Par Admin (Admin) le vendredi 09 novembre 2001 - 12h30: |
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Par Anonyme le jeudi 08 novembre 2001 - 12h32: |
"Puisqu'on ne peut changer la direction des vents, il faut apprendre a orienter les voiles".
James DEAN.
Drunkrat.
Par Halkeloued (Halkeloued) le jeudi 08 novembre 2001 - 12h34: |
Eh oui, Omega! De toutes façons tout finit par des chansons.
J'aime bien, de temps en temps "changer de disque".
Alors continuons et répondons sans plus attendre à Colette.
Elle a toutes les qualités
Mon grand défaut c'est de t'aimer
Arrête, arrête ne me touche pas
Je t'en supplie ai pitié de moi
Dès que tes mains se posent sur moi
Je suis prête à subir ta loi.
Qui connaît la suite?
Amicalement.
Henri Fitoussi
Par Omega (Omega) le jeudi 08 novembre 2001 - 12h33: |
Interessant de voir sur ce forum une realite qui est en train de se developper dans la vie de tous les jours. En d'autres termes, je veux parler du schisme qui est en train de s'operer autour de nous : il y a ceux qui veulent parler avec passion de la situation politique et ceux qui veulent plus du tout en entendre parler et qui veulent au contraire s'amuser le plus possible.
Et dans notre microcosme, ca donne "PATRICIA CARLI - Arrete arrete ne me touche pas", contre "les merites spirituels de la paix au proche orient."
Omega
Par Mena (Mena) le jeudi 08 novembre 2001 - 12h00: |
Le journal de 13 heures de TV 5.
La bande annonce : « Nouvelle flambée de violence au Proche Orient ! »
Le premier grand titre : « L’armée israélienne a bombardé le camp palestinien de Khan Younès, à l’artillerie lourde ! Un Palestinien a été tué dans ce bombardement et deux autres ont été blessés ».
Salopards de Youpins, va, massacrer des réfugiés sans défense à coups de canons de 155 !
Sans raisons !
A coups de canons ? Vraiment ?
Que non, même l’AFP, n’a pas osé, sur cette affaire, aller aussi loin dans la mal-information :
AFP 071101 13h40 « (…) Dans la bande de Gaza, un Palestinien, Mohammad Kaskine, 23 ans, a été tué et trois autres, dont une femme enceinte, blessés lorsque des chars israéliens ont tiré contre le camp de réfugiés de Khan Younès. L'armée répliquait à des tirs de mortier, provenant du secteur, contre le bloc des colonies juives du Goush Katif. (…) »
A TV 5, ils ont surenchéri sur la désinformation, ils en ont rajouté, pour faire plus « dramatique ». A l’AFP, ce sont des tirs de chars, à TV 5, ils en ont fait un bombardement d’artillerie lourde ! A l’AFP, c’est contre un « secteur », sur TV 5, c’est le bombardement de tout le camp, à l’artillerie lourde; un vrai carnage, quoi ! C’est vrai qu’en ce qui concerne la narration des « crimes » israéliens, sur le PAF, toutes les digressions, même les « créations » originales, sont bien notées.
Et la pseudo-présentatrice, de ce pseudo-journal, a, en plus, oublié de dire qu’il s’est agi d’un tir de riposte !
Un tir de riposte israélien à un bombardement d’artillerie palestinien, puisque le mortier est une arme d’artillerie, même en France !
Pour bien moins que ça, dans une vraie chaîne de télévision, dans un système qui respecte ses téléspectateurs, toute la rédaction se serait mise à pointer à l’ANPE ! Sur la télé des Védrine, des poissons rouges et des bouquets de fleurs, il est probable que ces malveillances vaudront de l’avancement à leurs auteurs. Elles « servent l’État ! »
Pour ne pas être en reste avec les faussaires de l’AFP, et après avoir communiqué par téléphone avec l’un des officiers israéliens sur place, je peux vous donner les détails suivants :
1) Tsahal n’a déployé aucune batterie d’artillerie dans la région. Lorsque j’ai mis ce lieutenant-colonel au parfum, de ce que j’avais entendu sur la chaîne française, il n’a pu s’empêcher d’éclater de rire et de me demander « pourquoi de l’artillerie, pour bombarder Gaza ? » S’il savait, l’infortuné, que c’est quasiment de cela que les désinformateurs français l’accusent chaque jour, devant des millions de téléspectateurs, qui ont appris à le haïr, peut-être rirait-il moins ?
2) Il n’y a pas de colonies juives à Gush Katif mais des implantations.
3) Les chars de Tsahal n’ont, bien entendu, pas tiré « contre le camp de réfugiés de Gush Katif » - un tel tir aurait immanquablement fait des centaines de victimes – ni contre un secteur – on ne peut pas tirer sur un « secteur » avec le tir tendu d’un char ! – mais ils ont seulement tiré un ou deux obus, contre les bâtiments d’où partaient les obus de mortier !
Pourquoi, il ne fallait pas ? Pourquoi l’AFP et le PAF bénissent-ils le bombardement de civils israéliens, lorsqu’ils leurs décernent le titre indu de « colons » ? Y a-t-il un autre conflit, dans lequel le gouvernement français soutient l’assassinat de civils ?
C’est fadaises, tout cela ! La seule chose qui compte, c’est que Védrine a, aujourd’hui encore, poussé quelques Français de plus, honnêtes et naïfs, à haïr les juifs, pour des crimes qu’ils n’ont pas commis. Et ces impressions-là, chers lecteurs de la Ména, vont mettre encore des siècles à disparaître. Elles vont s’ajouter à d’autres rumeurs, à d’autres cabales et à d’autres haines, qui vont polluer la mentalité française, tout aussi longtemps que les déchets nucléaires, peuvent infecter la belle campagne de France !
Par Anonyme le jeudi 08 novembre 2001 - 12h58: |
Hannukah in Tunisia
Hello,
I found your informative site through a search engine, and I am writing you with a question about Hanukkah in Tunisia. A book called "The Hanukkah Anthology" by Philip Goodman mentions that in Tunisia, Rosh Hodesh Tevet, which occurs on the 6th day of Hanukkah, is known as "the New Moon of the Daughters," when girls receive gifts from their parents, and brides are remembered by the grooms." It sounds like a great tradition, but the book doesn't give any more details. Do you know anything more about these tradition? Are they still practiced in Tunisia?
