Commentaires du 1-2 Juillet 2002

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires de Juillet 2002: Commentaires du 1-2 Juillet 2002
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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le mercredi 03 juillet 2002 - 03h55:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mexico (Mexico) le lundi 01 juillet 2002 - 21h31:

JUSTICE POUR RAFAEL DEITZ

Ma chere Lalla,
Vos paroles me remplissent de courage.
En ce qui concerne un contact avec vous, veuillez m'ecrire a : ufaratzta@hotmail.com
Je ne crois pas aux coincidences...
Vous faites allusion a une personne dont on vient justement de me donner hier soir son e-mail.
Je viens de lui ecrire.
Mes mots seront toujours trop faibles en comparaison a mes sentiments ardents de reconnaissance et de gratitude pour tout l'appui que je recois de vous tous.
Je vous embrasse affectueusement,
Yael Deitz

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mexico (Mexico) le lundi 01 juillet 2002 - 21h20:

JUSTICE POUR RAFAEL DEITZ
Cher Henri (El Bueno!)
Merci de tout mon coeur de bien vouloir vous unir aux prieres.
D. Mi Kamokha!
Parfois, on me demande si je garde Chabat. Je reponds: c'est Chabat qui me garde a moi!
Depuis Parachat MIKETZ de Hanouka 1996, nous avons ajoute au nom de mon mari le nom de YEHOCHOUA.
D. fait le MATIR ASSOURIM
Les juifs s'y joignent a Lui pour: PIDYION CHVOUYIM
Soyez beni pour accomplir avec amour cette premiere mitzva. AMEN
Voici les coordonnees, B.H.
Yehochoua Refael ben David ve Tzirl
Normalement on ne dit que le nom de la mere, mais j'ai pense a la Lettre de Ramban, Igueret Ramban:
"Ecoute, mon fils, les preceptes de ton pere et ne rejette pas les conseils de ta mere..." Proverbe de notre sage Roi Chlomo.
KOL TUV
Yael Deitz

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le lundi 01 juillet 2002 - 17h29:

Un article du Figaro du 29 Juin 2002. Propos recueillis par Alexis Lacroix

Benny Morris : « Une génération palestinienne hostile à tout compromis »

LE FIGARO. - La détermination du président américain George W. Bush peut-elle aider les Israéliens et des Palestiniens à reprendre des négociations de paix ?

Benny MORRIS. - Aussi longtemps qu'Arafat présidera l'Autorité palestinienne, il n'y a aucune chance que les Palestiniens se résolvent à payer le prix de la paix. Car quand bien même Arafat se montrerait prêt à faire la paix, plus personne ne lui ferait confiance. Personne ne veut signer des accords avec quelqu'un dont on s'attend à ce qu'il ne les respecte pas.

Q: Bernard-Henri Lévy se demandait récemment si les Palestiniens ne sont pas devenus les « victimes de leur victimisation » (1). Qu'en pensez-vous ?

R: L'histoire palestinienne regorge de mensonges. Car le leadership palestinien n'a jamais cessé de rejeter l'idée d'un compromis avec les Juifs. En 1937, la Commission Peel a ordonné une partition de la Palestine qui en réservait 20 % aux Juifs et le reste aux Arabes. Le leadership palestinien, sous la houlette du mufti de Jerusalem Haj Muhammad Amin al-Husseini, a rejeté le compromis. Et lorsqu'en novembre 1947 la communauté internationale, cette fois par la voix des Nations unies, a proposé une partition accordant 55 % du territoire aux Juifs et environ 45 % aux Arabes, Haj Muhammad Amin al-Husseini a opposé une fin de non-recevoir en déclarant la guerre aux Juifs.

Q: Après la naissance de l'État d'Israël, le rejet des offres de paix s'est-il reproduit ?

R: En 1977, le premier ministre israélien Menahem Begin et le président égyptien Sadate se réunirent au sommet de Camp David 1, et, à l'issue de cette rencontre, ils proposèrent à la fois le retrait israélien du Sinaï et l'établissement de l'autonomie palestinienne en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. Si Arafat avait accepté cette offre, en quelques années l'autonomie aurait évolué vers un État palestinien. Il préféra, là encore, décliner la proposition et continuer la lutte armée. Résultat : Begin a envahi le Liban et congédié l'OLP, retardant l'entrée des Palestiniens dans le processus de paix jusqu'à la fin des années 80. C'est tout ce à quoi est parvenu Arafat en rejetant l'offre de paix de 1978. Quant au processus de paix d'Oslo, il s'arrêta net lorsque le « raïs » palestinien rejeta le compromis sensé et généreux proposé par le premier ministre israélien Ehud Barak lors du sommet de Camp David 2 de juillet 2000, et revu en décembre de la même année par le président Clinton (création d'un État palestinien sur 95 % de la Cisjordanie, la bande de Gaza et plus de la moitié de la Ville sainte ; démantèlement de presque toutes les implantations).

Q: Certes, mais le gouvernement israélien n'aurait-il pas dû, avant d'aborder l'accord final, démanteler les principales implantations au lieu d'en laisser même certaines s'agrandir ?

P: C'est assurément une erreur de Barak. Mais elle n'égale pas en gravité celles qu'a commises la partie adverse. Après tout, les accords d'Oslo n'appelaient en aucun cas à la suppression des colonies. Comme les autres sujets de fond - les frontières, le statut de Jérusalem, celui des réfugiés -, la discussion sur le devenir des implantations fut ajournée jusqu'à la négociation de l'accord final, qui ne débuta qu'après l'entrée en fonctions d'Ehud Barak au printemps 1999. Bernard-Henri Lévy a donc raison de déplorer les effets pervers de la victimisation. Ce dont les Palestiniens sont victimes, c'est, aussi loin qu'on remonte, de leur constante attitude de rejet. De leur refus acharné de toute paix de compromis. Je regrette que l'influence sur le mouvement palestinien de Haj Muhammad Amin al-Husseini, le mufti de Jérusalem, ne se soit jamais démentie. Ehud Barak, s'il a eu certes tort d'autoriser l'expansion des implantations, a proposé, à Camp David en juillet 2000, leur démantèlement. Et c'est Arafat qui n'en a pas voulu ! Reste, évidemment, à se poser la question autrement : et si les Palestiniens avaient raison, dans leurs termes à eux ?

Q: Que voulez-vous dire ?

R: Que s'ils veulent vraiment voir la fin de l'État juif et son remplacement par un État palestinien et qu'ils pensent que cela surviendra dans les décennies prochaines, les Palestiniens ont raison de rejeter tout compromis. Comme Haj Muhammad Amin al-Husseini se refusant à consentir à l'existence d'un État juif dans quelque partie de la Palestine que ce soit, Arafat n'a jamais fait son deuil du rêve de Grande Palestine...

Q: Pourtant ce Prix Nobel de la Paix a été engagé, autant que ses homologues israéliens, dans le peace process...

R: Certainement, mais au cours du processus de paix il a dissimulé tactiquement son allégeance à l'inflexibilité antisémite du mufti de Jérusalem, et sa dévotion à cet objectif stratégique - la destruction de toute présence juive au Moyen-Orient. On en vient donc à penser que pour le « raïs », Oslo n'a jamais été qu'une étape dans la reconquête intégrale de la Palestine par les Palestiniens et la destruction finale d'Israël. C'est, d'ailleurs bien, s'il y en a une, la défaillance principale du processus de paix, son erreur fondatrice : avoir reporté à plus tard, contre l'avis de Yossi Beilin l'architecte des accords, la discussion sur les questions les plus délicates, car entre temps, comme l'essentiel n'était pas abordé, Arafat pouvait passer pour un leader désireux de signer une vraie paix de reconnaissance avec Israël. Ne nous faisons pas d'illusions ! Arafat et le Mufti de Jérusalem sont des leaders identiques.

Q: N'est-ce pas ce que Raymond Aron nommait « une illusion rétrospective de fatalité » ? N'est-ce pas plutôt par hasard, au gré des circonstances, qu'Arafat a été conduit, pour ne pas perdre la main, à « surfer sur les vagues de la martyrologie palestinienne » (2) ?

R: Reste qu'il est le représentant d'une génération de Palestiniens incapables, comme le déplore justement Shlomo Ben-Ami, de consentir aux compromis nécessaires... Si, au-delà de leurs intentions réelles ou supposées, les Palestiniens étaient réellement décidés à payer le prix de la paix, ils renonceraient au droit au retour. Lorsque, à l'exception de personnalités comme Sari Nusseibeh, des Palestiniens militent ouvertement pour le retour en Israël de 3,5 millions de Palestiniens déplacés, ils veulent réaliser un scénario dans lequel, instantanément, la population juive en Israël serait à peu près égale à la population arabe et lui deviendrait très vite inférieure, en raison de la grande vitalité démographique des Arabes. Bref, ils veulent qu'Israël soit un deuxième État palestinien.

Q: Toutefois, comme vous l'avez montré dans The Birth of the Palestinian Refugee Problem, le problème des réfugiés a surgi avec la création de l'État d'Israël !

R: Oui, mais cela ne justifie pas pour autant le droit au retour.

Q: Parce que la vérité historique est que les Arabes, comme vous l'écrivez, ont « ouvert les hostilités » ?

