ....

Par Meyer (Meyer) le mercredi 01 mai 2002 - 13h34:

Les resultats d'un pseudo-sondage effectue par les Renseignements Generaux, et qui proviendraient du cabinet d'Henri Emmanuelli, sont diffuses largement, en particulier sur Internet. Dans ce sondage Le Pen serait credite de 42% d'intentions de vote.
De sources sures il s'avere qu'il s'agit d'une rumeur totalement fausse, dementie sur le site de RTL.
Il faut savoir que les R.G. n'ont pas pour role d'effectuer des sondages d'opinion, et que Henri Emmanuelli, depute et president d'une commission a l'Assemblee Nationale, n'a pas de cabinet.

Par cohen victor (Bekhor) le mercredi 01 mai 2002 - 13h03:

A tous les intervenents sur les forums d'Harissa.

Il y a un certain personnage ayant le pseudo CITRON qui envoie des emails d'injures, d'insanites ou d'intimidation.

Ayant recu moi meme des emails de ce personnage j'ai depose un plainte a la police, a la brigade de la delinquance informatique.

Une enquete est en cours, et grace a son adresse email et a son abonnement internet ce sera assez facile pour la police de le demasquer.


Donc je demande a toute personne qui a recu des emails indecents de ce personnage de se mettre en rapport avec moi par email.

Par Mena (Mena) le mercredi 01 mai 2002 - 08h14:

Pro-Palestiniens français contre valeurs républicaines ? (info # 013004/2)

Par Salomon Pardess © Metula News Agency


Un fasciste, Jean-Marie Le Pen, dont la gauche et la droite ont refusé, en leur temps, de dissoudre la formation politique, jugeant sans doute celle-ci respectueuse de la constitution (sic !) est devenu le challenger du candidat républicain, Jacques Chirac. Une très grande partie de la société civile, des hommes d’Etat et des chefs de partis ont appelé à voter Chirac. Hormis les fascistes, qui appellent à voter Le Pen, qui d’autres refusent d’appeler à combattre Le Pen par les urnes ? Les trotskystes.

Et que font les trotskystes ? Ils tentent de faire croire qu’à l’heure actuelle, "c’est dans la rue que se joue l’avenir de la France," et appellent les jeunes de France (lesquels n’ont pas besoin d’eux pour exprimer spontanément leur refus du Front National) à manifester dans la rue contre Le Pen. Ils appellent à voter « blanc » ou « nul », pour les uns (Lutte Ouvrière) ou « pour faire barrage à Le Pen » (Ligue Communiste Révolutionnaire), pour les autres, dans le cas où « leurs » électeurs (Arlette Laguiller qui méprise le bulletin de vote, parle de « mes » électeurs) auraient vraiment envie d’aller voter. Pour le dire autrement, sous prétexte d’avoir recueilli un peu plus de 10% des voix des votants, les trotskystes se donnent des allures de partis de masse, capables de s’opposer aux bandes armées fascistes.

Ce positionnement fantasmatique est dramatique. Car non seulement ces mêmes trotskystes ont été incapables de sortir de mai 68 avec autre chose qu’une feuille de chou à vendre (la même qu’ils avaient avant les événements), ce qui en dit long sur leurs capacités à « encadrer les masses », mais ils sont les héritiers d’un mouvement politique, qui n’a jamais réussi à vaincre ni les staliniens en URSS, ni les fascistes et nazis, dans le reste de l’Europe. Fort heureusement, d’autres forces – démocratiques - sont venues à bout de ces forces totalitaires et despotiques.