I was asked this question by someone who saw my own site, kolot.com, about which has an article about some time I spent in Tunisia.
Any information you could give us would be very much appreciated.
Thank you.
Sincerely,
Maria Goldrich
maria@kolot.com
Par Anonyme le jeudi 08 novembre 2001 - 12h54: |
Bonjour,
j'ai lu votre formidable article sur les Talibans et j'aimerai savoir quel était votre avis personnel sur la situation en Afghanistan et d' après vous quels sont les solutions concrètes pour stopper ce régime ?
Merci d'avance !!
Fafobi@aol.com
Par Anonyme le jeudi 08 novembre 2001 - 12h51: |
Patricia Carli : Arrete arrete, ne me touche pas !
C'etait pas ca la suite des paroles?
"Elle a de l'argent, elle est jolie
Elle a toutes les qualites
Mon seul (ou grand?) defaut
C'est de t'aimer!"
Colette
Par Anonyme le jeudi 08 novembre 2001 - 12h48: |
L'après-Manhattan
Essayiste et rédacteur en chef de «Géostratégiques», Alexandre Del Valle est aussi l'auteur de «Guerres contre l'Europe», aux éditions des Syrtes. Evoquant la recomposition de l'échiquier mondial, il dénonce les thèses «américano-sceptiques». Pour Del Valle, rien ne justifie la barbarie.
PAR ALEXANDRE DEL VALLE
LE FIGARO
Publié le 7 novembre 2001, page 17
Depuis Manhattan, on n'a jamais autant dénoncé les liaisons dangereuses des services secrets américains avec l'internationale islamiste. Il aura fallu que la bombe du «fascisme vert» explose aux mains de son maladroit artificier états-unien pour que les Occidentaux, jusque-là prisonniers du paradigme de la guerre froide qui les empêchait d'identifier clairement le nouvel ennemi islamiste, prennent la mesure de la nouvelle menace totalitaire.
Cela dit, et bien qu'ayant été, avec le général Pierre-Marie Gallois, parmi les premiers à dénoncer la suicidaire politique pro-islamiste des Etats-Unis, nous trouvons fort indécente l'attitude médiatique générale visant à dénoncer les accointances contre nature «islaméricaines», et, par là même, à ressortir nos thèses «américanosceptiques» au moment où près de 6 000 Américains périssent sous les décombres du World Trade Center. Comme si l'on cherchait à trouver une porte de sortie aux monstres verdâtres qui ont ensanglanté Manhattan. Comme si l'instrumentalisation des thèses dénonçant le flirt passé entre la CIA et Ben Laden - et plus largement la compromission occidentale avec les islamistes - avait pour finalité d'accabler la victime de son propre sort et à trouver des circonstances atténuantes au bourreau, finalement pas si coupable que cela puisque «créé par nous».
Cette nouvelle perversion analytique doit être combattue pour deux raisons: premièrement, parce que rien ne justifie la barbarie, en l'occurrence islamiste, laquelle trouve ses racines non pas dans la politique américaine mais dans la geste guerrière bédouine puis dans une scolastique sunnite qui légitime le djihad contre les infidèles, donc dans une certaine orthodoxie islamiste hélas jamais dénoncée par les autorités religieuses. Deuxièmement, parce que se contenter d'expliquer les attentats du World Trade Center par les errements de la politique américaine ou l'«oppression» en Irak et en Palestine, participe de la capitulation psychologique devant le «fascisme vert», à qui les professionnels de l'antiaméricanisme, qui s'expriment notamment dans les colonnes tiers-mondistes du Monde diplomatique, ont déjà trouvé des excuses.
Il est donc également urgent de s'élever contre une autre perversion connexe, exploitée par les terroristes de tout poil et étudiée en psychologie sociale: le «syndrome de Stockholm». Capitulards avant même d'avoir livré bataille, les Européens sont tentés, comme les fameux otages fascinés par leurs tortionnaires, de défendre les barbares d'Allah, d'où le relais, dans nos médias, de la plus perfide rhétorique de Ben Laden rendant les Israéliens ou «l'impérialisme américano-sioniste» responsables des attentats, alors que le sort des Palestiniens ou même du régime irakien «impie» n'a jamais préoccupé le milliardaire wahhabite, ainsi que l'on rappelé Leïla Shahid et Yasser Arafat.
Il aura donc fallu ces terribles attentats du 11 septembre pour s'apercevoir que Vladimir Poutine avait raison de proposer, dès 1999, une vaste alliance inter-occidentale contre le totalitarisme islamiste (envisageant d'ailleurs un bombardement russo-américain de l'Afghanistan), pour réaliser que ceux qui ont frappé Manhattan sont de la même engeance et sont financés par les mêmes émirs wahhabites -«amis de l'Occident» - que ceux qui sèment la terreur d'Allah du Nord de la Chine, au Cachemire, en passant par le Kosovo et la Tchétchénie. Or il faudra tôt ou tard se rendre à l'évidence: tant que nous serons dépendants de cette monarchie islamiste totalitaire qui contrôle les lieux saints de l'islam et les grandes organisations islamiques internationales, qui «wahhabise» l'islam mondial à coups de pétro-dollars, des dizaines d'attentats comme celui du World Trade Center seront à prévoir. Car le double jeu de l'Arabie saoudite, véritable coupable idéologique des attentats de Manhattan, mais dont l'Occident est dépendant du pétrole «le plus rentable», comme le double jeu du Pakistan, dont on renforce le pouvoir et à qui le FMI vient d'accorder de nouveaux prêts - alors que les services secrets occidentaux devraient s'employer au plus vite à mettre son arsenal nucléaire hors d'état de nuire - est la véritable clé du problème.
Terrorisé par la violence islamiste, culpabilisé ad vitam aeternam pour les croisades, la colonisation ou le sionisme, l'Occident capitulard trouve des excuses obliques aux terroristes islamistes et a fortiori une porte de sortie au fondamentalisme wahhabite auquel ils s'abreuvent. Comme lors de chaque vague d'attentats islamistes qui ensanglantent la France (1986; 1995-1996, etc.), la dénonciation actuelle du terrorisme islamiste est une nouvelle occasion de perpétuer le lieu commun du monde islamique «majoritairement tolérant et modéré». Or, bien qu'il faille certes combattre les amalgames, le monde islamique en général - et pas seulement les talibans et les Wahhabites mais jusqu'aux tribunaux égyptiens et aux rues de Djakarta ou Lahore - est de plus en plus réceptif aux thèses xénophobes antioccidentales, antichrétiennes et antijuives (et pas seulement «antisionistes»).