R: En 1948 ce sont ses voisins arabes et les Arabes de Palestine qui ont déclaré la guerre au yishuv (NDLR : foyer national juif). Mais étant donné la détermination des Arabes à empêcher la fondation d'un État juif ainsi que l'imbrication des populations en Palestine, il n'y avait aucune chance pour le yishuv de donner naissance à un État juif sans des déplacements de populations. Sans cela, même doté d'une faible majorité juive, un nouvel État juif comportant en son sein une grosse minorité d'opposants eût été ingérable.

Q: Sur la scène internationale, Israël est accusé, comme Alain Finkielkraut le déplore dans L'Imparfait du présent, d'un « crime originel ». N'est-ce pas un effet de la bombe à retardement des réfugiés ?

R: Un effet en tout cas largement exploité par les nombreux ennemis de l'État juif sur toute la planète. C'est oublier les conditions dans lesquelles la plupart des nations - à commencer par la France, la Grande-Bretagne et les États-Unis - ont vu le jour. Par des déplacements de population et des conquêtes. Finkielkraut a raison de refuser le recours à la notion de « péché originel » pour qualifier cette situation. Précisément parce que le mouvement sioniste n'a jamais demandé l'expulsion des Palestiniens et que, lorsque les Palestiniens furent chassés de chez eux, ce ne fut jamais sous une forme systématique et organisée. Cela survint au cours d'une guerre déclenchée par les Arabes. Sans doute cela pose-t-il un problème moral, mais à l'époque il était moralement capital d'avoir un État juif.

Q: Ce qui fermente contre Israël dans les extrêmes gauches européennes, relève-t-il de l'antisémitisme ?

R: L'antisémitisme joue assurément un grand rôle dans l'assaut moral de certains Européens contre Israël. En France, c'est une longue tradition d'extrémisme politique - de droite et de gauche - qui a partie liée avec l'antisémitisme. Il ne me semble toutefois pas que les plus gauchistes des intellectuels français dénient aujourd'hui à Israël son droit à l'existence. L'antisionisme progressiste est une émanation du sentiment de culpabilité relatif au colonialisme et au tiers-monde. Une « mauvaise conscience » qui donne des mots d'ordre comme : « Tout ce que fait le tiers-monde est juste, tout ce que font les pays riches est injuste. » Les avocats du tiers-monde identifient évidemment Israël au camp des privilégiés qui ont tort...

Q: Comment voyez-vous les prochaines décennies ?

R: Comme celles d'un éventuel modus vivendi qui, de toute façon, ne sera pas la paix. Quand bien même Arafat abandonnerait le leadership palestinien, on ne verrait pas surgir avant longtemps un dirigeant capable de faire la paix avec les Israéliens. Pas tout de suite en tout cas, pas même prochainement. Car cette relève hypothétique n'aurait, je le crains, pas la force de convaincre son peuple de renoncer au droit au retour. De renoncer à Haïfa, Jaffa ou Ashkelon...

Q: Y a-t-il, plus immédiatement, un espoir de voir s'arrêter les attaques kamikazes ?

R: Les attentats suicides ont fait basculer à droite la scène politique israélienne parce qu'ils expriment le rejet de principe de l'existence d'Israël. La plupart d'entre eux ne visent pas par hasard Israël proprement dit, et non les implantations. Ce que les attaques kamikazes expriment aussi, c'est le mépris pour les valeurs occidentales - pour le respect dû à la vie humaine et pour l'illégalité des attaques contre les civils.

(1) BHL, « Le problème palestinien fait oublier les autres victimes », Le Figaro, 11 avril 2002.

(2) Sh. Ben-Ami, « Mon plan de paix », Le Figaro, 25 juin 2002.

Professeur d'histoire du Moyen-Orient à l'université Ben Gourion de Beer-Sheva et à l'université hébraïque de Jérusalem, Benny Morris, né en 1948, est le chef de file des « nouveaux historiens », ce courant de l'historiographie israélienne qui examine de manière critique l'histoire nationale. Après avoir publié des travaux « explosifs » sur les circonstances de la fondation de l'État juif (notamment The Birth of the Palestinian Refugee Problem 1947-1949 et Israel's Border War 1949-1956), Benny Morris est conduit, depuis deux ans à remettre en perspective ses prises de position antérieures, et notamment à défendre l'idée sioniste contre le dénigrement dont elle est l'objet en Occident. Il pointe désormais les apories du mouvement palestinien, certain qu'«aucune paix n'est possible dans les décennies à venir». A paraître prochainement en français : Righteous Victims. A History of the Zionist-Arab Conflict, 1881-2001 (Complexe, Bruxelles).

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri Bueno (Henri) le lundi 01 juillet 2002 - 14h04:

Yael,pouriez vous me donner le nom de la mere de votre epoux.
J'essayerais de prier pour que Dieu "CHE MATIR ASSOURIM" ecoute nos supplications et le libere.
Quelques fois Dieu nous met a l'epreuve.La votre est bien dificile, mais il ne faut pas perdre espoir.
BSOROT TOVOT
Y-H Bueno

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lalla (Lalla) le lundi 01 juillet 2002 - 13h52:

Votre Histoire me tourmente surtout parce qu
il y a eu beaucoup d'histoires fatales comme la votre.il faut tenir bon;et nous vous aiderons a ne pas perdre pied;votre avocat-et lui seul changera les donnees-il DOIT etre le meilleur;puis par Jacco prenez mon E-M,j'ai une toute petite idee,minuscule,je voudrais vous en parler;
Dans ce site il y a une personne brillante et genereuse qui pourrait vous conseiller judicieusement;peut-etre l'a-t-elle deja fait?
j'attends votre reponse.
bon courage

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert Simeoni (Albert) le lundi 01 juillet 2002 - 12h43:

AU NOM DE TOUS LES MIENS
AU NOM DE JOELE DIETZ
SHALLOM AAL KOL AAM ISRAEL.
BESMELLAH EL RAHEM EL RAHIM.


Pascal a dit ' Pourquoi ne pas croire en D.IEU' oui pourquoi ne pas croire et qu'avons nous a perdre à croire…!

Pourquoi ne pas croire JOELE DIETZ , oui dites le moi, pourquoi ne pas croire à cette femme religieuse
mère de famille qui ne dort presque plus avec dans sa tête l'image de son mari qui hante ses nuits..
Pourquoi ne pas croire à ce dialogue interne qu'elle se fait chaque soir

'Oui….Mon chérie tiens bon…..J'ai écrit sur le site et peut être que les choses vont bouger….ne t'inquiètes pas je suis là près de toi……Tiens bon, moi je tiendrai le coup grâce a D IEU'.

Qui n'a pas connu la ghassra…..! Qui n' a pas espérer……JOELE DIETZ veut espérer que son mari revienne
chez lui auprès de ses enfants, de sa famille, libre et lavé de tous soupçons. Afin qu'il puisse jouir de la présence des siens ! On lui a volé peut être sa joie de vivre mais il ne faut pas qu'on lui vole sa liberté s'il est innocent et que l'on assassine moralement par ricochet sa famille.

JE DENONCE CE QUI SERAIT PEUT ETRE UN COMPLOT ENVERS UN HOMME PRIS DANS UN ENGRENAGE, UN GUET APENS DONT IL IGNORAIT LES CONSEQUENCES.

Une femme esseulée, se bat avec ses cris et hurlements. Qu'a telle d'autre sinon l'énergie de sa voix !
Qu'a t elle d 'autre sinon de venir vers nous, nous les juifs solidaires.

Que voulez qu'elle fasse……. Venir nous implorer à genoux devant nos portes closes…?
Pleurer……! Gémir…..! C'est déjà fait et cela depuis six ans….C'est trop, je dis…..Alors faisons une chaîne, une pétition pour JOELE DEITZ qui appelle au SECOURS…..

Qui nous appelle, nous qui sommes devant nos écrans et lisons la suite d 'un roman macabre comme on l'a dit.

Non ce n'est pas du théâtre dramatique, cela aurait pu l'être, oui j'en aurai fait un sujet mais voilà l'histoire est vraie. Elle défile à chaque minute devant nos yeux à présents conscients qu'un drame de longue date en huit clos se joue avec le désespoir d'une femme qui est venue vers nous. Plus maintenant.

Je n'ai plus aucun doute, moi le naïf, JE DENONCE L'INJUSTICE QUI S'EST TRAME CONTRE CETTE FAMILLE. A MES RISQUES ET PERILS.

JOELE DEITZ JE SUIS SOLIDAIRE AVEC VOUS. ET JE RENTRERAI ICI POUR CRIER AVEC VOUS VOTRE DESARROI.

J'ai connu la ghassra autrefois et sais qu'elle fait perdre tous ses moyens. TENEZ BON POUR VOTRE MARI ET VOS ENFANTS. Et surtout n'abandonnez pas. Continuez à nous écrire sur le site afin qu'une voix charitable prenne enfin en considération votre requête.