Vous me direz : quel rapport avec le conflit israélo-palestinien ? Et bien, justement, au lieu de mener la bataille des urnes contre Le Pen, et de la mener franchement, ce qui est la seule manière de commencer un réel combat contre la guerre civile qui menacera, en France, si Le Pen s’installe près du pouvoir ou au pouvoir (après tout, si le peuple de France suivait les trotskystes, c’est ce qui arriverait), et au lieu, par exemple, de rejoindre les organisations qui, comme la LICRA, SOS Racisme, Les Fils et petits-fils des déportés de France et Les Amis de Shalom Archav se sont réunis le dimanche 28 avril, devant le Panthéon, pour défendre les valeurs républicaines et appeler à ce vote, les trotskystes n’ont pas seulement ignoré cette manifestation, mais ont décidé, pour compléter leurs manifestations de rue, d’en organiser une avant, le samedi 27, « pour ne pas oublier la Palestine ». Ainsi donc, au moment où il fallait mettre toutes les forces de conviction dans la bataille anti-Le Pen, ils ont cédé à leur imaginaire, non seulement en faisant venir la –certes- légitime défense des droits de la Palestine en lieu et place du combat pour les valeurs républicaines en France, mais plus encore, en se taisant sur la présence dans leur cortège de sympathisants du Djihad, et en n’intervenant pas contre ceux qui identifiaient Sharon à Hitler.

Les mots d’ordre des manifestants qui n’étaient pas tous trotskystes, tant s’en faut, bien que certaines des organisations qui les accompagnaient sont noyautées par d’anciens trotskystes qui se sentent coupables de ne plus militer ou par des trotskystes en activité, étaient ridicules. Les mêmes qui se prétendent laïcs criaient : « Juifs, Arabes, tous contre Sharon ». Les mêmes qui sont démocrates, comme Noëlle Chatelet, la sœur du premier Ministre, dont on a pu apprécier la combativité anti-Le Pen (sic) après la défaite des républicains, acceptaient le slogan : « Sharon, Le Pen, même combat », où l’on voit bien le dédain qu’ils ont pour les urnes. Les mêmes qui roulent des mécaniques proclamaient « Sharon t’es foutu, l’Intifada continue », n’hésitant pas à piétiner les efforts entrepris par d’autres Palestiniens comme Sari Nusseibeh, pour ouvrir une voie à la non-violence, tandis que les Palestiniens meurent de s’être obstinés à suivre la politique suicidaire d’Arafat. Enfin, les mêmes qui dénoncent Sharon comme un « criminel de guerre en exercice » n’avaient pas un seul mot pour dénoncer les crimes contre l’humanité que sont les attentats-suicides. (A propos des assassinats, la connerie n’a pas de limite. Lundi 29 avril, à 14h08, un journaliste de LCI affirmait que les Palestiniens appliquaient la loi du talion, lorsqu’ils assassinaient une mère et une fillette (parmi les quatre victimes) à Adora, en représailles de la liquidation d’un chef du Hamas).

Le 1er mai, à Paris, il y aura, paraît-il, à nouveau, un « cortège Palestine ». J’espère qu’il y aura aussi un cortège à Gaza, en Cisjordanie, et dans tous les pays arabes… J’espère qu’il y en aura également un en Israël et que la voix de la paix s’y fera entendre. Mais, en France, où j’espère que les manifestants républicains seront une vraie marée humaine, je souhaite aussi que ce « cortège Palestine » rectifie ses mots d’ordre dans le sens de la paix et de la démocratie. Sans quoi, il serait en lui-même une nouvelle provocation anti-républicaine.

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 01 mai 2002 - 06h24:

Si le depute du premier ministre Italien Gianfranco Fini est devenu un ami d’Israel peut-être le Pen sera aussi un bon ami d’Israel. Tout est possible dans la vie.

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 01 mai 2002 - 05h34:

Excusez moi de n'avoir pas traduit ce commentaire de l'anglais. Pour ceux qui comprenne l'anglais je trouve que ce commentaire exprime ce que nous sentons dans le fond de nous meme la question que Koffi Annan a demande: Est-ce que c'est possible que tous le monde a tort et nous les juifs avons raison? Oui Mr Koffi Annan, l'histoire l'a deja prouve et elle va le prouver encore mainte fois.
E. Tubiana

Rabbi Feinstein Commentary (Valley Beth Shalom
Synagogue -
Encino California)
Yom Ha-Atzmaut
Milken Community Center
April 16, 2002
Rabbi Ed Feinstein
I want to talk to the children tonight. Because I'm concerned for your souls
and your faith.
You've heard that we are aggressors -- savagely invading, occupying oppressing a sovereign people.
You've heard we have brutally destroyed their cities and towns, their homes and shops, desecrating holy places, turning once-thriving centers of life into fields of destruction and death.