Portée par un esprit revanchard post-colonial et une funeste explosion démographique alliée à la misère des masses maintenues dans l'obscurantisme religieux, cette nouvelle forme spécifiquement islamiste de racisme, ce ressentiment antioccidental et post-colonial qui constitue le levain du totalitarisme islamiste, ont comme meilleur allié la haine de soi occidentale, entretenue par les idéologies subversives et autodestructrices d'extrême gauche, celles-là mêmes qui ont, avec Sartre et Foucault, délégitimé l'idée de nation et de sécurité, soumises à la reductio ad Hitlerum. Il faut oser le dire, c'est désormais au nom du «droit à la différence», de l'«antiracisme» tiers-mondiste et par la voie des flux migratoires -rendus incontrôlables du fait de l'intériorisation des postulats antinationaux inculqués dans nos universités- que les nouveaux visages de l'«antisémitisme» et du totalitarisme -vert, celui-là- réapparaissent jusque dans nos «banlieues de l'islam» de France.
Car c'est bien aux côtés du Mrap que des musulmans français ont crié «Mort aux juifs!» place de la République au début de l'intifada Al Aqsa. Et c'est au nom de l'antisionisme que des «victimes de l'exclusion» ont attaqué une soixantaine de synagogues dans les banlieues... Là, des islamistes aussi arrogants qu'impunis, surfant sur la mauvaise conscience occidentale et instrumentalisant les valeurs libéral-démocratiques des sociétés ouvertes sans limites, prêchent la haine de l'Occident aux jeunes musulmans issus de l'immigration et même aux «Gaulois» acculturés. C'est ainsi que des centaines de Khaled Kelkal ou de Safir Bghioua, sont fanatisés - après être allés s'entraîner chez nos protégés Bosno-musulmans et Albanais de l'UCK ou ex-protégés d'Afghanistan - par des islamistes d'autant plus intouchables qu'ils sont financés et soutenus par les Etats islamiques «amis de l'Occident».
L'avertissement de Karl Popper, qui avait alerté les «sociétés ouvertes» du danger fatal consistant à ouvrir les portes de la démocratie à ses ennemis, est plus actuel que jamais. L'enjeu est pourtant évident: nous sommes en face d'un «nouveau Munich islamiste» . Car la guerre contre le totalitarisme vert ne fait que commencer. Elle a fait des milliers de morts en Amérique, mais, et on ne le répète pas assez, elle en a fait des centaines de milliers dans le monde islamique, en Algérie, au Soudan, en Indonésie ou en Iran. Il s'agit d'une guerre civilisationnelle larvée dont les premières victimes sont les musulmans modérés, accusés d'être des «cinquièmes colonnes» occidentales.
On l'aura compris, la lutte contre le totalitarisme islamiste ne devra pas se borner à bombarder l'Afghanistan. Elle devra passer par deux axes: le premier, intérieur, consistera à cesser d'accorder la liberté d'action et d'expression aux ennemis de la liberté, donc entamer une lutte impitoyable contre les prêcheurs de la haine islamiste qui escomptent fanatiser les fils de l'immigration musulmane, que nos dirigeants irresponsables ont hélas donnés en pâture à une majorité d'organisations fondamentalistes comme les Frères musulmans, le bureau de la Ligue islamique mondiale (Arabie saoudite) ou le Tabligh. Le second, géopolitique, devra passer par une vaste remise en question de nos cadres de pensée stratégiques hérités de la guerre froide, donc perpétuant les désuètes oppositions Est-Ouest, l'Est incluant ici le monde chinois.
Face à l'émergence de nouvelles menaces transnationales civilisationnelles qui bouleversent les schémas classiques de la géopolitique des Etats et les lois des relations internationales, une vaste recomposition du monde de l'après-guerre froide est nécessaire: alliance sans failles avec la Russie, puis avec l'Inde, aux prises avec des rébellions islamistes armées liées à l'épicentre afghano-wahhabite, afin de neutraliser le foyer islamiste et atomique pakistanais et enrayer la «talibanisation» de l'Asie centrale; rapprochement avec la Chine, quitte à mettre de côté la question de Taïwan, ceci afin de casser une «alliance antihégémonique islamo-confucéenne» (Huntington) - onséquence du «neo-containment» et de la stratégie de sécurité nationale américaine désignant la Chine et la Corée comme les nouveaux ennemis contre lesquels est en réalité tourné le projet de défense antimissile- que l'Occident ne peut plus se permettre d'entretenir par ses immixtions «arrogantes».
Car la Chine et la Corée du Nord fournissent l'armement stratégique des Etats islamistes nucléarisés du présent et du futur...; et soutien sans faille envers les premières victimes de la barbarie islamiste, de l'Algérie à la Tunisie, pays que l'on traîne trop souvent dans la boue au motif qu'ils «persécutent» les islamistes, comme si l'accueil chez nous de tous leurs opposants islamistes allait les aider à construire les démocraties musulmanes de demain...
Par Anonyme le jeudi 08 novembre 2001 - 12h44: |
Bonjour à tous,
Information importante: le cours consacré à la parachah de la semaine, donné par notre amie Judith Buchinger, et qui avait lieu jusqu'ici chaque jeudi, 19h30, en notre local de la rue Martel, change de cadre: il aura lieu désormais, b"H, et dès ce soir, au domicile de l'un des étudiants, dans le 7ème arrondissement. Qu'il en soit vivement remercié. Le jour et l'horaire, jeudi 19h30, sont maintenus. Que toute personne intéressée par ce cours fort agréable et convivial veuille prendre contact avec nous, pour en connaître l'adresse précise, en nous envoyant un courriel ou en nous appelant au 01 48 07 16 35.
Nous souhaitons une grande hatzla'ha (réussite) à Judith et à ses amis pour cette nouvelle formule, et vous adressons, chers amis, nos meilleures pensées.
Pour Autour du Livre,
Jean-David Hamou.
autourdulivre@free.fr
Par Anonyme le jeudi 08 novembre 2001 - 12h35: |
Seulement un quart des Français croient à une paix durable au Proche-Orient, selon un sondage
PARIS (AP) -- Seulement un quart des Français (25 pensent qu'il y aura un jour une paix durable entre Israël et les Palestiniens, contre 63% qui n'y croient pas du tout, selon un sondage Sofres publié cette semaine par ''L'Express''.