J'en appelle à vos sentiments mes amis, et à vos pouvoirs, et si quelque part un homme ou une femme de bien, à une quelconque influence qu'il ou qu 'elle se manifeste en secret pour aider LA FAMILLE DEITZ.
ALBERT L 'ENFANT DE LA GOULETTE.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mexico (Mexico) le lundi 01 juillet 2002 - 06h36:

JUSTICE POUR RAFAEL DEITZ

Je tiens a exprimer ma profonde gratitude a toute l'equipe du Webmaster de ce site, et en particulier a Jack Halfon pour avoir offert avec cet amour inconditionnel qui nous caracterise une place speciale a l'affaire de mon mari, sur la page suivante:
www.harissa.com/D_Communautes/divers/justicepourrafaeldeitz.htm
Psaume 20 du Roi David:
Au chef des chantres. Psaume de David.
Que l'Eternel t'exauce au jour de detresse, que le nom du D.ieu de Jacob te protege! Qu'Il t'envoie son secours du Sanctuaire, que de Sion Il soit ton appui Qu'Il se souvienne de toutes tes offrandes, et fasse bon accueil a tes holocaustes! Puisse-t-Il t'accorder ce que ton coeur desire et accomplir tous tes desseins! Nous allons celebrer ta victoire, arborer comme un drapeau le nom de notre D.ieu. Que l'Eternel comble tous tes voeux! A cette heure je sais que l'Eternel soutient son oint, qui lui repond des cieux, siege de sa saintete, par l'aide puissante de sa droite. Que les uns se fient aux chars, les autres aux chevaux, nous nous reclamons, nous, du nom de l'Eternel, notre D.ieu. Ceux-la plient et tombent, et nous demeurons debout, pleins de force. Eternel, viens a notre secours! Que le Roi nous exauce le jour ou nous l'invoquons!
A. OCHI-A AMELEKH YA-ANENOU VEYOM KOR-ENOU
AMEN

Yael Deitz

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le lundi 01 juillet 2002 - 04h08:

Qui a peur du vrai Yeshayahou Leibovitz ? (info # 013006/2)

Par Salomon Pardess © Metula News Agency

Il y a d’abord cet étrange lapsus calami sur la couverture du n°84 de La Revue d’études Palestiniennes/REP (été 2002) dans la signature qui s’étale sous cette phrase mise en exergue : Un chemin part de l’humanité, passe par la nationalité et aboutit à la bestialité. C’est celui qu’Israël a emprunté après la guerre des six-jours : Yeshaiyahou Leibowitz. Oui, vous avez bien lu : un « i » en trop dans le prénom, un « w » à la place du « v » dans le nom. Car, l’auteur de Judaïsme, peuple juif et Etat d’Israël s’appelle Yeshayahou Leibovitz. C’est donc un lapsus. Que veut-il dire ? Ceci : dans ce numéro intitulé Messages d’une guerre, nous allons vous parler de vie (le « i » hébraïque), mais notre message consistera à vous convaincre que la souffrance qui atteint les corps et les entrailles (« leib » en allemand) des Palestiniens ne relève pas du jeu de l’esprit (« witz » en allemand).

Nous sommes en France, et l’expression (au sens large) du conflit israélo-palestinien doit s’entendre dans le creuset des langues mobilisées : l’hébreu, l’arabe, l’anglais, l’allemand etc. pour autant qu’elles passent par l’idiome français.

C’est ainsi que l’on ne peut pas comprendre la passion des conceptions de vie qui s’affrontent derrière l’enjeu qu’on appelle « le conflit israélo-palestinien » sans entendre la passion d’un signifiant qui traverse les mots et les noms les plus utilisés :

Par exemple, « Sharon » s’entend « charogne ». « Sabra et Chatila » s’entendent « sabrer » et « châtier ». « Arafat » s’entend « affreux » et « rat », « Barak » s’entend « baraque », autant d’effets « tuyaux de poêle » bien connus depuis le livre de Pierre Georges qui ne correspondent à rien et qui, parfois, insultent des personnes, mais qui rôdent toujours au cours d’une controverse.

Le signifiant en question, Gilles Deleuze le cerne bien, dans Grandeur de Yasser Arafat : « D’un bout à l’autre, il s’agira de faire comme si le peuple palestinien, non seulement ne devait plus être, mais n’avait jamais été » (p.3)

(Pour la commodité de la lecture de mon article, je précise que je renvoie uniquement aux pages du n° de la REP concerné).

Il y a d’abord cette obsession, ce fantôme du philosophe : Israël chercherait à néantiser jusqu’à l’existence passée des Palestiniens. C’est non seulement un fantôme, mais une rumeur et qui plus est un pamphlet antisioniste (à la même époque, on attribue à tort à Sharon d’infâmes propos aujourd’hui démentis, même L’Humanité et Le Monde ont été obligés de le reconnaître). Qu’à cela ne tienne : la grille schizo-analytique de Gilles Deleuze pare à tout : mémoire courte ou sélective, refus de s’informer, comme on voudra, Gilles Deleuze n’hésite pas à reconstruire l’histoire à sa manière : « le terrorisme sioniste ne s’exerçait pas seulement contre les Anglais, mais sur des villages arabes qui devaient disparaître ».

Déjà Ilan Pappé pointait sous Gilles Deleuze.

Peu importe que des massacres de Juifs par des Palestiniens aient eu lieu à Hébron en 1929, que 39 Juifs aient été assassinés dans les raffineries de Haïfa en décembre 1947, que 240 l’aient été à Kfar Etzion, les 12 et 13 mai 1948, ou que le convoi de Hadassa à Jérusalem se soit traduit par 77 victimes, en vengeance du massacre de près de 200 Palestiniens à Deir Yassin commis par des Juifs (de l’Irgoun et du Lehi). Peu importe donc au philosophe que le conflit israélo-palestinien se soit établi sur la base d’une dialectique originaire de massacres (car il y a eu des vengeances de part et d’autre destinés à corrompre le sens même de la rencontre historique entre Juifs et Arabes, Israéliens et Palestiniens). Il est parmi les premiers à imputer aux Israéliens l’intention d’organiser un génocide des Palestiniens.

Qui lui a soufflé cette scandaleuse rumeur qui va faire son chemin jusqu’à Edgar Morin ?? Qui lui a dit de dire « On dit que ce n’est pas un génocide. Et pourtant, c’est une histoire qui comporte beaucoup d’Oradour depuis le début ? Quel fantôme intérieur ?

Car, Gilles Deleuze n’aura pas un mot sur les milices chrétiennes qui ont commis les massacres de Sabra et Chatila. Les faisant disparaître du tableau, le philosophe s’épargnera la peine de les qualifier d’« exterminatrices »; en revanche, ces massacres viendront à l’appui d’une supposée intention génocidaire des Israéliens qui n’auraient jamais caché leur but, dès le début : faire comme si le territoire palestinien était vide, destiné depuis toujours aux sionistes ».

Le mensonge est total, mais, à l’époque, parmi les belles âmes de Saint-Germain des Prés, personne ne s’en offusque.

Et en 2002, la REP continue de jouer de ce mensonge. Car, on sait aujourd’hui :

- que les déclarations d’Elie Hobeika selon lesquelles il n’aurait rien eu à voir avec ces massacres ont fait long feu. La Ména a rappelé que la pièce maîtresse du rapport, établi en 1982 par le juge libanais Assaad Germanos, s'est volatilisée, que le juge, désormais à la retraite, a récemment affirmé qu'il avait pourtant remis deux autres exemplaires du même rapport, l'un au président de l'époque Amine Gemayel, l'autre, au directeur des renseignements de l'armée libanaise, le général Johnny Abdo, mais que, selon Gemayel, la copie de ce rapport aurait été, soit brûlée, soit pillée et que le général Abdo « ne se rappelle plus » où il a bien pu mettre la sienne! Et l’on sait aussi que le juge Nasri Lahoud, à qui l’on a demandé de remettre en ordre les morceaux de l'enquête, aura bien du mal à accomplir sa tâche…

-que si Ariel Sharon, qui était à l'époque ministre de la défense, avait laissé entrer les milices chrétiennes dans les camps, ce n’était pas parce qu’il s’était concerté avec elles pour massacrer quelque 800 Palestiniens, pour la plupart des femmes, des enfants et des vieillards, alors que l’armée israélienne encerclait Beyrouth,

-que la réaction indignée des Israéliens devant le fait qu’il n’avait pas évité que de tels massacres se produisent avait conduit la Cour Suprême à mener une enquête afin de déterminer ses éventuelles responsabilités personnelles,

-que la commission qui avait été instaurée pour diligenter l’enquête, dirigée par Itzhak Kahane, le Président de ladite Cour Suprême, avait alors conclu que Sharon aurait du prévoir ce qui allait se passer et ne l’avait pas fait, et qu’il devait assumer les conséquences d’avoir pris la décision de laisser entrer les milices chrétiennes dans les camps. Sharon fut alors contraint de démissionner du poste de Ministre de la défense.

Mais, pour la REP, peu importe ! Il s’agit, sous couvert d’une autorité intellectuelle française qui, en 1983, a brillé par son incompétence et ses associations d’idées délirantes pour juger d’un fait historique, de nous servir à nouveau, en 2002, le mythe de l’essence perfide et massacrante d’Israël.

La statue du Commandeur Deleuze se dresse. La REP se sent sanctifiée. Glorifiée même. « Grandeur de Yasser Arafat ».

Or, et ce n’est un secret pour personne, Elias Sanbar publie ce tombereau de falsifications et d’éloges autodestructrices (le texte de Deleuze). au moment même où des Palestiniens sont étouffés par la « grandeur solitaire » (Deleuze) d’Arafat, parce qu’ils préconisent une autre voie que le loosing historique de leur chef qui enferme son peuple dans un labyrinthe répétitif (Jordanie, Liban, Cisjordanie-Gaza…) dont les conséquences les plus flagrantes sont le désespoir et la destruction.