You've heard that we have committed atrocity; that we have massacred hundreds of innocents, bull-dozed living people into rubble, shot pregnant women and little children, halted ambulences from attending to the wounded. They say we've even prevented the burial of their dead. And when we did bury the dead,
it was only to cover up the mass murder.

And it seems that everyone says it. You hear it on CNN and ABC and NPR, you read it in the LA Times, you hear it from world leaders and organizations devoted to humanitarian causes.
The Portuguese Nobel Laureate, Jose Saramago visited the Palestinian West Bank as one of a group of famous authors, called the International Parliament of Writers and declared that "what is happening here is a crime that may be compared to Auschwitz".

Robert Sheer, in this morning's Los Angeles Time, compares Ariel Sharon to the Serbian butcher, Slobodan Milosevic. This, after a weekend of prominent, front page articles describing the wanton destruction and ruthless mass murder carried out by Israeli soldiers against Palestinian civilians in Nablus and Jenin. (And you had to read to the fifth paragraph of the story to discover that none of the reports were independently confirmed, verified, or corroborated.)

The annual session of the United Nations Commission on Human Rights, last week, condemned Israel for "mass killings" of Palestinians, "gross violations" of humanitarian law" and affirmed the "legitimate right of
Palestinian people to resist." Amnesty International and Human Rights Watch condemned Israel's "brutal
practices in the occupied Palestinian territories." UNESCO issued a resolution condemning the Israeli attacks on the cultural centers and holy sites in Palestine. (Strangely, they said nothing of synagogues burned in France or exploded in Tunisia.)

The European Parliament adopted a resolution last week that called on the European Union to suspend its 6-year-old trade Treaty with Israel.
You, our children, you hear these things, you read these things. You witness demonstrations on college campuses and in the great cities of the world. And you have to wonder: Is this the truth? Are these really my people? What kind of people are we? What kind of society is Israel? What happened to the dream that once was Zionism?

Koffi Annan, the Secretary General of the United Nations put it succinctly: "Is it possible," he asked, "that Israel is right and the whole world is wrong?"

As long as you live, I want you to remember this night. Tonight, something extraordinary is happening. Tonight, we have come, your parents and grandparents, your rabbis and teachers, distinguished leaders from every corner of the Jewish community -- Orthodox, Conservative, Reform, religious and secular, right-wing and left-wing, to say one thing: Is it possible that

Israel is right and the whole world is wrong? You bet your life it is. You bet your life, because we've bet our lives. It is true now and it always has been. From the time the world worshipped rocks and trees and Abraham discovered the Creator of all. From the time the world bowed low to Pharaoh and Moses commanded that we stand up and be free. From the time when the world idolized and revered Roman power and Akiba risked his life to teach Torah.

And it's true today. Because the world has no memory.

They forget, but we remember. In 1947 the United Nations voted to partition
Palestine and to create two states between the Jordan and the Mediterranean:

One, the Jewish state of Israel. The other, a homeland for Palestinian Arabs.

The Zionist leadership, the acting government of the Yishuv, accepted the plan. In 1947, we affirmed our desire to live in peace, side by side with a Palestinian State. But the armies of nine Arab states came pouring over the borders, to extinguish the nascent state of Israel and to murder yet another million Jew. When a truce came, the territory for the Palestinian Arab State had been devoured by Egypt and Jordan and Syria.

They forget, but we remember that thousands of Palestinian Arabs fled in the face of that Arab invasion. But when they reached the borders of Jordan and Egypt, they were not permitted to enter. Israel, tiny beleaguered Israel
managed to absorb and settle millions of Jewish refugees from Europe and the Middle East. But the entire Arab League and all 26 Muslim nations, with all their oil-wealth, couldn't find room for their poor Palestinian brothers and sisters -- and left them to rot in squalid refugee camps, festering in hatred and rage.