Les trois quarts des personnes interrogées (75 sur l'échec des négociations de paix 2000-2001 blâment Israéliens et Palestiniens. Huit pour cent rejettent la faute sur les premiers et le même pourcentage accuse les seconds.
Plus de huit Français sur dix (83 considèrent qu'il devrait y avoir dans cette région un Etat israélien et un Etat palestinien. Trois pour cent seulement estiment qu'il ne devrait y avoir que le premier, et 11% uniquement le second.
Quarante-quatre pour cent des personnes interrogées éprouvent de la ''sympathie'' pour l'Etat hébreu. C'est moins que pour l'Egypte (64 et le Maroc (64, mais plus que la Jordanie (36, le Liban (34, la Palestine (32 et la Syrie (21.
Ce sondage, réalisé pour le compte de l'ambassade d'Israël à Paris, a été effectué du 10 au 14 septembre derniers auprès d'un échantillon national représentatif de 1.000 personnes.
Par Victoria (Victoria) le mercredi 07 novembre 2001 - 12h10: |
Décidément on n’arrête pas le progrès. En plus de Ronny Braumann (MSF) figure emblématique du juif antisémite, voici que nous assistons à l’entrée en scène dans les médias français du duo Attias (Jean Christophe) / Benbassa (Esther). Interviewés mardi 6 nov. sur « Paris première » dans l’émission « Rive droite rive gauche », ils ont aligné des propos ulcérants ! Quelques exemples :
- aujourd’hui il n’y aurait plus d’antisémitisme ! (Cf. Durban et le venin diffusé quotidiennement par les médias français…)
- dans les pays arabes il n’y a jamais eu d’antisémitisme, mais de l’antijudaïsme (Ah bon ! c’était pas grave !)
- E. Benbassa arriverait, elle, à prendre de la distance vis à vis de la Shoah parce qu’elle est sépharade (de Salonique ! c.a d de la plus grande ville juive d’Europe complètement rayée : environ 600 000 personnes déportées ! ! ! !)
- On devrait se détacher de la Shoah parce qu’il paraît qu’on ne se définit qu’en fonction de ça et qu’il faudrait vivre et s’amuser. ( ? ? ? comme si on l’avait attendue et comme si la situation en Israël et dans le monde pouvait nous en donner tellement envie en c emoment !)
Bref, ils en ont aligné tout un chapelet comme ça. Qu’est-ce que ça doit être dans leur bouquin (« les juifs ont-ils un avenir »!
Apparemment ils essaient de ramasser les miettes du public attiré par le bouquin américain sur la « Shoah business » ; c’est dégoûtant !
Visiblement ce sont eux qui ont un problème avec leur judéïté et ils auraient mieux fait d’aller le soigner chez un psy au lieu de donner du grain à moudre aux antisémites ! Petit détail : en cherchant leurs noms sur Google.com on découvre que leur livre précédent s’intitulait… « La haine de soi » ! ! !
AU SECOURS METULA, ON VA EXPLOSER en France !
Heureusement qu’on a BHL et Finkelkraut pour nous mettre un peu de baume au cœur de temps en temps, mais ce sont bien les seuls.
Par Halkeloued (Halkeloued) le mercredi 07 novembre 2001 - 12h44: |
Martine,
J'ai dit un mot à mon épouse, qui se souvient fort bien, elle-aussi, de la rue Faidherbe.
Elle croit se rappeler que le proprio s'appelait Lussato. Est-ce exact? le savais-tu toi aussi?
J'ai également connu ce garçon.
S'il lisait ce message, comme j'aimerais qu'il intervienne.
Amicalement.
Henri Fitoussi
Par Anonyme le mercredi 07 novembre 2001 - 12h31: |
Bonjour,
A la suite des evenement survenus ces derniers mois en israel nous organisons une journee de soutien a jerusalem le dimanche 16 decembre au palais des congres de jerusalem en presence du maire et du premier ministre nous allumerons ensemble la huitieme bougie de hanouca nous affretons un avion qui partira le matin et retour dans la nuit nous avons besoin de la presence de toute notre comunaute merci de bien vouloir prendre contact pour plus d'information au 0097254242872
spartaltd@yahoo.com
Par Anonyme le mercredi 07 novembre 2001 - 12h58: |
• LE MONDE | 07.11.01 | 12h28
Tunis, la belle au bey dormant
Très loin des stations touristiques, la Tunisie redécouvre sa période husseïnide (1705-1957). Visite guidée, du Bardo à La Marsa, avec l'émir Fayçal-Bey, chroniqueur des eunuques et des joueurs de malouf, et surtout de "la dernière odalisque".
TUNIS de notre envoyé spécial
Après quarante années de silence voulues par Bourguiba, tombeur de la dynastie husseïnide en 1957, la beymanie se libère et s'étale. Des médias se régalent à ressusciter les cérémonies beylicales avec ministre de la Plume, caftans d'honneur et grand trésorier, surtout si l'auteur des articles est Son Altesse royale Mokhtar-Bey, docteur en science politique et ancien professeur à Montpellier. Une avocate féministe en vue, Leïla Ben Salem, recueille religieusement le témoignage du nonagénaire prince Chadly, fils de Lamine, le premier et dernier "roi de Tunisie" (1943-1957) - car ce titre "plus moderne", en fait, surtout plus occidental, avait été in extremis substitué à celui de bey ; Lamine Ier qui fut le "signataire très consentant" des lois bourguibiennes supprimant polygamie et répudiation : "Il était monogame et fidèle, alors qu'un de ses prédécesseurs, rendez-vous compte, égala Salomon en ayant 1 200 concubines..." Les beys et les belles.
La Tunisie se change les idées. Le pays avait envie de toucher à ce fruit défendu qu'étaient devenus les règnes enfuis de souverains flous. Réalistement, il jauge aussi ce qui, dans la beylogie, pourra séduire une nouvelle couche de touristes rassis, aisés et cultivés, fatigués des parasols, gargoulettes et dromadaires. Déjà les cartes postales coloniales rééditées font florès.