Certes, le communiqué de 55 personnalités palestiniennes qui condamnent les attentats-suicides a été publié dans le quotidien palestinien Al-Qods le 19 juin 2002, mais Elias Sanbar sait depuis longtemps que Sari Nusseibeh, Hanan Ashrawi et d’autres signataires de cet d’appel veulent depuis longtemps en finir avec une direction politique qui assure le sans-issue comme seule issue, veulent bâtir une authentique stratégie de fondation de leur Etat, et savent, notamment, que les attentats-suicides, qui sont la continuation de l’autodestruction palestinienne par de nouveaux moyens, tournent le dos à cette fondation.

Mais, qu’à cela ne tienne ! Elias Sanbar en rajoute, en rappelant la glorification deleuzienne d’Arafat.

Pour le dire autrement, la fascination schizo-analytique de l’autodestruction poursuit son bonhomme de chemin à la REP. La rédaction de la revue peut affirmer sans rire : « Ce texte de Gilles Deleuze, la Revue d’Etudes Palestiniennes l’a publié il y a presque vingt ans (n°10, hiver 1984). Nous croyons bon de le publier à nouveau : il n’a pas pris une ride, pas une seule. Hélas. Les « fausses garanties », par exemple, les « engagements violés », les « promesses les plus solennelles non tenues » dont Deleuze parle, se sont « simplement » multipliés depuis… ».

Voici le spinozo-nietzschéisme de Deleuze ramené à un moralisme apolitique. Le philosophe parle d’« ’engagements violés ». Lui, l’immanentéiste, il en appelle à la moralité transcendantale incarnée par sa sainteté Arafat et brandit le spectre de l’immoralité transcendantale illustrée par Israël (et les Etats-Unis). Israël et Arafat. La brute et le méchant auraient trompé le bon. Arafat serait un éternel humilié, une sorte de rejeton dostoïevskien que le grand Inquisiteur Israël aurait une nouvelle fois offensé. Le détournement de la Figure aurait eu lieu. Avec lui, la Figure même se serait effondrée. Israël se serait démasqué, démaquillé et, dans la glace arafatienne, aurait ainsi froidement contemplé sa perfidie.

Et voici Elias Sanbar, l’apôtre d’un peuple qui serait né pour être humilié par Israël, et qui pour le sauver, voudrait « sauver » Israël de lui-même, en rappelant Leibovitz.

Aujourd’hui encore, la REP publie l’article de Sylvie Mansour, Une semaine à Jinîn, dans lequel celle-ci, en proie à une émotion certes compréhensible, n’hésite pas à tronquer la réalité en affirmant que « les destructions qui ont eu lieu…sont la conséquence d’une volonté humaine d’infliger le plus possible de destructions et de morts » (p.91). Elle sait pourtant qu’étant donné le rapport de forces, ce ne sont pas 51 victimes palestiniennes qui auraient pu être décomptées au terme de cette bataille, mais des milliers, si les Israéliens étaient réellement mus par cette volonté. Elle sait qu’il n’y a pas eu de massacre à Jinïn, mais croit qu’en mentant, elle va rallier davantage de monde à sa cause.

Dans l’immédiat, peut-être, mais à moyen et long terme, le peuple palestinien va en subir toutes les conséquences. La défiance quant à la parole donnée va s’installer. Les morts palestiniens deviendront indifférents à un monde cruel qui n’attend que ça, pour partir…en vacances d’été, ou d’esprit.

Et si je comprends que des personnes qui pleurent leurs morts (mais n’oublions pas non plus que les Israéliens pleurent 13 des leurs tombés à Djénine), n’ont pas le cœur à reconnaître que leurs ennemis ont délibérément limité leurs ardeurs guerrières, je n’accepterai pas pour autant que les comportements des vainqueurs soient à nouveau dénigrés comme ceux d’infâmes génocidaires.

Jeter l’anathème ne remplace pas l’acte de poser une fondation. La nouvelle faute historique d’Arafat a été de ne pas discuter les propositions d’Israël faites à Camp David (II) dans une perspective de fondation.

Sans doute, avait-il cru, lors des accords qu’il avait signés avec Rabin en 1993, qu’il était devenu un père fondateur, et, sans doute, son avancée personnelle sur le chemin de la fondation a-t-elle été brutalement mise en échec par l’assassinat de Rabin, en 1995. Sans doute, psychologiquement parlant, a-t-il été trop dépendant de son interlocuteur, et sans doute a-t-il commencé à vaciller sur ses nouvelles certitudes auxquelles il était parvenu avec le plus grand mal, étant donner qu’il émergeait de la lutte terroriste armée.

Sans doute ! Car, il n’y a pas si longtemps, au moment même où il appelait au martyr, n’invoquait-il pas la figure de Rabin ? « Ils ont tué Rabin ! disait-il ». Il faut apprendre à lire ce que dit votre chef, Monsieur Elias Sanbar !

Mais, ce n’est pas avec des regrets qu’on fait une politique. Les Palestiniens ont dû commencer par avancer seuls, dans leur tête, sur ce chemin de fondation et ce n’est qu’au prix de ce travail sur eux-mêmes qu’ils ont pu accéder à cette espérance de fondation. Ils avaient alors trouvé un interlocuteur.

Et puis, patatras ! Tout s’est écroulé. Comme partenaires, les Israéliens n’ont sans doute pas été totalement étrangers à cette débâcle de la fondation, mais, ce n’est pas chez eux qu’il faut en trouver les racines palestiniennes. Une rencontre fondatrice n’est pas un jeu d’enfants. Elle est exigeante et nécessite, pour chaque partenaire, le respect de chaque détail de sa propre décision, y compris, lorsque l’autre tente de varier au sujet de la sienne. L’infantilisme du journaliste qui réduit un co-processus de fondation à un rêve brisé ne rend pas compte de la difficulté de la tâche. D’autant que ce sont des vies, d’innombrables vies, des deux côtés qui sont en jeu. Il n’y a rien de plus réaliste (au sens de « real politik ») qu’un acte de co-fondation symbolique. Voyez Luther King.

Alors, on comprend mieux l’opération symbolique de la REP qui place son numéro sous l’aura de Leibovitz : il s’agit de faire croire que les Israéliens sont avant tout des Inhumains, plutôt que de réfléchir en profondeur sur l’impasse actuelle des Palestiniens, et sur le fait qu’Israéliens et Palestiniens tombent désormais de Charybde en Scylla.

Et il s’agit aussi pour elle de prétendre que la cause palestinienne est fondée sur les arguments que les meilleurs des Israéliens –en l’occurrence Leibovitz- avancent, plutôt que de pousser à bouts ces arguments et prendre acte de ce qu’ils signifient dans leur conscience morale et politique, au moment même où des Palestiniens se dressent pour ouvrir une nouvelle voie.

Car, manque de pot, c’est le même Leibovitz qui, répondant à une question de Ehoud Ben-Ezer, écrivain et journaliste au Davar, à l’été 1971 (voir le livre cité, paru chez JC Lattès, p.123) affirme : après la guerre des six-jours, « nous sommes condamnés à vivre pendant une longue période –difficilement évaluable- dans un état de « non-paix », donc sans sécurité, un état de guerre en puissance, qui peut se transformer en guerre réelle à chaque moment ». Et c’est le même qui poursuit ainsi : « si l’Etat d’Israël n’est pas un Etat juif, son existence est inutile », tout en parlant de ce « million et demi d’Arabes » qu’il faut cesser de dominer, et « de la création d’un peuple de prolétaires arabes, gouverné par des contremaîtres, des inspecteurs, des fonctionnaires, des policiers et des soldats juifs », si la domination de ce million et demi d’Arabes devait se stabiliser ».

Pour le dire autrement, Leibovitz exigeait, certes, le retrait des territoires occupés et s’opposait à l’assujettissement des Palestiniens, mais il attendait aussi que ce million et demi d’Arabes (à l’époque) se constitue en un peuple souverain. Et si Leibovitz n’a jamais conditionné ce retrait à la constitution de ce peuple en Etat démocratique, il n’a cessé de préconiser qu’Israël « consolide l’Etat juif ».

Que la REP inscrive sa filiation de pensée dans la duplicité de ces intellectuels français qui, au nom de la démocratie n’hésitent pas à faire bon ménage avec le despotisme (Duras et le vichysme, Sartre et le stalinisme, Foucault et le khomeynisme, Deleuze et l’arafatisme…) lui est vraiment dommageable. L’auto-effacement intellectuel est une force qui va, d’autant plus qu’à un moment donné, une fois le mal réalisé, certains de ces intellectuels (mais pas tous, ça gênerait leur narcissisme) sont capables çà et là, en douce, de faire leur autocritique. N’est pas Gide qui veut !

Après tout, si les intellectuels et politiques palestiniens préfèrent êtres séduits par ce qui est le plus pernicieux dans les Lettres françaises, après tout, c’est leur problème !