They forget, but we remember every time they came across our border to murder and to destroy. We remember 1948, 1967, 1973. We remember the Olympics in Munich and the school in Maalot.

And we remember that when Sadat came to Jerusalem, we dismantled settlements, and relocated whole cities, and gave Egypt back the entire Sinai, in return for peace.
We remember Yitzchak Rabin and his dream. And we remember that his protΘgΘ, Ehud Barak went to Camp David and then to Taba, and offered, for the second time in 50 years, to create a Palestinian State, comprised of 97% of the West Bank and all of Gaza with sovereignty over half of Jerusalem including the Temple Mount, and $30 billion in world economic aid. And we remember the answer.
They forget, but we remember, just months ago, a bomber in the Dolphinarium Disco in Tel Aviv killed 21 teens. And what did we do in retaliation, what did we hit? Nothing. We practiced restraint. And months later when another bomber destroyed Sbarro's Pizza and dozens more were killed. What was our
retaliation? Nothing. We practiced restraint. And the Bat Mitzvah in Hadera and the mall in Netanya and the restaurants and cafes in Jerusalem and Afula and in Haifa -- we retaliated by destroying buildings. Empty buildings.

Because we called them hours in advance of each mission, to warn them to evacuate.
And then came Pesach. This year, the Angel of Death did not pass over. Whole Families were murdered at the Seder table. But even now, do we bomb from the air, like America? Risk hitting hospitals and schools and embassies like America did in Bosnia and Afghanistan? No. We send our kids through the alleyways and byways -- to face booby traps and snipers and mines.

Tonight, your parents and grandparents, your rabbis and teachers, your community have gathered here in the thousands to testify that the whole world is wrong and Israel is right. And we will not apologize for doing what's right -- for defending our children and their dreams from murderers.

We mourn for innocents, Palestinian and Israeli, who are caught in the struggle. We take no pleasure in the suffering of any human being -- we dip out wine from our cups -- but we will not apologize for taking steps to survive in that vicious corner of the world where, mesmerized by murder and blood, they dance and sing when their children blow themselves up. We will not apologize for demanding our land and our freedom and our security in this world. Jews no longer apologize for surviving.You must not be apologetic for Israel or ashamed of Israel. You must not be embarrassed by Israel or afraid to stand up for Israel.
And you must never, ever grow bitter, cynical, or dark. The prophet Jeremiah witnessed the destruction of all he loved:

Jerusalem, the Temple, his people. And through his tears he wrote,
lo yeshama b'aray yehuda, uv'chutzot yerushalayeem, kol sasson, v'kol simcha, kol chatan v'kol kalah.
Never again will Judah or Jerusalem hear the sounds of joy and the voices of gladness, the song of the bride and grooms.
But the Rabbis who came generations later knew the prophet got it wrong. They believed that one day, we would return to Judah and to Jerusalem. But only if we hold fast to hope and resist despair; only if we cling tight to our dreams

and refuse to surrender to bitterness. The Rabbis knew that the death of our faith is a greater tragedy than the destruction of our city; and the crushing of our vision, a bigger disaster than the ruin of the Temple. And so they changed one word in the prophecy. Instead of Lo yeshama, we sing Od yeshama.

In every bride and groom, in every Jewish family, in every community and synagogue, in every place where Jewish life lives, Jeremiah is proved wrong. Od yeshama b'aray yehuda. For once again, the hills of Judah and the streets of Yerushalim will ring with the sounds of joy and celebration, with the music of love and melody of hope and the song of peace. Amen.

Par Lilo Sion (Pignouf) le mardi 30 avril 2002 - 22h29:

HE oui L'histoire se repeteeeeee
et nous connaissons le reste la france colabo

Par Victoria (Victoria) le mardi 30 avril 2002 - 21h34:

Rubrique mode
Dernier colifichet à la mode

Vu ce matin dans une file d'attente à la banque de mon quartier : une bobo très tendance qui portait à son revers de manteau un badge. Prise d'un pressentiment je m'approche discrètement pour l'examiner et je n'ai pas été déçue : sur fond de motif keffieh l'inscription en rouge "urgence palestine".
Question bleue : Elle va voter quoi celle-là ?