Un titi tunisois remarque que le patronyme du premier bey husseïnide, Ben Ali, fut le même que celui du président actuel, "mais lui a un prénom plus chouette qu'Husseïn : Zine-el-Abidine" - "Beauté des dévots". En effet ! Les autorités restaurent palais et nécropoles, et préparent à Kassar-Saïd, "le château heureux", un musée du patrimoine beylical. Les quelque cinquante émirs tunisiens n'ont pas récupéré leurs biens, mais le nom familial de "Bey" que l'usage oriental jadis leur attribua et que Bourguiba avait proscrit, leur a été rendu. On se repasse en famille l'émission télévisée de Frédéric Mitterrand, Tunis chante et danse, prémonitoire dès 1992. "Tout ce qui est Bey est devenu tendance" (un voyagiste tunisois).
Les professeurs d'histoire ont reçu le droit de reprendre en compte les deux siècles et demi (1705-1957) d'une lignée de dix-neuf "émirs d'Afrique" ou "possesseurs du royaume de Tunis", vrais accoucheurs de la nation tunisienne et inventeurs, il y a cent cinquante ans, du drapeau national depuis lors inchangé ; dix-neuf monarques issus d'un Grec islamisé et d'une captive corse : "L'île de Beauté a donc donné deux empereurs à la France et une dynastie à la Tunisie..."
AU LYCÉE FLAUBERT
C'est l'émir Fayçal-Bey qui parle et fait rire ainsi son auditoire serré, que ce soit le Tout-Tunis accouru à Dar Hamouda-Pacha, exquis palais récemment ouvert au public dans la Médina, au lycée Flaubert ou dans une librairie de quartier qui, les jours précédents, a écoulé six cents exemplaires de sa Dernière Odalisque. "Du jamais-vu en Tunisie !", s'enthousiasme le libraire. En France, le téléphone arabe a réussi cette année à faire vendre plus de 15 000 unités de ce "roman" qui est en fait une tranche d'histoire intime sur le dernier demi-siècle du régime beylical, vu par une odalisque caucasienne, belle-fille de Lamine Ier et grand-mère de l'auteur. La Turquie, l'Espagne, l'Allemagne, le Liban ont acquis les droits de traduction sur un livre qui ne montre pas toujours Bourguiba sous son meilleur jour - par exemple quand, en pyjama, peu après le renversement de la royauté, il reçoit l'odalisque venue réclamer la libération de son mari et, encoléré par cette demande, fracasse contre un mur sa radio en galalithe...
Des odalisques, c'est-à-dire des concubines serves dans la Tunisie du protectorat français (1881-1956) ? "Mais, oui, cher monsieur, la France laïque et égalitaire s'était engagée à respecter nos mœurs orientales et elle tint parole ! Notez aussi que l'esclavage avait été aboli dès 1846 du fait du bey Ahmed, par ailleurs premier souverain musulman régnant à visiter officiellement un Etat non musulman, en l'occurrence la France. Ma grand-mère, l'odalisque Safiyé, "la pure" en arabe, avait, c'est vrai, été toute petite, vers 1920, un cadeau de Stamboul à la famille beylicale. Il ne pouvait être question de refuser un don venant de chez le pape des mahométans, au nom duquel la prière fut dite dans toutes les mosquées de Tunisie, sous le protectorat français, jusqu'au renversement du califat par Atatürk en 1924...", raconte Fayçal-Bey en nous guidant à travers le dédale de l'ancien harem beylical du Bardo.
UN SAINT-SIMON ARABE
"Ce n'est finalement pas si paradoxal que ça, toutes ces statues d'Afrique romaine, si voluptueuses, à présent montrées entre les colonnettes et les claustras de ce gynécée où l'érotisme arabe se donna libre cours durant deux siècles", poursuit notre chroniqueur princier, tout en citant Ibn Abil-Diyaf, le Saint-Simon du XIXe siècle beylical. Aujourd'hui bégueule, du moins vis-à-vis de l'Occident, dès qu'il s'agit de son Eros, l'Islam ne fut pas toujours ainsi, surtout à Tunis, où Ahmed El Tifachi (1184-1253), auteur des Délices des cœurs, est, depuis tant de siècles, le chantre très cru - et très lu - de la bisexualité islamo-méditerranéenne. "Tifachi n'a été traduit en français qu'en 1971 par le Syrien René Khawam...", lance Fayçal, un peu comme une pique, en nous amenant devant la façade du palais thermal des beys, à Hammam-Lif : "Là, où aima en particulier séjourner Mohamed-Sadik, le prince qui accepta la protection de la France en 1881, mais qui, vingt ans avant, avait donné leur première Constitution aux Tunisiens, sans parler de l'eau de la capitale, des réverbères au gaz, du télégraphe, du train et du toujours fameux collège Sadiki. A Hammam-Lif, Mohamed-Sadik pouvait tranquillement se détendre, batifoler au milieu de ses allouche, ses "agneaux", ses mignons, si vous préférez. Ils étaient recrutés au cap Bon, où leurs rondeurs passaient pour plus blanches et plus charnues qu'ailleurs..." Le bey et les gays.
A La Marsa, où nous conduit ensuite l'arrière-petit-fils de Lamine Ier, on peut voir, au milieu d'un parc public touffu, Kasr-Saada, le "château du bonheur", où la municipalité locale va s'installer, tandis que le palais du Saf-Saf, toujours habité par des descendants d'Ahmed II (1929-1942), attend qu'on le répare, projetant encore au-dessus d'une rue sa "passerelle des beyas", construite vers 1930 et qui permettait aux dames de la cour de se rendre incognito d'une aile de l'édifice à l'autre. Une rare pièce d'architecture Art déco islamique, à sauver, avec ses moucharabiehs déglingués.
Le palais maritime de Carthage, lui, est tiré d'affaire, abritant maintenant - après avoir été, sous Bourguiba, désacralisé en discothèque à l'enseigne du Bey's Palladium... — l'Académie tunisienne des arts et lettres, animée par Abdelouahab Bouhdiba, le plus coté des socio-sexologues arabes, auteur entre autres, en français, de La Sexualité en Islam, véritable pendant scientifique aux récits littéraires corsés de Tifachi. C'est, dans cette simple et noble bâtisse blanc crème et bleu turquoise que Fayçal naquit en 1955 ; que Lamine reçut, deux ans plus tard, la nouvelle de sa déposition. Mektoub ! C'était écrit, ainsi que disent canoniquement les musulmans. La porte est toujours là où le roi déchu, avant de partir et d'aller finir ses jours, en 1962, dans un deux-pièces tunisois de la rue Fénelon, traça de son index les lettres arabes de la profession de foi mahométane : La Allah illa Allah ! "Il n'est de dieu que Dieu". Tout le reste est vanité !
Certes, mais il était écrit aussi - la preuve ! - que la République tunisienne, pour notre distraction sinon notre édification, laisserait revivre un jour, en leurs murs chaulés ou zelligés, beys et beyas, vizirs et muftis, eunuques et nains, et bien sûr " la dernière odalisque", qui tous vécurent là, à notre insu, jusqu'en 1957, sur fond de malouf, ultime écho musical de l'Andalousie islamique. Tunis, la cité au jasmin nocturne, a réveillé ses beys dormants.
Jean-Pierre Péroncel-Hugoz
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De La Mohamedia à Oudna
En allant voir à La Mohamedia, près de Tunis, les ruines colossales mais décevantes du "Versailles nord-africain", que le bey Ahmed Ier (1837-1855) y édifia, nous tombons sur les bien plus gratifiants vestiges, en cours de réhabilitation, de l'antique Adyn phénicienne, l'Uthina romaine, d'où son toponyme arabe d'Oudna. Dominant un mini-Vaucluse tunisien, strié d'oliviers et de cyprès, les blocs ocre d'Uthina, qui reprennent peu à peu leurs formes de capitole, amphithéâtre, thermes, citernes, temple, basilique ou maisons, font un effet bœuf dans cette région peu visitée de la Tunisie.
Que dira-t-on quand on pourra y contempler en mosaïque orphée charmant les animaux, europe enlevée par jupiter-taureau ou La Chasse à la lionne ! Refondée par Auguste, en même temps que Thuburbo Minus (Tebourba) et Maxula (Radès), "Uthina compléta le cercle des communes romaines autour de Carthage" (Ch. Hugoniot, Rome en Afrique, Flammarion). La Tunisie, qui n'en manquait pas, compte donc un site antique de plus, reconnu dès 1845 mais un peu oublié par la suite et qui maintenant se prépare à recevoir de nouveaux visiteurs.
• ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 08.11.01
Par Halkeloued (Halkeloued) le mercredi 07 novembre 2001 - 12h06: |
Réponse à Martine.
TU me dis TU et je TE dis TU avec plaisir.
Oui, je connaissais le nom de l'interprète de cette chanson, je voulais simplement créer un électrochoc.
J'y ai réussi, avec toi, continuons.
Te souviens-tu que les filles qui dansaient au rythme de cette chanson, entonnaient les 2 "NON" de la fin à tue-tête?
J'ai connu et fréquenté les boums de la rue Faidherbe, que c'est loin déjà.
Et celle-la?
Buvons, buvons, buvons
Le sirop Typhon, Typhon, Typhon,
L'universelle panacée, eh! eh!
A la cuillère ou bien dans un verre,
Rien ne pourra nous résister.
Franchement Martine, n'est-ce pas plus amusant que de parler politique?
A toi maintenant pour les paroles d'autres chansons.
Amicalement.
Henri Fitoussi
Par pierre chalom guez (Pierrot) le mercredi 07 novembre 2001 - 12h04: |
Bonjour les tunes
Par Anonyme le mercredi 07 novembre 2001 - 12h58: |
Oui la cassette (avec le magazine) "Contre Champ" n°2 a paru. Je l'ai trouvee dans un kiosque a journaux a Paris. On ne la trouvait pas au début. il semble qu'elle soit arrivée avec un peu de retard.
Par Anonyme le mercredi 07 novembre 2001 - 12h48: |
Israël, le 02 novembre 2001
Madame, Monsieur,
Icube, le 26ème Salon Israélien de l'Immobilier et de l'Investissement se tiendra le samedi 10 (motse shabbat) à partir de 19h30 et le dimanche 11 novembre 2001, dès 13h00 à la Maison France ? Israël, Salon Rothschild, 64
avenue Marceau 75008 Paris (M° Etoile).
Devenu au fil des années la plateforme professionnelle et la référence incontournable de l'immobilier et de l'investissement en Israël, le prochain salon Icube, en raison de la situation géo - politique actuelle, s'inscrit dans une volonté de pérennité.
Les promoteurs israéliens, aux côtés des organisateurs, continuent, par leur présence, à témoigner du développement constant de l'Etat juif dans le domaine du bâtiment et viennent, à l'occasion de ce 26ème salon, à la rencontre de la communauté juive de France qui a toujours été présente et concernée.
Vous serez nombreux à venir nous rendre visite les 10 (motse shabbat) et 11 novembre 2001 à la Maison France ?
Israël parce que :
INVESTIR C'EST AGIR.
Shalom et leitraot
L'équipe Icube
melalouf@entenial.com
Par Anonyme le mercredi 07 novembre 2001 - 12h45: |
Les frustrations des Arabes nourrissent la haine contre les Etats-Unis
AMMAN, 5 nov (AFP) - La pauvreté, des régimes autocratiques et les libertés refoulées sont autant d'ingrédients qui alimentent l'extrémisme
dans le monde arabe et la haine à l'égard des Etats-Unis, estiment les analystes politiques.
Les attaques du 11 septembre à New York et Washington, puis la lutte anti-terroriste menée par les Etats-Unis ont cristallisé les sentiments
latents de défiance et de haine à l'égard de l'Amérique.
D'emblée, les Etats-Unis, pourtant victimes de ces attaques terroristes, ont été montrés du doigt par une partie de l'opinion arabe et de certains dirigeants arabes, la position américaine dans le conflit israélo-palestinien servant en outre de prétexte idéal pour les organisations extrémistes.
"C'est trop facile d'accuser les Etats-Unis, alors que la majorité des pays arabes sont des terrains fertiles pour cultiver le terrorisme",
déclare à l'AFP un analyste arabe.
"La frustration au quotidien que subissent les Arabes et l'incapacité des dirigeants de leur garantir un traitement équitable et une vie décente, tout cela contribue à transformer des pays arabes en véritables usines à terroristes", indique cet analyste qui a requis l'anonymat.
"Les sentiments antagonistes et de haine envers l'Occident sont nés de la pauvreté, du manque de dignité et de sécurité familiale, dans des pays où
des couches de la population sont au bord du désespoir, alors qu'un clique dirigeante jouit de tous les avantages", ajoute l'analyste.
Selon lui, "l'autocritique est contraire aux normes dans le monde arabe, où les dirigeants ont toujours trouvé moyen de blâmer un ennemi, réel ou
fictif, pour tous les maux de leurs pays, alors que ses dirigeants portent la plus grande part de responsabilité dans ces maux".
Pour un autre analyste politique, les dictatures arabes ont certes "empêché le développement sain de leurs pays", mais, dit-il, "l'occident et en particulier les Etats-Unis ont certainement leur part de responsabilité dans la désillusion du monde arabe".
"Plusieurs dictatures arabes continuent d'exister et de fleurir en raison du soutien des Etats-Unis, qui préfèrent voir leurs alliés aux commandes d'un pays au détriment du bien être des populations", déclare-t-il sous couvert de l'anonymat.
Ainsi, pour garantir leurs intérêts pétroliers dans cette partie du monde, les Etats-Unis ont "volontairement occulté les abus de dirigeants arabes et se sont gardés d'encourager l'établissement de démocraties, de crainte de voir des islamistes aux commandes de ces pays, qui seront loin d'être des alliés de Washington", dit-il.
"Les mouvements islamiques qui effrayent aujourd'hui de nombreux dirigeants arabes, ont été à la base encouragés par ces régimes, pour
lutter contre le nationalisme qui, dans les années cinquante, mettait en péril leur pérennité", relève un politicien arabe.
Encouragés par les Etats-Unis, ces régimes ont également soutenu des mouvement islamiques hors du monde arabe, que ce soit en Afghanistan ou en
Iran, pour lutter contre le communisme, rappelle-t-il.
Selon lui, "le phénomène des opérations suicides a été créé par l'Imam Khomeiny en Iran, où les soldats portaient une clef autour du cou qui,
leur avait-il été dit, le permettra d'entrer au paradis s'ils mourraient au front".
Malgré plusieurs fatwa (décrets de l'islam) d'Al Azhar, la plus haute autorité sunnite, condamnant les opérations suicides, celles-ci n'ont fait
que fleurir, de pair avec le désespoir.
Pour lutter contre l'occupant israélien, le Hezbollah libanais pro-iranien, a eu recours à ces pratiques, tout comme les organisations
islamiques palestiniennes.
"Aujourd'hui Oussama ben Laden a su rallier ce désespoir à son profit et n'a pas de problème pour recruter des jeunes prêts à mourir puisque le
paradis leur est garanti", ajoute-t-il.
Par Anonyme le mercredi 07 novembre 2001 - 12h38: |
Bravo Henri Fitoussi,
Pour le delire du "concert des auditeurs". Tu m'as fait retourner danser le slow rue Faidherbe. Et au cas ou tu l'aurais oublie, le nom de cette chanteuse dont tu as publie les paroles est Patricia Carli.
Merci
Martine
Par Mena (Mena) le mercredi 07 novembre 2001 - 12h32: |
Évitez le stade de France ! (info # 010611)
Par Stéphane Juffa © Metula News Agency
… des fois qu’ils voudraient refaire le coup du Vélodrome d’hiver.
Je ne plaisante pas. Le danger, pour les minorités, pour toutes les minorités, devient inquiétant, lorsque la majorité se permet d’oublier de les respecter. La menace devient tangible, lorsque les intellectuels d’une nation, s’octroient le privilège, de négliger les règles élémentaires de l’information et que l’environnement collectif, n’éprouve plus le besoin fondamental de réagir à cette barbarie. Dans ces conditions, ni les institutions républicaines, pas plus que l’appareil judiciaire, ne garantissent plus la sécurité physique des minorités concernées.
Tristes temps, lorsque, dans un espace intellectuel donné, la simple énonciation étayée de la vérité, passe pour le plus radical des extrémismes. Tristes temps, encore, lorsque, inversement, les extrémismes les plus radicaux se voient légitimer.
Pour ma part, j’ai toujours rejeté toute comparaison des événements contemporains avec la terreur nationale socialiste. Je l’ai rejeté, tout simplement parce qu’elle n’avait pas lieu d’être, parce qu’elle était emphatique et, partant, impropre à expliquer les événements de notre temps. Plus encore, j’ai rejeté tout début de lien, entre le différend qui nous oppose aux Arabes et les souffrances infligées aux israélites, durant la seconde guerre mondiale. Et ce n’est pas l’évidence historique, de la participation d’une division musulmane, aux côtés des troupes de l’Axe, sous l’impulsion du Mufti palestinien de Jérusalem, qui pourrait témoigner d’une quelconque justification, qui permettrait, à son tour, d’assimiler la rhétorique arabe, à celle des Allemands d’alors. Non, il n’existe pas d’interaction prépondérante, entre la cause palestinienne et l’épopée nazie, pas plus qu’il n’existe de sur-droit, dont pourraient se prévaloir les juifs et les Israéliens, dans le cas ou leur propre revendication nationale, n’était pas justifiable par la légitimité ! Ne mélangeons pas les causalités !
Le seul élément qui justifie, désormais, d’invoquer à juste titre les méthodes nationales socialistes, que dis-je, qui exige des intellectuels, qu’ils fassent sonner tous les tocsins, c’est l’état de dénaturation systématique de la relation de l’actualité, lorsque appliquée à Israël ! Cette dénaturation, informationnelle à l’origine, se diffuse déjà dans les autres domaines de la société française et belge. Elle est d’autant moins circonscriptible, qu’elle veut mettre en évidence, les tares ataviques des Israéliens, en les représentant tels des êtres fondamentalement lâches et agressifs. Lors, c’est justement cette ré-affirmation médiatique, rabâchée et justifiée par les médias nationaux, qui est en train de réveiller les sentiments antijuifs latents, qui hier sommeillaient encore, dans les contrées francophones d’Europe. Tout à coup, le téléspectateur se rend compte, que la haine du juif est justifiée et qu’elle repose, non plus comme on a voulu la lui expliquer durant deux générations, sur une propagande fallacieuse mais bien, sur des supposés traits caractériels sataniques indélébiles, que les médias appliquent maintenant à Israël !
C’est grande folie !
La légèreté avec laquelle le Quai d’Orsay régit cette propagande raciste, ses mobiles, la diligence avec laquelle son agence de presse fabrique la désinformation et l’application aveugle, par laquelle le PAF et les autres médias écrits et parlés, diffusent cette haine artificielle sont grande folie !
Et le mutisme des intellectuels, mis à parts quelques-uns uns, comme BHL et Yvan Levaï, est certainement coupable et assurément comparable au formidable élan pro-allemand, qui a suivi les premières années de l’Occupation et dans lequel ont sombré d’immenses plumes de la littérature française, Charles-Ferdinand Céline, notamment.