Mais, à la lumière des analyses précédentes, on peut mesurer combien il est nécessaire de déconstruire l’inadmissible usurpation du nom de Leibovitz par la REP.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mexico (Mexico) le lundi 01 juillet 2002 - 03h48:

JUSTICE POUR RAFAEL DEITZ

Chere Janet,
je n'ai retenu de toute votre plaidoirie a "Mesdames, Mesdames", que votre derniere phrase:
"J'espere que ce mauvais film noir aura une jolie fin"
Je vous remercie de tout coeur.
Yael Deitz

p.s. auriez-vous la gentillesse de me rappeler votre pseudo au Cafe des Dattes S.V.P.?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Rahelina (Rahelina) le lundi 01 juillet 2002 - 03h24:

Janet,
vous changez de discour.
rahelina

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Janet (Janet) le lundi 01 juillet 2002 - 00h14:

Mesdames,Mesdames
S'il vous plait,relisez mon article
Je ne suis pas cruelle ni meme indelicate
Je ne cherche qu'a vouloir sauver la vie de Yaelle qui le merite et qui ne merite pas par contre de souffrir comme elle souffre et doit faire souffrir ses enfants par la position qu'ellle prend de vouloir faire la guerre,toute seule (J"ai compris que meme des avocats ne veulent plus se meler )
Et moi,je dis ::BON... admettons enfin que M. DEitz soit coupable... son affaire vue et peut- etre ou surement.. faussement jugee par ceux qui font la loi
La pauvre Yaelle vit avec un rasoir sur la gorge et un espoir infini dans les mains de Dieu le pere...
c'est tres beau tout cela pour un script de film hollywoodien
Nous sommes sur la terre
Yaelle a lutte jusqu'a cette minute,sans resultat
Maintenant, lisez moi raisonnablement...si Elle et son mari avaient accepte le < DEAL..que le mari aurait .avoue...il serait reste un temps peut-etre trop long pour lui et sa famille, en prison, mais... ,comptez sur vos doigts il en serait sorti ou presque, maintenant... est-ce que je me trompe ..Autre chose :::en Amerique on rapproche immediatement,ces mots : Ex- mexicain....-Ex israelien et la drogue
l'analogie est faite sur papier
Si je voyage en ce moment,bien que je sois devenue americaine depuis plus de 13 ans,sur mon passeport americain il y a mon lieu de naissance qu'ils appellent Tunis..de plus mon nom de famille est Castro
imaginez le traitement que je subis chaque fois aux aeroports
et je ne parle pas de l'actuelle periode de terreur
La fouille complete a eu lieu et a lieu a chaque depart et a chaque arrivee en Amerique ou hors de l'Amerique
et de quoi suis-je coupable???
si vous me connaissiez vou verriez que ma petite taille et mon corps menu sont tres loins de faire peur
De plus je dois ajouter que mes bagages et ma tenue declarent que je suis du beau monde et sans rire,je ne ferai pas peur a une fourmi
Alors ??dois-je accuser tous les pays de m'en vouloir specialement et de desirer me mettre en prison pour rien
mesdames,si vous n'accusiez que les particuliers americains meles a l'affaire,je ne me serais pas melee du tout
je suis allee une seule fois sur le cafe des dattes et la-bas j'ai parle anonymement avec Mexico (son pseudo ) et nous nous sommes proposes de marier son fils qui a 27 ans et ma petite-fille qui en 20...
Qu'elle essaie de se souvenir
Je ne suis pas son ennemie
Loin de la
Je voudrais qu'elle arrive a surmonter ce grand malheur qui est arrive a sa famille...Un pere est le plus important lien ,le plus necessaire
Je ne le nie nullement
Reprenons...si meme les quelques americains ont eux-memes commis Le Crime d'arreter Monsieur Deitz,admettez,que l'accusation etait vraie,meme si cela doit vous faire verser des larmes de sang...
essayez de faire raccourcir la mise en horrible prison et donnez-lui la chance qu'il en sorte !!
si vous ne comprenez pas,tant pis,je me devais de faire mon devoir pour aider Yaelle car maintenant c'est elle de qui il faut s'occuper immediatement ,nous tous Harissiens... et soutenir son moral a tout prix pour que.. une quasi normalite revienne dans sa maison... Je n'ai jamais dit qu'il fallait pour cela qu'elle oublie ou qu'elle repudie son mari...Le ciel l'en preserve...je dis le ciel car ici il ne s'agit pas de pouvoir divin...
il faut changer d'attitude...et je parle en connaissance du peuple parmi lequel je vis maintenant...
Ils sont tres tres loin d'avoir le coeur et les sentiments que nous avons l'un pour l'autre,nous Tunisiens...Nous,nous avons une ame et une conscience,en tout cas, pour la plupart d'entre nous...je fais tres mal,si je generalise
Yaelle,please, ne priez pas pour ma resurrection dans le droit chemin... Et vous Rahel... ne me devorez pas...vous me faits peur..
J'espere que ce mauvais film noir aura une jolie fin !!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mexico (Mexico) le dimanche 30 juin 2002 - 23h19:

JUSTICE POUR RAFAEL DEITZ
Cher Rachco,
Je vous remercie de tout mon coeur pour votre appui et sympathie a cette noble cause.
Vous en serez comme tous ceux qui s'y joignent S.D.V. recompenses dans ce monde et dans le Olam Abaa.
Mourir pour mourir, il vaut mieux mourir debout que vivre a genoux.
Comment envisagez-vous le sauvetage d'un otage?
C'est affaire n'est pas judiciaire mais politique.
Un action aupres du gouvernement d'Ohio oblige.
Elle devrait etre plantee sous ces conditions:
- ou vous soumettez RAFAEL DEITZ a un jugement
- ou cette affaire sera publiee
C'est facile non?
Aidez moi je vous en prie a tenir le coup jusqu'au bout!
Yael Deitz

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mexico (Mexico) le dimanche 30 juin 2002 - 22h44:

JUSTICE POUR RAFAEL DEITZ
Ma petite Rahelina, ma cherie,
C'est juste apres avoir poste mon message que j'ai lu le tien.
Tu m'as faite pleurer...
Ne t'inquietes pas ma cherie, si nous avons survecus mon mari et moi, c'est un grand miracle de Hachem. Je sais qu'il y a un grand message derriere toutes ces souffrances.
"Aazorim be dima, be rina iktzorou"
Que D. te protege et te benisse a toi et a tout tout ISRAEL.
AMEN VE AMEN
Yael Deitz

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Rachco (Rachco) le dimanche 30 juin 2002 - 22h39:

POUR YAEL MEXICO

QUI est Janet pour se permettre de trancher ainsi "oui votre mari cette pauvre biche est bien inculpé de trafic de drogue."Si vous avez eu un dossier en main éclairez nous Janet - Yael nous vous croyons -hélas les magouilles et les erreurs existent. je pense que vous avez d'un jet écrit votre calvaire... il vous faut recentrer maintenant - où êtes vous actuellement ? votre mari a été arrêté en temps que citoyen israelien, qu'a fait le gouvernement pour lui depuis 6-ans celà parait impensable qu'on le laisse croupir ainsi ?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mexico (Mexico) le dimanche 30 juin 2002 - 22h34:

JUSTICE POUR RAFAEL DEITZ

Chere Janet,
Votre message m'a fendu le coeur...
Vous etes apres tout dans votre plein droit d'exprimer vos opinions. Mais pourquoi donc alors le faites-vous a la 1ere personne du pluriel? Etes-vous si certaine que le monde partage vos opinions? si non, vous levez ici un faux temoignage, je vous en previens.
Comment pouvez vous a la fois, par ironie du sort, sympatiser avec ma douleur et en meme temps condamner mon mari? c'est incompatible!
Vous m'accusez de proferer de la medisance (Lachon Haraa) envers les USA.
Je dois vous preciser que je suis juive orthodoxe et mon mari aussi. Je considere un grand Tsadik pour l'etre encore sous de telles conditions.
Je connais parfaitement les Lois du Lachon Haraa et leurs consequences.
Au cas ou vous l'ignorez encore, je tiens a vous dire qu'il existe 2 exceptions:
1- Quand il s'agit de sauver une vie humaine (PREMIERE MITZVA!)
2- Quand il s'agit d'eviter un mauvais chiddoukh ou un commerce avec une personne malhonnete.
Je vous ajouterai dans la liste de mes prieres pour que D. vous pardonne.
Moi, c'est d'emblee deja fait.
Sans aucun doute, vous devez etre conciente que le fait pour moi d'arriver a avoir le courage de denoncer, toute seule, innofensive, la nation la plus puissante du monde, doit bien entendu se baser sur le fait que mes arguments sont fondes avec des preuves a l'appui.
Vous etes helas, tombee, sans meme les reviser, dans le piege magistral qui fut tendu pour ecarter toute intentive d'aide: "oui..bien sur..un mexicain...de la drogue...COUPABLE!"
Mon mari ne reclame pas le fait d'etre juge par le public, nous avons deja subi suffisament de prejudices, sinon et seulement le droit d'etre juge devant un tribunal.
COMMENT EXPLIQUEZ VOUS LE FAIT QU'IL AIT REFUSE DE SE RENDRE COUPABLE EN ECHANGE DE 9 ANS DE PRISON ET QU'IL ACCEPTE ENSUITE DE LE FAIRE EN ECHANGE D'UNE PEINE A PERPETUITE?
Je vous le laisse sur votre concience et prie pour que D. vous illumine et protege tout le Klal Israel.
AMEN VE AMEN
Yael Deitz

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le dimanche 30 juin 2002 - 22h26:

A VOIR ABSOLUMENT. 12 FILMS SUR DIFFERENTS SUJETS. LA REALITE DE NOS FRERES EN ISRAEL. A VOUS ARRACHER LE COEUR. L'AFFRONTEMENT QUOTIDIEN ENTRE DES GENS CIVILISES ET DES BARBARES.


http://server12.castup.net/mfa/

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Rahelina (Rahelina) le dimanche 30 juin 2002 - 21h32:

Janet,
je suis tres choque par vos propos,heureusement que tout le monde n'est pas comme vous.Comment osez vous affirmer avec autant de sureter sans le moindre doute que mr deitz est bien coupable.Ce n'est pas la premiere fois que les Etats Unis accuse des hommes innocent "coupable".Combien de cas d'hommes passe a la chaise electrique et qui apres par la suite on ete decouvert innocents.Nous vivons dans un monde qui n'est pas tout rose,et lorsque des drames pareils arrive la moindre des choses si vous ne pouvez pas aider c'est de ne pas attaquer la pauvre Mexico comme vous le faites au moins ne le faites pas en public.On est tous juifs ,on doit s'entraider et ne pas nier.Je pense ne pas etre la seule a etre choque pas vos propos.Et que d'autres harissiens vont se manifester sur votre message que je trouve vraiment tres deplace.
kol touv rahelina

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le dimanche 30 juin 2002 - 21h26:

vu le traitement royal accorde aux chiens et aux chats,hamsters et autres animaux,la devise de notre pays devrait etre "in dog we trust".
(personellement j'aime les animaux et toutes creatures divines de tout mon coeur )

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le dimanche 30 juin 2002 - 20h29:

Pétition pour renforcer le droit d’exécrer les juifs en public ! (info # 022906/2)

Stéphane Juffa © Metula News Agency


Une pétition c’est, d’après Larousse, un "écrit adressé à une autorité pour formuler une plainte ou une demande". A qu’elle autorité les organisateurs de la pétition pour le droit à critiquer la politique de Sharon s’adressent-ils donc ? Sharon a-t-il tenté de museler les journalistes français et de les empêcher de porter un regard critique sur l’action de son gouvernement ? Et, puisque ce n’est pas le cas, serait-ce l’autorité politique française qui empêcherait les médias tricolores d’exprimer des critiques à l’encontre des décisions du gouvernement de Jérusalem ? Honnêtement, à la Ména, on s’en serait aperçu !

Qu’est-ce qui peut donc amener des patrons de rédactions de médias principaux en France, comme Edwy Plenel du Monde et Jean-Luc Hees, le directeur de France Inter, à formuler une plainte ou une demande à une autorité fantasmagorique ?

Le texte de la pétition dit que "les signataires entendent défendre le droit de critiquer la politique du gouvernement israélien sans pour autant être qualifiés d’antisémites." Il a fait l’objet d’un appel publié dans le Nouvel Observateur et d’un tir d’appui nourri dans diverses autres publications nationales. Dans Libération, Jean-Pierre Thibaudat a consacré un article de soutien à cette initiative, qui se termine par une invitation à envoyer des signatures pour étoffer la pétition, avec les adresses utiles à la clé. Dans le Monde, c’est Antoine Jacob qui s’est chargé du sale boulot – sans citer nommément la pétition - dans un papier intitulé Les Médias occidentaux accusés de partialité au Proche-Orient.

En fait de pétition et faute d’autorité autant que de demande à formuler, il s’agit d’un manifeste – une déclaration collective écrite – en quête de supporters, qu’a lancé initialement Robert Ménard et son association Reporters sans frontières. Ménard et ses compagnons des médias n’attendent d’ailleurs aucune réponse à leur plainte et à leur demande. Ils n’attendent que le soutien de leurs pairs et de leurs semblables, ils attendent que les intellectuels français endossent à posteriori ce qu’ils ont déjà fait, ce qu’ils ont déjà dit et ce qu’ils ont déjà écrit.

Il est bien sûr que la différence philologique existant entre une pétition et un manifeste est tout sauf anodine, dans le cas qui nous intéresse elle revêt même la plus grande importance. Lorsqu’on réclame publiquement un droit qu’on a déjà, qu’on utilise abondamment et que personne ne conteste, c’est certes qu’il y a un banc d’anguilles qui grouillent sous la roche. C’est que ce qu’on cherche véritablement à obtenir est différent que ce qu’on prétend publiquement réclamer ! Le stratagème est transparent, déjà compromettant pour les intellectuels imprudents qui se sont embarqués sur cette galère.

Ce que je me propose de démontrer dans cet article, c’est que les intentions véritables des instigateurs de ce manifeste déguisé en pétition sont inavouables et qu’en plus, ils mettent en péril les bases de la cohabitation dans la société française. Ce que je prétends, c’est qu’en lançant leur initiative, ses instigateurs entendent :

1. faire passer pour une critique de l’action politique du gouvernement israélien, les actes de judéophobie qualifiés qu’ils ont commis dans leurs médias – en usant de l’imposture philologique qu’on a vue, du renfort des pages de leurs publications, de l’ignorance relative du public dont ILS sont largement responsables mais surtout, en remplaçant la raison de l’esprit qu’ils piétinent par le nombre de signatures qu’ils vont ainsi pouvoir recueillir ! -.

2. s’assurer qu’ils vont pouvoir poursuivre impunément leur démarche ravageuse en bénéficiant – toujours par le soutien populaire représenté par les signatures qu’ils comptent recueillir - d’une immunité à priori de non racisme, couvrant tout ce qu’ils pourront dire, montrer ou écrire sur Israël.

3. clouer au pilori, vouer à l’opprobre et à l’excommunication tous les opposants à leur pensée justifiée par plébiscite populaire et délégitimer globalement ces "personnalités (comme Alexandre Adler ou Alain Finkielkraut) (…)" qui "exploitent peurs et désarroi, et, face à la moindre critique de l’actuelle politique israélienne, brandissent l’accusation d’antisémitisme" (L’Obs repris par Thibaudat dans Libération).

Ils oublient pourtant, ces instigateurs et ces signataires – conscients ou dupes – que tout un chacun sait désormais différencier la critique d’une action politique d’un acte de racisme caractérisé. Ils méprisent à ce point l’intelligence de l’opinion publique, ces hobereaux des médias molletonnés, qu’ils croient qu’elle acceptera d’oublier ce qu’elle sait du racisme à cause qu’elle aura vu, au bas d’un texte, la signature de quelques autres personnalités qui viennent ainsi de se perdre !

On a certainement tous les droits de critiquer le premier ministre d’un Etat, son gouvernement, son armée, les actes des gens et ceux des hommes politiques, qu’ils soient d’Israël ou d’ailleurs. Cette semaine encore, n’écrivais-je pas moi-même dans un papier diffusé par la Ména : "Bien sûr que les Livnat, Livné, Hanegbi, Rivlin et Dany Naveh et leurs amis du Mafdal dansent la farandole sur les perspectives de l’émancipation politique des Palestiniens mais leur vue est à court terme et elle ne résout rien. Plus que la poursuite de la violence, à laquelle leur absence absolue de perspective politique nous condamne, leur aveuglement est de nature à faire sortir Israël des consensus humanistes de la civilisation que l’Amérique entend protéger."

J’ai parlé dans ces termes de la vision politique de ces ministres du gouvernement israélien. On peut difficilement envisager de critique plus claire ou plus vive d’une action politique et pourtant, il ne s’est pas trouvé un seul lecteur, parmi les quelques 140.000 personnes qui m’ont lu – je dis bien un seul ! –, pour confondre cette critique avec un acte antisémite ou raciste !

Parce que le racisme, c’est faire systématiquement preuve d’un à priori dirigé toujours contre la même communauté. Parce que le racisme, c’est lorsque cet à priori fait systématiquement l’économie de s’appuyer sur une argumentation factuelle.

Le racisme, encore, c’est prétendre à – ou baser une réflexion sur – l’existence de comportements partagés et innés auprès d’une communauté de personnes.

Alors, selon les normes qui précèdent, il est impossible de prétendre que l’article du trio Morin, Naïr, Sallenave diffusé par le Monde – Edgar Morin figure au nombre des signataires du manifeste, la conscience ne le supporte pas – constitue une critique de la politique du gouvernement israélien ! Lorsque ces auteurs assurent qu’Israël est un "Peuple méprisant ayant satisfaction à humilier !" quelqu’un peut-il en effet confondre une telle description de l’atavisme malfaisant des juifs avec une critique de l’action politique d’Ariel Sharon ?

Où trouver la critique de l’action politique dans l’affirmation de Michel Warshawski, qui prétend quant à lui que le sionisme est une forme de racisme et d’antisémitisme et pourquoi Edwy Plenel – lui aussi signataire de la pétition ! – a-t-il cru nécessaire de célébrer l’apostasie de Warshawski dans le Monde ?

Quand le Nouvel Observateur diffame les soldats israéliens, en prétendant qu’ils violent systématiquement les jeune palestiniennes, quand Charles Enderlin affirme faussement que les mêmes soldats jettent des grenades dans les pieds des journalistes étrangers ou quand la presse française omet d’expliquer à son opinion l’enjeu de la contrebande qui est à la base de la bataille de Rafah, pour ne montrer que les maisons palestiniennes détruites et encore, sans lui dire que les Palestiniens creusaient des tunnels à partir de ces maisons, le problème, le scandale, est-il vraiment celui du droit à la critique des journalistes français ?

Lorsque la même presse française et jusqu’au Figaro cette fois, se découvre un seul historien, parmi les milliers d’historiens d’Israël, et lui réservent des dizaines de pages, l’installent en commentateur avisé de l’actualité, simplement parce qu’Ilan Pappé (communiste, révisionniste de l’histoire d’Israël et anti-sioniste) prétend – sans l’avoir aucunement démontré – qu’Israël aurait établi son existence sur de soi disant massacres ignorés de Palestiniens, s’agit-il aussi d’une critique de la politique de Sharon ?

Lorsque Philippe Lançon, dans Libération, insulte le philosophe Alain Finkielkraut, le traitant de porte flingue parisien d’Israël, parce qu’il a jugé bon d’appeler à un soutien de la cause palestinienne les yeux ouverts, cela procède-t-il aussi des droits réclamés par la pétition ?`

De quelle sorte de critique politique s’agit-il encore, lorsque le journaliste de France Inter, Daniel Mermet – dont le procès pour incitation à la haine raciste se situe au cœur des causes du manifeste-pétition – choisit les auditeurs qu’il va passer à l’antenne, parmi ceux, comme celui-ci, qui affirme que "oui les Juifs ont très bien exploité le capital de pitié qu’ils cultivent depuis 50 ans ; maintenant, ça suffit ! " ?

Oui, ça suffit ! Toute argumentation supplémentaire est superflue, les articles de La Ména ont ceci d’utile qu'ils ont déjà présenté par le détail et par l’analyse méticuleuse des dizaines de faits de désinformation et d’intentions judéophobes dans la grande presse française et aussi dans les dépêches de l’Agence France Presse et dans les communiquées du Quai d’Orsay. Jamais aucun des cas sur lesquels nous avons planché ne présentait de critique journalistique étayée de l’action politique du gouvernement israélien. Ceci transforme en initiative sans objet tangible le manifeste des gâtés de l’info. A la place de l’argument manquant, on constate la formidable finalité des initiateurs de la chose : Obtenir le droit intellectuel à l’expression raciste contre les juifs et contre les Israéliens !

La revendication de ce droit saugrenu est vérifiable au travers des quelques exemples récents que j’ai présentés dans ce papier et des dizaines d’autres, que nous considérons tous les jours à la Ména. S’agissait-il de notre part d’une invocation systématique et abusive de judéophobie, comme le prétendent les pétitionnaires ou d’une "question, redevenue brûlante, de l’antisémitisme," que "l’esprit antiraciste du temps déclare les Juifs coupables de régression quand ils protestent en tant que Juifs contre les innombrables agressions, verbales et physiques, dont ils sont victimes", comme le déclare Finkielkraut ?

En tous cas, les barons des médias nationaux font tout pour escamoter toute trace de ce questionnement, en multipliant, au contraire, les exemples de prises de positions scabreuses, du genre qui n’a rien à voir avec la critique d’une quelconque option politique de la part du gouvernement israélien ! Il faut considérer ce bâillonnement des voix discordantes comme la manière qu’ont choisi ces personnes afin de trouver une solution énergique à "cette grave dérive du débat public qu’elles refusent". Pas de débat, pas d’opposants pas de dérive, aurait dit Obélix pour définir lesdites manières !

Quant à savoir à quoi ils pensent lorsqu’ils déclarent "refuser cette banalisation de l’antisémitisme", c’est, comme je vous l’ai dit, qu’ils réclament un élargissement supplémentaire de la licence de l’expression potentiellement antisémite et anti-israélienne. Ils souhaiteraient que les philosophes et les Juifs français abaissent le degré de leur sensibilité et acceptent pour normaux, pour pas répréhensibles, pas justiciables, l’invasion des médias par les thèses d’un Ilan Pappé, les accusations de déterminisme atavique malveillant d’un Morin, les autodafés d’un Warschawski, les élucubrations trans-factuelles d’un Enderlin, les comptes-rendus fielleux d’une Schwartzbrod ou d’un Paris, l’accusation du sac de la basilique de la nativité par TV5, les accusations fallacieuses de génocide, de crimes contre l’humanité et mille autres dégénérescences de la pensée qu’ils aimeraient pouvoir colporter et amplifier à leur guise !

Surtout, par leur cueillette de signatures, ils veulent montrer leur force dans la société française et établir des passes droits par cette technique brutale. Ils entendent faire peur à ceux qui oseraient s’opposer à leur point de vue, effrayer iceux des intellectuels – ça n’est pas facile de vivre de son esprit lorsqu’on n’est pas en phase avec Radio France, l’Obs, Libé, le Monde et les télévisions nationales – qui seraient tentés de rejoindre BHL, Gurfinkel et Finkielkraut dans le maquis ! Ils entendent aplatir les velléités de la minorité juive de France de faire respecter ses différences, son honneur et sa sensibilité.

Du haut de mon rocher galiléen, je considère que cette dernière initiative est dramatique sur tous les plans et qu’elle va scinder les gens entre les pro et les anti. Les instigateurs et les signataires de ce manifeste font revenir la France cent ans en arrière à une discussion qui rappelle par certains aspects les arguments de l’affaire Dreyfus ! Comme si en cent ans elle n’avait absolument rien appris. Je dis attention, comme cela lui arrive de façon redondante, lorsqu’elle n’a plus confiance en elle, "l’élite est, une nouvelle fois, au diapason de la racaille (Finkielkraut)" et ces épisodes dans l’histoire se sont toujours soldés par des catastrophes humaines.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Janet (Janet) le dimanche 30 juin 2002 - 19h40:

A Yaelle,
je Vous plains,chere Yaelle,de tout mon coeur et je pleure avec vous,.....mais, pour votre naivete et votre aveuglement, qui sont je l'espere involontaire
J'habite,moi-meme aux U.S.A depuis presque 18 ans....
je suis tres instruite dans les caracteres americains qui sont tres differents,car n'oubliez pas que l'Amerique apres tout a ete et continue a etre peuplee par des emigrants de differents pays qui ont seme quelquefois la terreur et l'anarchie...
Ce pays tout entier qui, hier ,aujourd'hui ou dans l'avenir des israelites et des israeliens est le seul de qui notre survie depend et dependra dans l'avenir...Quand vouus ecrivez sur l'internet,cela, ne l'oubliez jamais,vous publiez au monde entier
Je pourrai comprendre ,si vous m'ecriviez personnellement que vous pleuriez sur mon coeur et je Vous consolerai... mais le monde est si mechant,si injuste...Nous vivons tous,nous-memes en Israel ou dans la gola ce meme drame que vous vivez,ave l'injustice, les erreurs,... tous les jours nous prions Dieu qu'il nous pardonne d'avoir insulte ou maltraite notre prochain, meme par la pensee
Madame,si vous etes aveuglee par l'amour et la souffrance... moi,qui ne suis pas Dieu ,je vous pardonne...
Mais ,ouvrez vos yeux,please
personne n'ose vous remettre sur un certain chemin de guerison...pour Vous
Stop...votre mari est coupable...un point a la ligne
Je ne crois pas que votre mari ait subi tous les traitements dont vous parlez sans aucune raison...
vous nous parlez en pleurant et en gemissant
Votre mari va rester en prison et s'il a su y vivre six ans il vivra touute sa portion destinee par Dieu
je vous en prie,remettez-vous,redressez-vous personne ne vous croit ,ni ceux a qui vous racontez les faits tels qu'on vous les a cites...on ne vous a pas menti ...on n'a pas essaye de faire avec votre mari la meme faute que l'Etat francais a fait dans l'Affaire Dreyfus
On peut faire de gigantesques erreurs quand la paperasserie s'en mele mais on a trouve,indubitablement, une grande source de drogue...et votre mari..!!!!!!!!!
je Vous crois,ce que vous nous racontez devrait nous faire fremir..Mais...vous continuez....Ce pays,et encore ce Pays....avec un ton degoute !!!
et, vous allez plus loin sans honte et sans pudeur...: Ils ont comme devise >:IN GOD WE TRUST>>>
ILS DEVRAIENT LA CHANGER EN << IN GOLD WE TRUST...


aie aie,ca fait mal...La,vous avez depasse les limites...Moi, je voudrais rencontrer de nouveau celle qui a pris le pseudo MEXICO,,qui nous rejoint souvent sur le Cafe des dattes et qui sait alors plaisanter...
Ne vous trompez pas,je repete... Je vous plains de tout mon coeur,mais non pour l'injustice qui peut paraitre tres cruelle et injuste quand on la lit dite par vous qui, entre parentheses, pourrait battre notre cher Albert dans le dramatique
Je ne ris pas...
je ne peux pleurer que sur votre aveuglement
Vous n'etes pas chez les sauvages...vous etes en Amerique..ou la parole est donnee a tout le monde petits et grands ,riches ou pauvres, blonds ou noirs...Vous le savez mieux que moi...Ne depassez pas les mesures,please...Restez dans le cadre des choses,,car certains croient naivement a la cruelle malchance de votre mari,cette pauvre biche voyageuse qui est allee en se trompant de route au Mexique et qui y a trouve le mechant loup qui sentait la drogue a des milliers de kilometres...Triste et pitoyable histoire qui reussit a faire de la desinformation sur notre site,Nous,les Juifs, qui en sont les premieres victimes RABBI IOSTOR..comme disait ma chere mere !!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le dimanche 30 juin 2002 - 16h04:

Chronique des Khazars :

Avant le Xe siècle, le royaume des Khazars avait déjà été réduit par les Russes à la dimension d’environ 1 300 000 km². Mais comme nous pouvons le constater sur la carte de l’Encyclopaedia Judaica , sa surface au Xe siècle était encore bien plus grand que celle d’aucune autre nation. La population du royaume Khazar était composée pour la plus grande partie de Khazars, et pour le reste, par les quelque vingt-cinq nations d’agriculteurs pacifiques, qui peuplaient ces terres d’approximativement 1 600 000 km², avant qu’elles ne soient envahies par les Khazars.

Au premier siècle avant Jésus-Christ, les Khazars, partis de leur mère patrie en Asie, ont envahi l’Europe orientale. Ils ont envahi l’Europe Orientale par la route naturelle des steppes, entre les Monts de l’Oural au Nord et la mer Caspienne au Sud.

Les Khazars n’étaient pas des « Sémites ». Mais une nation Asiatique, de type mongoloïde. Selon les classifications des anthropologistes modernes ce sont des turco-finnois. Depuis des temps immémoriaux, la patrie des Khazars se trouvait au cœur de l’Asie. Ils étaient une nation très belliqueuse. Les Khazars furent finalement chassés de l’Asie par les peuples avec lesquels ils étaient continuellement en guerre, et ils envahirent l’Europe orientale afin d’échapper à de plus amples défaites chez eux.

Les très belliqueux Khazars n’éprouvèrent guère de difficultés à soumettre les vingt-cinq nations de paysans pacifiques, qui occupaient approximativement 1 600 000 km² en Europe orientale. En une période relativement courte, les Khazars établirent le plus grand et le plus puissant royaume d’Europe, et probablement le plus riche.

Il existe de très nombreux types de visages parmi les descendants des Khazars, car les Khazars fondirent sur 25 nations et se mélangèrent avec les populations de ces territoires, mais le visage de Lénine par exemple, représente bien l’un des différents modèles.

Les Khazars étaient des païens, lorsqu’ils envahirent l’Europe orientale. Leur pratique religieuse était un mélange du culte phallique, et d’autres formes de cultes idolâtriques pratiqués en Asie par les nations païennes. De tels cultes se sont maintenus en Khazarie jusqu’au VIIe siècle.

Les excès sexuels que pratiquaient les Khazars pour « célébrer » leurs cultes religieux les amenèrent à un degré de dégénérescence morale que leur roi ne pouvait plus tolérer.

Au VIIe siècle, le roi Bulan décida d’abolir la pratique du culte phallique, ainsi que celle des autres cultes idolâtriques, et choisit l’une des trois religions monothéistes ( qu’il connaissait très peu ), pour religion d’état. Après avoir fait venir des représentants des trois religions monothéistes, le roi Bulan rejeta le christianisme et l’islam, et choisit comme future religion d’état le culte religieux connu à l’époque sous le nom de « talmudisme », et aujourd’hui connu et pratiqué sous le nom de « judaïsme ». Cet événement est attesté par de nombreux documents.

L’Encyclopaedia Universalis nous donne un article sur les Khazars :

« Peuple apparenté aux Turcs, qui établit un empire entre la mer Noire et la mer Caspienne du VIIe au Xe siècle, les Khazars nous sont connus par des sources arabes, hébraïques et chinoises principalement. Ils s’opposèrent à plusieurs reprises à l’Empire byzantin et aux Arabes. Ils eurent, selon le géographe arabe al-Istakhri, un régime de double royauté, avec un khaqan et un roi. Leurs relations avec Byzance, meilleures au VIIIe siècle, déterminèrent un mariage entre Constantin V et une princesse khazare, dont le fils fut l’empereur Léon IV le Khazar ( de 775 à 780 ). Ayant connu une extension variable, l’empire khazar s’étendit sur les peuples de la région du Caucase, de la Crimée et de la Volga ; Kiev en fit partie au IXe siècle. Il succomba aux assauts des Russes qui conquirent sa capitale, Semander, en 965. Son histoire en tant que nation était terminée. «

La judaïsation :

La grande aventure des Khazars fut la conversion de la dynastie régnante et de la caste noble au judaïsme vers 740. Due peut-être à des marchands juifs venus de Byzance ou à un effort réel de prosélytisme juif, cette conversion est parfois comprise comme une volonté des Khazars d’échapper tant à l’influence islamique qu’à l’influence chrétienne de leurs puissants voisins byzantins et arabes.

La judaïsation des Khazars, en dépit de progrès certains, ne s’étendit qu’à une portion de la population, chrétiens, musulmans et même païens conservant leurs institutions et tribunaux reconnus et représentés, toute la question est celle de l’étendue de cette portion, 20 %, 40 %, 80 % ? Certains auteurs, affirment que la judaïsation était quasi complète. Au Xe siècle s’établirent des relations épistolaires entre Hasdaï ibn Shaprut, ministre juif du calife de Cordoue Abd-er-Rahman III, et Joseph, roi des Khazars.

Par ailleurs, l’histoire de la conversion des Khazars inspira l’œuvre du grand théologien juif d’Espagne Juda Halévy, qui intitula son traité doctrinal du judaïsme Sefer ha-Kuzari : le Livre du Khazar ( un dialogue entre un roi khazar et un sage juif ).

La correspondance entre Ibn Shaprut et Joseph a été publiée par Isaac Aqris dans son livre Kol mevasser ( Constantinople, 1577 ) et son authenticité, longtemps mise en doute, est aujourd’hui généralement admis.

Le problème du devenir des habitants de la Khazarie et de leurs descendants après la chute du royaume a donné lieu à la théorie ( bien fragile ) certes, mais nous voudrions connaître les raisons de ce « bien fragile », car ces Khazars convertis ne se sont pas volatilisés, selon cette théorie les Israélites de l’Europe de l’Est en seraient issus, en dépit de leur adoption du haut-allemand comme langue vernaculaire.

Le roi Bulan et les 4000 nobles du système féodal de Khazarie furent rapidement convertis par des rabbins importés de Babylonie à cet effet. Le culte phallique et les autres formes d’idolâtrie furent dès lors interdits. Les rois Khazars invitèrent un grand nombre de rabbins pour ouvrir des synagogues et des écoles, afin d’instruire la population dans la nouvelle religion.

Le judaïsme était devenu la religion d’état. Ces Khazars convertis furent la première population de « juifs » ( prétendus ou autoproclamés ) en Europe orientale. Les « juifs » ( prétendus ou autoproclamés ) d’Europe orientale, ne sont rien d’autre que les descendants directs des Khazars qui se sont convertis en masse au talmudisme au VIIe siècle de notre ère.

Après la conversion du roi Bulan, seul un « juif » ( prétendu ou autoproclamé ) pouvait monter sur le trône ; le royaume Khazar devient une théocratie : les autorités religieuses étaient les mêmes que les autorités civiles. Les rabbins imposèrent l’enseignement du Talmud aux populations comme la seule règle de vie possible. L’idéologie du Talmud devint la source de toutes les attitudes politiques, culturelles, économiques et sociales, d’un bout à l’autre du royaume Khazar. Le Talmud avait réponse à tout.

Dynasties et fin d’un royaume :

Ce fut Obadiah, l’un des successeurs de Bulan, qui régénéra le royaume et renforça le judaïsme. Il invita des érudits juifs à s’installer sur son territoire, et il fonda des synagogues et des écoles. Le peuple était instruit dans la Bible, la Mishna, et le Talmud, ainsi que dans le “ service divin du hazzanim ” (...). Pour écrire, les Khazars utilisaient les lettres de l’alphabet hébreu, (...) mais la langue Khazare prédominait (...).

Le successeur du roi Obadiah fut son fils, Isaac ; puis Moïse ( ou Manassé II ) succéda au roi Isaac son père ; puis Nisi succéda à Moïse ; puis Aaron II succéda à Nisi. Quant au roi Joseph, fils d’Aaron, il monta lui aussi sur le trône en vertu de la loi khazare relative à la succession royale (...).

Le roi avait alors vingt-cinq femmes, toutes de sang royal, ainsi que soixante concubines, toutes de fameuses beautés. Chacune d’elles dormait dans une tente individuelle et était surveillée par un eunuque (...), cela semble correspondre avec le début du déclin du royaume Khazar (...).

Les Russes Varègues prirent la ville de Kiev et s’y installèrent jusqu’à ce qu’ils aient achevé la conquête de tout le royaume Khazar (...). Après un combat acharné, les Russes vainquirent les Khazars (...). Quatre années plus tard, les Russes avaient conquis tout le territoire occupé par les Khazars, jusqu’aux rivages de la Mer d’Azov (...). Un grand nombre de membres de la famille royale émigrèrent en Espagne, (...) certains fuirent en Hongrie, mais toute la masse du peuple demeura sur sa terre natale. »

Propos recueillis

Berdah

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Rahelina chalom
Le jour ou les palestiniens pouront dire sans CRAINTE qu'arafat est le plus grand ennemi de la paix et du peuple palestinien en premier lieu, ils auront fait un premier pas vers la paix.
Dans ce monde ou tout est mensonge, arafat qui a sur ses mains le sang de tous ces palestiniens et israeliens a recu le prix Nobel de la paix.
Sans aucun scrupule il envoi des enfants palestiniens se faire tuer pour tuer le plus d'israeliens.
Au nom d'Allah, au nom de Dieu,on envoi des enfants tuer d'autres enfants et mourrir.
Abraam notre pere a tous, juifs, arabe et chretiens n'a pas enseigne la haine mais tout au contraire l'amour du prochain.Malheureusement nous vivont dans un monde de mensonges.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le lundi 01 juillet 2002 - 03h18:

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