Par Albert Simeoni (Albert) le mardi 30 avril 2002 - 21h31:

MONSIEUR MARCO,

Excusez moi de m adressez à vous mais vous me rappelez un ami.
Sa justesse dans ses analyses et son intelligence
me font penser à ce vous dites.
Je reconnais là aussi son verbe et son propos.
Oui, comme je l 'ai dis , il faut voter CHIRAC et je suis avec vous.C 'est un moindre mal.
MERCI Monsieur.
ALBERT

Par Claudius (Claudius) le mardi 30 avril 2002 - 19h51:

Voter, blanc, nul ou s’abstenir revient strictement au même :
C’est laisser aux autres électeurs choisir la part de sa voix que l’on donne à l’un ou à l’autre des compétiteurs ; en d’autres mots, c’est répartir, de façon inégale, sa voix entre les 2 candidats, ces proportions étant déterminées par les autres électeurs.
Ne pas s’exprimer, c’est s’exprimer comme les autres et accepter que le sort de son pays soit décidé par les autres, ceux qui s’expriment.
Résumé en un mot : VOTEZ !

Par Marco (Marco) le mardi 30 avril 2002 - 19h16:

Je ne sais pas de qu'elles origines sont les "harissiens" qui signent "Victoria" et "Boulemiel", mais permettez moi de douter de votre appartenance à notre communauté, voire même d'être français.
Car aujourd'hui nous n'avons pas le luxe que nous offre la démocratie, qui est le choix.
Ne pas voter Le Pen ne suffit pas, voter blanc ou s'abstenir serait une faute historique pour chaque français anti-facho, et presqu'un crime pour chaque juif digne de son étoile.
Bien sur il aurait mieux vallu que ce soit un autre que Chirac qui ait notre soutien, mais on ne refait pas l'histoire, il ne suffit pas de l'élire il faut faire triompher le candidat républicain, même si cela dérange beaucoup notre camp.
Il faut instrumentaliser le bulletin "Chirac", comme une claque à l'extrème droite.
Bon vote les amis.

Par Albert Simeoni (Albert) le mardi 30 avril 2002 - 19h07:

A quelques jours d'un scrutin qui engage une politique interieure et extèrieur, nous sommes là à nous poser des questions qui ne riment à rien.
Il n'y a aucune alternative que de voter CHIRAC.
Point c 'est tout.L'abtention fait le jeu de le PEN.En tout ètat de cause la montèe du front nationale est une èvidence a ne plus négliger et elle trouvera une consécration dans cinq ans si rien n'est fait dés maintenant.
LE loup est dans la bergerie.Et croyez moi, il a le temps pour lui.Et si les agneaux n'y prennent pas garde, il les bouffera sans pitiè.
Alors n 'hèsitons pas à vos urnes dimanche pour
CHICHI JACOBINO.
EMMME KHIR EDDAH OULLA LAKHER.
( Quel mieux celui là ou l'autre.)
Cinq ans de rabio c 'est mieux que rien du tout en attendant de préparer nos valises sans précipitation)
ALBERT

Par Nao (Nao) le mardi 30 avril 2002 - 18h56:

Pour moi, l'abstention veut dire "je ne me deplace pas au bureau de vote donc je me desinteresse de la vie politique"! Or ceux qui veulent s'abstenir sont souvent des gens tres interesses par la politque (surtt en ce moment ou on l'est tous en raison de la conjoncture).
Voter blanc, ca veut dire "je me deplace au bureau de vote pr vous dire que je ne veux ni Le Pen ni Chirac (qui ne merite certainement pas un plebiscite)!"
Quoi qu'on dise sur les vertus ou mefaits du vote blanc, l'impact a mon avis est different et pr le votant et pr les politiciens.

Par Admin (Admin) le mercredi 01 mai 2002 - 08h06: