Commentaires du 3 Juillet 2002

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires de Juillet 2002: Commentaires du 3 Juillet 2002
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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le jeudi 04 juillet 2002 - 08h00:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le mercredi 03 juillet 2002 - 17h52:

Je ne sais pas si c'est du a la pression des groupes arabes sur la direction de MSNBC mais Alan Keyes show "Making sense" n'est plus en primetime (grandes heures d'ecoute). Il a ete relegue a la tranche de 2 a 3h du mat!! Dommage!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Ariane (Ariane) le mercredi 03 juillet 2002 - 17h06:

Cher Henri, vous presentez la responsabilite comme une propriete uniquement male, c'est ce point de vue qui me revolte!!! za'ama: la femme? qu'elle soit irresponsable... nous , les hommes protecteurs, sommes la pour lui porter secours!!! pourtant, tel que vous le decrivez vous-meme: les deux rameurs doivent ramer, c'est a dire prendre la meme part de responsabilite. A chacun(e) son interpretation...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri Bueno (Henri) le mercredi 03 juillet 2002 - 12h53:

Autres points de vue.
De quoi pourait se plaindre la femme, elle peut presque toujours faire un voeux, de toute facon son pere ou son mari la degagerons de sa responsabilite, alors que l’homme lui doit l’assurer
Le couple c’est comme dans une barque, si seulement l’un des deux rame la barque va aller de travers.Mais si les deux rament dans le bon sens alors ils arriveront la ou ils veulent aller.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri Bueno (Henri) le mercredi 03 juillet 2002 - 12h10:

Point de vue
La femme est le "pilier" de la famille surtout si elle le pense. Et le couple se complete .
Chacun apporte sa part.
D... a cree l'homme qui se sentait bien seul, il en prit un "cote"(avec accent aigu) et il en fit la femme.
Le marriage par l'union de l'homme a son "cote" vient les completer et les parfaire.
L'homme sans la femme ne vaut pas grand chose, et vice versa.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Ariane (Ariane) le mercredi 03 juillet 2002 - 11h11:

Cher Chlomo,
A propos de vos explications sur la parasha Mattot, dois-je comprendre que dans notre religion la femme remplit une fonction subalterne a celle d'un homme, son pere, son fiance, son epoux? puisque son voeu/neder peut etre annule, serait-il donc considere comme moins serieux, profond et engageant que celui d'un homme? pourquoi cet annulation dependrait de la bonne grace d'un homme, son pere, son fiance, son mari? Dans votre metaphore des relations D.ieu = mari, peuple juif = femme, la femme devrait-elle s'identifier a une brebis guidee par son berger? La "femme au foyer", traduite en hebreu par "akerette-bayite", serait-elle l'essentiel du foyer, de la famille, derivee de la racine hebraique "ha'ikar she babayite"? ou alors comme cela est insinue dans votre explication: "akaratte-habayite" a comprendre l"impotence, la sterilite du foyer"? Bien cordialement...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mercredi 03 juillet 2002 - 04h08:

La France jette le Bujon assez loin ! (info # 010207/2)

Par Salomon Pardess ! © Metula News Agency


L’ambassadeur de France aux Etats-Unis, Monsieur François Bujon de l’Estang, a récemment expliqué aux Américains que la France n’était pas le pays antisémite qu’ils croyaient. Lorsqu’on lit sa déclaration, on ne peut que l’approuver. Pour autant, on ne comprend pas pourquoi, si les choses sont comme il les décrit, les Juifs de France se sentent si “seuls à plusieurs” et si menacés. Essayons d’éclaircir ce décalage, essayons aussi de donner à notre ambassadeur des arguments pour qu’il se rende compte qu’en fait, il est encore loin de commencer à penser ce qui se passe en France en matière d’anti-judaïsme, même s’il prétend le contraire.

Il est d’abord intéressant d’étudier comment il a tenté de convaincre les Américains de la bonne foi de la France. Notre Ambassadeur n’a pas occupé la place de l’accusé qui doit se défendre contre toutes les accusations qui sont portées contre la France. Au contraire, il a pris la posture du pays qui, non seulement est indigné par ces accusations, mais encore a des leçons à donner en retour à ceux qui les profèrent.

La France de Monsieur François Bujon de l’Estang est cette puissance qui, la première en Europe et dans le monde, a reconnu que les Juifs devaient jouir de tous les droits d’une pleine citoyenneté (1791). C’est aussi la France des Dreyfusards (il y a un siècle), puis celle de tous ceux qui, dans l’ombre, ont aidé nombre de leurs concitoyens juifs à échapper aux griffes de la Gestapo et de la police vichyste, pendant l’occupation allemande. Et c’est la République qui a attribué de hauts pouvoirs à des Juifs, tels que Léon Blum et à Mendès-France.

La France de notre ambassadeur, c’est aussi celle d’Edgar Bronfman, de Shimon Perez et du Grand Rabbin de France, qui sont tous d’accord pour dire qu’elle n’est pas antisémite.

C’est également celle qui s’est élevée contre l’extrême droite raciste et antisémite, notamment lors du second tour des élections présidentielles.

Enfin, c’est la France du Président Chirac qui a condamné les actes antisémites récents en des termes très durs et a mobilisé 1200 policiers et gendarmes spécialement dévolus à la protection des synagogues et autres écoles juives. C’est aussi celle qui traduit les auteurs des actes antisémites devant la justice.

Bref, disons le sans état d’âme, au contraire, même, avec l’âme du bonheur, que cette France, c’est la France que nous aimons.

Mais, c’est justement pour cela, parce que cette France existe, que les Juifs, aujourd’hui, ne sont pas “heureux comme des Juifs en France”. Quelque chose se passe, qui ne ressemble en rien à ce que l’Ambassadeur a dit aux Américains. Ce quelque chose pointe, lorsqu’il réduit la question du rapport des non-Juifs de France aux Juifs à une question de tolérance et de respect envers la liberté religieuse, puis lorsqu’il affirme que la politique du Quai d’Orsay se résume à la défense d’une paix juste et durable au Moyen-Orient.

Un climat de plomb pèse en effet sur le quotidien des Juifs de France depuis deux ans. Il s’abat le matin, lorsqu’ils écoutent les médias et que, sous prétexte de donner un éclairage sur la situation historique du conflit israélo-palestinien, une journaliste d’Europe 1, Madame Catherine Nay, n’hésite pas à avaliser sans aucune précaution ni nuance la rumeur lancée par un historien israélien Ilan Pappé. Selon cette rumeur le judaïsme aurait aboutit à un Etat, Israël, qui serait né sur les bases d’une “purification ethnique”. Le même climat se poursuit dans la journée, quand les Juifs constatent que des militants pro-palestiniens peuvent, au cours d’une manifestation du MRAP, hurler “Mort aux Juifs” dans les rues de Paris, sans que la justice n’y trouve rien à redire et quand ils lisent dans Le Monde et sous la plume d’un grand intellectuel, Edgar Morin, que les Juifs d’Israël sont des massacreurs et des humiliateurs. Il s’achève le soir, lorsqu’un journaliste de France 2, comme Claude Sérillon, affirme que l’ONU a déclaré qu’Israël avait commis un génocide. Les Juifs de France se rendent ainsi compte qu’aujourd’hui, il est possible de faire dégouliner son fiel antijuif, sans être menacé en aucune manière. Bref, ils pensent que l’Ambassadeur des Etats-Unis est bien gentil, mais un peu léger, lorsqu’il refuse de parler de la licence absolue dont jouissent certaines belles âmes, et non des moindres, démocratiques de France, apparemment heureuses d’ouvrir les vannes à une nouvelle forme d’antijudaïsme, celle qui constitue sous nos yeux, une nouvelle image inconsciente du Juif “qui inspire l’antijudaïsme”.

Ce que notre Ambassadeur ne dit pas non plus, c’est que les enfants juifs ont peur. Ils craignent de montrer leur kipa dans la rue ou dans les transports en commun, s’ils ne sont pas protégés. Ils craignent qu’on les oblige à baisser les yeux ou à se battre, ils craignent d’avoir à fuir.

Ce que notre Ambassadeur feint d’ignorer, c’est que tous ces phénomènes n’ont pas été créés par la terreur de l’extrême droite, mais par la tolérance des autorités devant la violence anti-juive spécifique ces deux dernières années.

Mais il y a plus. Lorsqu’il affirme que les auteurs de ces actes antijuifs sont mus par la volonté d’importer le conflit israélo-palestinien en France, il feint de croire que, si le conflit n’existait pas, ces actes n’existeraient pas non plus. Or, cela a été la volonté de la France de s’affirmer présente sur la scène internationale de ce conflit; Cela a, par exemple, été sa volonté d’afficher que Chirac serrait la main d’Arafat sur le perron de l’Elysée, tandis qu’il laissait Barak à l’écart. Cette image n’a pas eu l’étranger pour seul destinataire : les Français ont été les premiers récepteurs de ce message, et, parmi eux, les membres de la communauté musulmane (mais aussi, par voie de conséquence, ceux de la communauté juive). C’est donc l’Etat qui a importé le conflit en France, et les médias avec.

D’autre part, ces actes sont commis contre des Juifs, qui, parce qu’ils sont Juifs, sont désignés par avance par les pro-Palestiniens extrémistes qui vivent dans notre pays comme des ennemis non seulement des Palestiniens, mais aussi des musulmans.

C’est pourquoi, lorsque, dans sa déclaration, il ne sait que dénoncer les accusations des Etats-Unis, l’Ambassadeur continue d’importer le conflit israélo-palestinien en France, tout en se montrant incapable de penser les actes spécifiquement anti-juifs s’y déroulent réellement.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 03 juillet 2002 - 04h05:

Les deux parachiot lues, cette semaine, sont Mattot et Massei.

La paracha Mattot commence par nous parler des voeux ("nedarim"), par lesquels une personne decide de s'interdire un certain profit du monde, comme tel ou tel aliment, ou autre chose. Elle sera alors tenue de respecter son voeu ("neder").

Cependant, un neder peut parfois etre annule.
C'est le cas, en l'occurence, d'un voeu pronnonce par une jeune fille ou une femme. Le pere de la jeune fille, ou le mari de la femme mariee, peuvent, le jour ou ils prennent connaissance du neder et uniquement ce jour la, annuler le voeu en question. Si toutefois il a commence par le valider, il ne pourra pas se reprendre et l'annuler.

S'il s'agit d'une jeune fille deja fiancee, selon les regles de la Torah, le fiance pourra, dans ces memes conditions, annuler le voeu de sa fiancee.
Ceci presente un aspect etonnant. On aurait du s'attendre a ce que le potentiel du mari soit plus important que celui du fiance. Et pourtant, le mari ne peut annuler qu'un neder effectue par son epouse apres le mariage, alors le fiance peut, quant a lui, annuler aussi bien un neder datant d'avant les fiancailles qu'un neder datant d'apres les fiancailles.

L'une des raisons a ceci est que le mari annule le neder selon son propre potentiel en tant que mari, c'est a dire a partir du mariage. Le fiance, par contre, cumule son potentiel et celui du pere de sa fiancee, comme ceci est expose dans la Michna :
"Une jeune fille fiancee, son pere ou son fiance peuvent defaire son neder".
L'association de ces deux potentiels recouvre donc toute la vie de la jeune fille, que ce soit avant ou apres les fiancailles.

Nous comprenons ainsi que le fiance, qui agit a travers cette association, a donc un potentiel superieur a celui du mari.
Ainsi, bien que le potentiel du mari soit intrinsequement superieur a celui du fiance, le fait ne n'agir qu'avec son propre potentiel le limite necessairement.
Contrairement, le fiance, qui agit en association avec le pere, peut annuler tous les voeux.

Ces concepts, les fiancailles et le mariage, s'appliquent egalement au lien qui unit le peuple juif a D.ieu.
La Torah compare souvent le peuple juif a la femme, et D.ieu au mari.
L'exil est comparee a la periode des fiancailles, et le mariage represente la delivrance prochaine et imminente, puisqu'alors l'union entre D.ieu et le peuple juif sera alors parfait.

Dans le service divin egalement, on peut retrouver ces deux niveaux: celui du mariage est la situation dans laquelle un juif se detache totalement des plaisirs materiels pour ne s'attacher qu'a D.ieu, dans le sens donne par le verset : "Et ils seront une seule chair".
Par contre, celui des fiancailles est la situation dans laquelle un juif est deja detache des plaisirs materiels, sans toutefois etre arrive a un attachement parfait avec D.ieu.

A priori, le niveau du mariage est plus eleve que celui des fiancailles.
Mais il y a cependant une particularite dans les fiancailles qui manque au mariage. Celui qui a atteint ce niveau supreme qu'est le mariage peut s'autoriser a penser qu'il n'a plus besoin de l'aide divine pour progresser, puisqu'il a deja atteint un niveau de "tsadik gamour".
Par contre, celui qui n'a pas encore atteint ce niveau, a l'image de la fiancee, ressent qu'il a besoin de l'aide divine a chaque instant.

Lorsque l'on agit avec notre propre potentiel, meme si l'on a atteint un niveau extremement eleve, ce potentiel a necessairement une limite. Par contre, lorsque l'on agit avec le potentiel infini de notre pere celeste, on peut alors atteindre des niveaux de plus en plus eleves, que meme la personne la plus elevee ne peut atteindre de ses propres forces.

Bonne semaine a tous,
Chlomo

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le mardi 02 juillet 2002 - 21h43:

omega,en theorie la democratie serait une tres bonne chose pour les pays arabes,en realite les cela n'arrangerait pas les choses pour les USA,qui n'ont aucun interet a changer les regimes en place.dans l'etat actuel des choses,des elections libres dans les arabes et islamiques seraient une catastrophe,vu la tres forte chance de victoire des partis islamiques.on l'a bien vu en algerie quand le FIS allait remporter les elections et que le governement les a annules en catastrophe .depuis que l'iraq a nationalise son petrole en 1956 nos petroliers texans n'arrivent pas a fermer l'oeuil.le gouvernement elu de mossadegh en iran dans les annees 50 a ete putshe
par la CIA (Copain Intime des Arabes).quand le shah a saute en 79 comme par hazard saddam est entre en guerre contre khomeini,devinez qui a arme saddam?.the bottom line is money and petrol.recement le venezuela ,grand producteur de petrole,a fait les frais d'une tentative manquee des bonnes vielles methodes d'edgar hoover et de papa bush.le status quo est donc pour le moment la seule alternative.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Djlachem (Djlachem) le mardi 02 juillet 2002 - 21h35:

Merci à "Cecile de Paris" pour son gentil mot d'encouragement.
Je n'ai bien entendu aucune réaction des différentes rédactions contactées.

Pour répondre à Omega je dirais: et si la non-démocratie était contenue dans l'Islam, par essence même? Certaines sourates du Coran ne sont-elles pas à desespérer d'une ouverture possible vers le droit du citoyen, de la femme, etc...N'y a-t-il pas une curieuse fatalité au fait qu'aucun pays musulman n'ait su sécréter de démocratie? C'est pourquoi, paradoxalement, je vois un espoir chez les palestiniens qui sont un peu plus empreints de laïcité que les autres nations arabes et qui seront peut-être, je dis bien peut-être , un peu plus à même de construire une démocratie avec laquelle il est tout de suite plus facile d'édifier la paix.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Omega (Omega) le mardi 02 juillet 2002 - 20h47:

Bien que n'etant pas du tout d'accord avec la proposition de Georges W. Bush sur le proche-orient, je voudrais quand meme y relever ce que j'y trouve de bon :

- Oui le monde serait moins dangeureux si tous les pays se dirigeaient vers une VRAIE democratie.
- Oui, il y aurait moins de frustration et certainement moins de terrorisme si les pays arabes et musulmans adoptaient le modele democrate.

Bien sur que la democratie est difficile a implementer mais quel autre systeme pourrait garantir que les habitants d'un pays se sentent en controle de leur vie et puissent influer sur les hommes politiques qui les dirigent.

Alors je dis :

OUI, LA DEMOCRATIE PEUT MARCHER PARTOUT.
VIVE LA DEMOCRATIE POUR TOUS LES PAYS ARABES ET MUSULMANS

OMEGA

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le mardi 02 juillet 2002 - 18h53:

JEAN PIERRE CHEMLA

Juste un petit mot pour féliciter Mr JP Chemla pour sa lucidité et l'exactitude de son analyse!!
J'espère que son "article" arrivera bien sur le bureau de toutes les personnes à qui il est destiné!!
Bravo!! continuez!!

Cécile de Paris.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le mardi 02 juillet 2002 - 13h05:

L’infamant soutien français à Arafat
COMMUNIQUÉ DE PRESSE de FRANCE-ISRAËL - Alliance Général Kœnig
Paris, le 27 juin 2002

En appelant à " une direction palestinienne nouvelle ", le président Bush a porté à Arafat un coup qui devrait lui être fatal. France-Israël constate que la diplomatie française, fidèle à elle-même, s’est empressée d’apporter le soutien de la France à ce despote habile à manier le parjure, la corruption et la terreur.

Ce sont les armes habituelles des fascismes. Elles ont fait dire à l’un de nos philosophes que l’Autorité palestinienne actuelle était un avorton d’État gangster, aussi nuisible aux Israéliens qu’aux Palestiniens.

France-Israël rappelle en outre que le nationalisme palestinien – même s’il a dans les médias l’apparence du réel – est un produit de fabrication récente, fondé sur des mensonges historiques.

Un État qui naîtrait avec une telle hérédité ne pourra qu’accroître l’instabilité au Proche-Orient. C’est là précisément l’objectif de ceux qui considèrent l’existence d’Israël comme " une parenthèse au regard du temps long de l’Histoire ".

Les solutions d’une fédération avec la Jordanie pour instaurer une paix stable ne sont pas absurdes au point d’avoir dû, de façon suspecte, disparaître totalement de la scène internationale.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le mardi 02 juillet 2002 - 12h53:

A travers la presse déchaînée:

Semaine du 24 au 30 juin 2002


Le plan de paix de Bush qui demande le retrait d'Arafat et la réticence des Européens, singulièrement de la France, font les gros titres cette semaine. Certains s'intéressent déjà à la succession du Raïs. Est-il soutenu par les pays arabes comme l'affirme France-Soir daté du 27 juin en page 16, ou au contraire a-t-il " peu d'appuis arabes " et serait même " un cauchemar pour les dirigeants arabes " ainsi que le dit Jean-Christophe PLOQUIN en page 2 de La Croix du 28 juin ?

On s'intéresse aussi beaucoup à la décision de la justice belge qui a jugé irrecevable la plainte contre Sharon. Par contre, une nouvelle n'a suscité qu'une brève dans Libération du 28 juin en page culture : " Israël épargné par l'Unesco ". Qu'a donc fait Israël ? Il était accusé de " la destruction et les dommages causés au patrimoine culturel de la Palestine ". L'article ne dit pas de quel patrimoine il s'agit. En tout cas on n'a pas entendu de condamnation, ni même d'avertissement, de l'autorité palestinienne par l'Unesco lorsque le tombeau de Joseph ou d'autres lieux plusieurs fois millénaires ont été détruits et transformés en mosquées.

" Kamikazes. Israël cible les familles " titre le Parisien du 24 juin en page 8, c'est à dire de " présumés innocents ", affirmation que met à mal une brève de Marianne (24-30 juin, p. 52) : " il y a maintenant les mamans de kamikazes. On en a vu une, la première, dans une vidéo du Hamas. Elle surgissait dans le champ de la caméra pour serrer son fils contre elle avec un large sourire. Quelques heures plus tard, il se faisait exploser selon la logique qui consiste à tuer avec son corps autant de juifs que possible. Jusqu'à présent les mères donnaient la vie. Mais la maman de kamikaze innove : elle collabore avec la mort ".

Jénine. sous le titre " le camp de Jénine à l'heure du déminage ", Georges MALBRUNOT du Figaro nous livre peut-être, dans l'édition du 29/30 juin, enfin la vérité sur ce qui s'est passé dans ce camp : d'abord, il y aurait que 54 tués et 5 disparus côté palestiniens, ensuite les destructions ne représentent que 15% du camp. Surtout, les équipes de déminage des Nations Unies ont " mis la main sur 3 234 engins, en majorité des bombes construites par les Palestiniens ( …). Des diplomates qui ont visité le camp ont été surpris par la quantité d'explosifs accumulés par la résistance (…) Les experts chimistes ont opéré en cachette mais leurs planques étaient au cœur de la population. ". Question d'un des démineurs : " Pourquoi Israël n'interdit-il pas l'entrée en Cisjordanie d'engrais à plus de 30% d'acide nitrique ? " On imagine le tollé international si Israël voulait interdire l'entrée d'engrais en territoire palestinien ! Pourquoi ne pose-t-il pas plutôt la question " Comment une telle prolifération d'armes est-elle possible dans un camp qui est géré par les Nations Unies et qui accueille de façon permanente des organisations humanitaires ? Les gestionnaires regardent-ils ailleurs tandis que ces explosifs sont fabriqués ? " d'autant plus que le journaliste ajoute que " la prolifération des bombes montre que les artificiers palestiniens disposent d'appuis parmi la population " et que " certains échantillons ont été envoyés dans des laboratoires occidentaux afin d'être analysés pour détecter la présence éventuelle d'explosifs plus puissants ".

En France, tout est bon pour parler des Palestiniens. D'abord la sixième biennale des cinémas arabes qui se déroule à l'Institut du monde arabe " la Palestine abonde en bobines " dit Libération du 28 juin, tandis que le Monde, dans son édition du 26 juin parle d'un " renouveau palestinien sur fond d'Intifada ". Pas moins de 55 films palestiniens réalisés entre 1993 et 2002 sont présentés. Il y a une " production artisanale d'un grand nombre de films dans les territoires autonomes, à la faveur, si l'on ose dire, de la radicalisation du conflit ". Autre lieu, Canal 93, radio locale de Seine St Denis qui, avec l'appui de l'Agence française d'action artistique et du conseil général de Seine St Denis, offre sa scène " nouveau lieu dont l'ambition est de proposer toutes les musiques, toute la culture pour tous pour tous " (l'Humanité, 28 juin) au groupe Baobabnawa qui, " après une tournée l'an dernier dans les territoires occupés ont décidé de rendre la pareille à leurs homologues palestiniens ".

Paix. Shlomo BEN-AMI veut encore croire à la paix, malgré son jugement très sévère sur Yasser Arafat : " l'occupation a constitué aussi très largement un alibi et une excuse employés par Arafat et son entourage pour ne faire aucune réforme (…). L'intifada et son cortège de désastres pour le peuple palestinien a été encouragée par Arafat, avec un objectif qui ne se limitait pas à faire pression sur Israël pour obtenir un retrait des Territoires - mais qui visait à offrir un dérivatif aux exigences de réforme de son peuple et à circonvenir la frustration des masses déçues des piètres performances de l'Autorité dans tous les domaines de sa gestion ". Il propose un plan en page " débats et opinions " du Figaro du 25 juin. Denis JEAMBAR, dans un éditorial de l'Express du 27 juin, considère qu'il " n'y aura pas de triomphe définitif. Israël ne gagnera pas par les armes. Mais jamais le monde occidental n'accepterait ce crime que serait la disparition d'Israël. Aussi en revient-on à ce constat : pour Israël et pour les Palestiniens, la seule victoire possible s'appelle la paix " ; mais David GROSSMAN, écrivain israélien s'interroge dans un " Rebond " de Libération daté du même jour : il a fallu huit siècles aux irlandais pour comprendre " que cette guerre ne pouvait pas être gagnée ", faudra-t-il le même temps aux Israéliens et aux Palestiniens ? Benny MORRIS, professeur d'histoire à l'université Ben Gourion de Beer-Sheva, chef de file des " nouveaux historiens " et pionnier des relations israélo-palestiniennes, n'y croit plus, au moins pour les dix prochaines années. C'est ce qu'il explique à Alexis LACROIX du Figaro dans un " débat et opinions " publié dans l'édition du 29/30 juin. Pour lui, Arafat a trompé les Israéliens et les Occidentaux. Enfin, selon l'Express, pour Tsahal, " il faut casser chez les Arabes cette idée, née avec notre retrait du Sud-Liban, que la terreur paie ".

Jean DANIEL, lui, dans son éditorial du Nouvel Observateur du 27 juin, continue à attribuer toute la responsabilité de la guerre à Sharon qui " a méprisé le plan de paix du prince héritier Abdallah d'Arabie Saoudite ". Ses " symétries " sont pour le moins surprenantes. Selon lui il y a des deux côtés des " résistants " et des " terroristes ", Sharon étant l'équivalent du Hamas. Le seul tort d'Arafat c'est de ne pas avoir su " comparer l'insuffisance perfectible des propositions de Clinton et Barak, avec la catastrophe prévisible qu'allait engendrer la politique de Bush et de Sharon ". Ajoutons que Jean DANIEL avait osé la semaine dernière une très légère critique de l'article d'Edgar MORIN paru dans le Monde du 4 juin dernier - critique qui ne portait que sur le fait qu'il lui a semblé " à tort sans doute, que les explications fort convaincantes et pénétrantes fournies par Edgar Morin pour comprendre les attentats suicides pouvaient conduire à de (très prudentes et très indirectes) justifications ". Il se satisfait cette semaine des explications de son ami, sur ce seul point et c'est tout juste s'il ne s'excuse pas de l'avoir soupçonné. Il n'avait pas demandé d'explications sur ces phrases les plus odieuses : " C'est la conscience d'avoir été victime qui permet à Israël de devenir oppresseur du peuple palestinien. Le mot "Shoah", qui singularise le destin victimaire juif et banalise tous les autres (ceux du goulag, des Tsiganes, des Noirs esclavagisés, des Indiens d'Amérique), devient la légitimation d'un colonialisme, d'un apartheid et d'une ghettoïsation pour les Palestiniens. (…) On a peine à imaginer qu'une nation de fugitifs, issue du peuple le plus longtemps persécuté dans l'histoire de l'humanité, ayant subi les pires humiliations et le pire mépris, soit capable de se transformer en deux générations en "peuple dominateur et sûr de lui" et, à l'exception d'une admirable minorité, en peuple méprisant ayant satisfaction à humilier. "

Victimisation. C'est le thème d'un débat dans Marianne du 24-30 juin pages 68-71. " Les journalistes n'informent pas. Ils divisent le monde en victimes et bourreaux, quitte à les inverser aussitôt que tourne le vent de la bien-pensance. De même, les humanitaires partagent le monde en bonnes et mauvaises victimes " dit la journaliste Florence ASSOULINE. Selon le psychanalyste Michel SCHNEIDER, auteur de " Big Mother ", " N'est-on pas arrivé à comparer l'horreur des génocides, abusant du mot jusqu'à l'écœurement, allant jusqu'à inventer la chose pourvu que l'on hisse les siens au hit-parade du supplice ". Il ajoute " On a raison parce qu'on souffre. (…) Je souffre, donc je suis innocent. Donc tu es (vous êtes) coupable(s). Un autre psychanalyse, Jean-Pierre WINTER, auteur de " Stupeur dans la civilisation " continue : " Tout acte entrepris contre l'autre devient alors légitime : la victime se transforme en punisseur (…) C'est bien entendu, mais de manière très perverse, la logique des kamikazes ". Tandis que Patrice DECLERCK, anthropologue, auteur des " Naufragés " poursuit : " On peut dans l'Occident ivre de culpabilité et bien-pensant, dire que les guerres tribales en Afrique sont le fait des pays ex-colonisateurs. Cela ne m'explique pas pourquoi on va massacrer son voisin à coups de machette. La destructivité humaine n'existe plus, elle devient un épiphénomène, un dérapage de tel ou tel système ".

Censeurs, censeuses… C'est le titre de la " quotidienne " de Pierre MARCELLE dans Libération du 24 juin. Selon lui, " Daniel Mermet en fait les frais pour l'exemple, quand les réactions des auditeurs (…) lui valent un vicieux procès initié par des qui, pieusement, voient l'antisémitisme partout. Un peu comme le substitut du procureur de Chambéry, poursuivant en un procès infamant Sébastien Jolivet, militant de la LCR " pour un graffiti " Sharon assassin " avec des " S " ressemblant aux sigles des SS. M. MARCELLE se permet de dire que le substitut " brait dans le sens du vent " sous prétexte qu'il qualifie l'acte de " provocation à la discrimination d'une nationalité à caractère racial ". Etant donné et les plaidoiries des substituts et les conclusions dans de précédents procès, on est tenté au contraire d'admirer le courage de ce substitut qui va dans le sens contraire du vent. Curieusement, le même jour, Alain-Gérard SLAMA, dans le Figaro utilise le même mot de " censure ". Pour lui, même s'il est " des idées qui tuent ", même s'il pense que dans l'affaire Mermet, celui-ci " aurait dû accompagner certains propos d'une mise en garde " et si les propos incriminés " se situaient très au delà d'une simple critique de la politique de Sharon " ou " allaient jusqu'à nier le droit à l'existence de l'Etat d'Israël ", " fait-on triompher la vérité en menaçant d'une condamnation " ? Pour Ivan RIOUFOL du Figaro (Bloc-note du 28 juin), ceux qui intentent ces procès se trompent de cible, " Les vrais antisémites, eux, ont droit à de troublants égards ".

Pourtant, l'antisémitisme existe bel et bien. Le Nouvel Observateur l'a rencontré dans son supplément Paris-Ile-de-France : " Montrés du doigt, insultés, victimes d'agressions dans la rue ou même dans les lycées, les Franciliens de confession juive sont saisis par la crainte ". Et ce n'est pas du simple " vandalisme " comme l'a affirmé à plusieurs reprises Jean DANIEL dans ses éditoriaux : " le père et ses trois fils ne portent plus la kippa dans la rue, ou sous une casquette. Le benjamin ne rentre plus seul de l'école. La cadet reste à la cantine ". Dans un lycée, une jeune fille de 16 ans s'est fait agresser toute l'année comme juive, dans le silence, voire avec la complicité d'un professeur de sciences politiques qui a proposé à la classe un film, dans lequel elle figurait, sur la " violence d'Etat " où Israël était l'accusé. La jeune fille a porté plainte. L'Anti-Diffamation League a commandé un sondage au groupe Taylor Nelson Sofres. Ce sondage présenté dans Le Monde du 29 juin par Patrick JAREAU est assez inquiétant : 30% des Européens " entretiennent au sujet des juifs des idées hostiles. Ils sont 45% à juger probablement vraie l'affirmation selon laquelle les Juifs sont plus loyaux vis-à-vis d'Israël que de la Nation à laquelle ils appartiennent. (…) L'affirmation selon laquelle les juifs ont trop de pouvoir dans le monde des affaires reçoit 30% de réponses positives en moyenne, jusqu'à 42% en France et 44% en Belgique ". Le même Patrick JARREAU, dans l'édition du 25 juin reprenait les propos de l'ambassadeur français François BUJON DE L'ESTANG qui ne voit dans ces accusations que le désir de " discréditer Paris au Proche-Orient ".

Citoyenneté et communautarisme. Pour Alain-Gérard SLAMA, dans l'article cité plus haut, la cause de ces procès est " l'organisation de plus en plus efficace de minorités actives et de corporatismes (…) les médias eux-mêmes qui soutiennent aveuglément la nouvelle idéologie communautariste qui les broie ". Dans La Croix du 27 juin, c'est Jacques LE GOFF, Maître de conférences de droit public à la faculté de droit de Brest, qui pose la question de la définition de la citoyenneté. Pour lui, " être citoyen, c'est être de quelque part, c'est relever d'une communauté inscrite dans une histoire et une culture propres. (…) Ce qui ne signifie en rien que la dimension d'universel soit tenue pour vaine. Mais elle ne prend consistance que dans l'épaisseur des particularités qui lui donnent corps à partir du lieu où chacun prend place dans le monde ". Patrick Klugman, président de l'Union des étudiants juifs de France, qui a été l'un de ceux qui ont intenté des procès pour antisémitisme, ne dit pas autre chose quand il se dit " fils d'Abraham et de Marianne " (Le Monde daté du 25 juin). Ce qu'il refuse c'est le repli communautariste. Il critique ainsi la consultation sur l'Islam qui repose sur des fondements entièrement religieux et accuse " les pouvoirs publics d'avoir tellement dissocié citoyenneté et identité, [qu'ils] ont fini par réduire leurs administrés à des Arabes, des Juifs ou, sur d'autres points des chasseurs ou des agriculteurs, sans parler de tous ces Français depuis trois générations que l'on persiste à désigner comme immigrés ".

En page 8, Marianne, sous la signature sibylline de P.M.O. affirme un "retournement du vote communautariste " en montrant que dans certains quartiers juifs de Paris un candidat notoirement anti-israélien a été élu, tandis qu'ailleurs, une candidate juive aurait fait les frais de campagne, relayée par l'extrême gauche, la désignant comme " militante sioniste ". Un vote communautariste chasserait l'autre " conclue l'auteur de l'article comme si il était avéré qu'il existait un vote juif ! Toujours dans Marianne, mais en page 41, Jacques Molénat affirme que Georges Frêche doit sa non réélection à ses positions hostiles au foulard islamique. Son concurrent aurait promis en contrepartie du soutient des islamistes des subventions aux associations musulmanes, des facilités dans l'accès au logement social etc. ". Ces accusations sont préoccupantes et méritent pour le moins de sérieuses investigations.

On ne peut pas terminer cette Revue de presse sans s'intéresser à quelques ouvrages commentés par la presse de cette semaine. L'Humanité du 26 juin parle de l'ouvrage de Michaël LOWY, publié aux PUF sur le philosophe Walter BENJAMIN, qui s'est suicidé pour échapper au nazisme, et dont la pensée est interprétée comme " une conjugaison du marxisme et de la théologie juive ". La réédition des œuvres de Hanna Arendt, qui fut une amie du précédent, en collection Quarto est longuement commentée dans Le Figaro Littéraire du 27 juin et dans le Monde des Livres daté du 28. Elle fut sioniste de la première heure, mais très critiquée pour son commentaire du procès Eichmann qui pour elle est " un fonctionnaire du meurtre, il incarna la banalité du mal " et pour ses attaques des sionistes qui voulaient " la fin définitive de l'assimilation ", elle fut accusée " de rendre service aux antisémites et aux ennemis d'Israël ". Le même Monde des livres propose sous le titre " Enfances en Palestine " la lecture de deux ouvrages : " Palestine : la perte de l'innocence. Une enfance à Gaza, 1942-1958 " d'Arlette KHOURY-TADIE et " Génération Intifada " de Laetitia BUCAILLE. Gilles KEPPEL qui fait le compte rendu de ces ouvrages rapporte, comme par inadvertance, le témoignage d'Arlette KHOURY-TADIE sur l'arrivée des réfugiés palestiniens en 1948 : " Ces foules immenses de réfugiés, qui, de crainte des violences de l'armée sioniste, ont quitté leur maison et convaincues par la propagande arabe qu'elles y retourneraient sous peu, en ont emporté la clé, peuplent toujours les camps de Gaza et de Cisjordanie ".

Plus léger, l'ouvrage de Bruno HALIOUA, chez Bibliophane : " Mères juives des hommes célèbres " commenté dans Le Nouvel Observateur par Bernard LOUPIAS.


Anne Lifshitz-Krams

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mexico (Mexico) le mardi 02 juillet 2002 - 00h43:

JUSTICE POUR RAFAEL DEITZ

Chers amis Harissiens,
Je tiens a vous remercier du plus profond de mon coeur le temoignage de vos sentiments d'appui et de reconfort.
Je vous encourage vivement de continuer a le faire afin qu'avec l'aide de D. et notre union, nous puissions aboutir a la justice.
Toutefois cet espace etant reserve a tous les sujets qui preocupent notre communaute, je vous prie de bien vouloir avoir la gentillesse et la consideration de me contacter directement a mon e-mail: ufaratzta@hotmail.com
CHALOM
Yael Deitz

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mexico (Mexico) le lundi 01 juillet 2002 - 21h37:

JUSTICE POUR RAFAEL DEITZ
Mon cher Albert, mon frere, mon ami, mon petit enfant de La Goulette...
Tu es si loin de moi et pourtant si pres!
Que D. te protege et te benisse a toi et a tous tes etres chers
AMEN
Yael Deitz

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le mercredi 03 juillet 2002 - 03h55:

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