Ne soyons pas dupes, la lutte des mondes, dans laquelle s’affrontent Israéliens et Arabes, ne constitue que le prétexte à cette nouvelle vague de haine ethnique. Cette épidémie est synchrone des intérêts matériels, que l’industrie et le monde politique français, trouvent dans la « coopération » avec les États musulmans et qui tiennent le rôle du vent, dans un incendie de pinède.
On a bien affaire à une péripétie franco-française de l’histoire du racisme, dans laquelle, les crimes imaginaires reprochés aux Israéliens, ne font fonction que de support logistique. Au travers du génocide fabuleux, que le présentateur du journal télévisé impute au soldat israélien, c’est tout un système de rancœurs et de jalousies internes à la France, qui trouve ici son compte. C’est l’occasion qui se présente, de se « venger » du succès de Michel Drucker, de Nahmias, de BHL, d’Elkabach, d’Amar, de Strauss-Kahn, de Fabius, de Rika Zaraï, d’Anconina, d’Arditi et de centaines d’autres juifs, qui se trouvent tout à coup assimilés au pire des crimes, celui de l’assassinat d’un autre peuple. Le juif français est à nouveau collé au mur, incapable de se défendre, re-carré dans une posture de sous-citoyen, limité dans ses ambitions, obligé de baisser la tête, puisque personne ne peut se défendre d’un crime qui n’existe pas !
C’est grande folie, disais-je !
Hier, le téléspectateur lambda, ni plus xénophobe qu’un autre, ni moins raciste que ses voisins, a vu et entendu sur TV 5, sur la RTBF et sur bien d’autres chaînes, ce dont je traite plus haut. On y présentait le soldat youpin, au faîte de sa fourberie, qui évacuait la ville palestinienne « ré-occupée » de Kalkilyia, pour se hâter de martyriser ses victimes palestiniennes ailleurs, à Rafah ! Tsahal y faisait une « incursion » et y blessait deux Palestiniens.
Incursion, ré-occuper, policier palestinien, activiste, militant, organisation radicale islamiste, génocide, assassinats ciblés, colonies, colons, tel sont les mots codés du nouveau vocabulaire, inventé par les propagateurs de cette vague de racisme contemporaine. Tous ces mots, sont utilisés à contre-sens. Non seulement, ils ne déterminent pas ce pourquoi la langue française les a créés, mais plus encore, leur usage n’est dicté que par le souci de désinformer ! D’altérer la relation de la réalité. De dissimuler la réalité aux Français et aux Belges. D’empêcher le récipiendaire de l’information de la comprendre. De placer un bouchon sémantique sur le chemin de sa compréhension logique. De forcer le récipiendaire, non-impliqué dans le problème proche-oriental, à condamner à priori celui qui n’est pas condamnable et à justifier les actions de celui qui n’est pas excusable.
A en croire ces médias, les Israéliens ont procédé à une incursion à Rafah (où c’est Rafah ?). Qu’est-ce qu’une « incursion », terme utilisé désormais quotidiennement par l’AFP et les médias français ? Quelqu’un connaît-il une seule armée au monde, qui déciderait de procéder à une « incursion » ? Drôle de terme militaire, si on peut dire !
TV 5, à grand renfort d’images, nous montre des tanks juifs, occupés à détruire « deux foyers de familles palestiniennes ». Salauds de soldats. Salauds de youpins ! Utiliser des tanks, juste pour démolir des maisons de paisibles citoyens arabes. Salauds de youpins !
A propos des raisons possibles, qu’aurait l’armée d’Israël, de pénétrer dans Rafah, de détruire ces deux maisons, aucune information ! Rien ! Le désinformateur entend faire gober au blaireau, entre fromage et dessert, que Tsahal est la seule armée du monde, à prendre du plaisir à tuer des Arabes et à détruire leurs propriétés. C’est là qu’il faut parler de racisme : Ce n’est pas que le PAF critique les thèses d’Israël, c’est qu’il présente son armée, comme un organisme sans thèse sécuritaire ni politique. Une armée, qui fait le mal sans raison, par plaisir, par atavisme. Parce qu’ils sont juifs et que les juifs ont toujours rêvé de faire du mal aux autres peuples. Parce que les juifs sont les ennemis du monde !
J’exagère ?
Non !
Pourquoi, sans cela, cacher à toute l’opinion française et francophone, systématiquement, les raisons de l’ « incursion » et ne pas la laisser juge, des mobiles de cette opération ?
Combien de Français, savent-ils, que les Palestiniens attaquent les Israéliens toutes les nuits, depuis un an, à Rafah, sans la moindre provocation ?
Combien de Français savent-ils, que les Palestiniens creusent des tunnels, à Rafah, dans le seul but de s’adonner à la contrebande d’armes, de munitions mais aussi de devises et même d’esclaves ?
Une chaîne française a-t-elle, ne serait-ce qu’une seule fois, mentionné ces faits (qui ont été relatés par le détail, le 11 juillet dernier, dans notre article « Coke en stock ? Tintin à Rafah (info # 110702) », en ajoutant qu’ils constituent le carburant de la violence, qu’ils se situent en marge de tous les accords signés par M. Yasser Arafat et qui prévoient que le contrôle du franchissement de la frontière égyptienne, fait partie des attributions de l’armée israélienne ? Que la contrebande y est strictement et nommément interdite ? Qu’elle participe à hypothéquer toutes les chances d’un cessez-le-feu, dans la région ?
Combien de Français, savent-ils, que ces maisons n’étaient, en aucun cas des « foyers » mais bien, qu’elles dissimulaient l’entrée des galeries de contrebande ? Que, de ces maisons, les « gendarmes » d’Arafat tiraient sans discontinuer sur le poste israélien, légalement constitué, de « Termite » et que cela constitue la seconde raison, pour laquelle, il fallait objectivement détruire ces maisons !
Combien de Français, savent-ils, pour en finir avec cet épisode de la désinformation, qu’avant-hier, le tunnel qui aboutissait dans l’une des deux maisons s’était effondré et que trois contrebandiers palestiniens, sont tenus pour morts, des suites de cet éboulement ?
En France, la désinformation « grande écoute », est soutenue, en sous-main, par des institutions de « désinformation intellectuelle ». Cette désinformation-là est constituée par une pléiade de soi-disant instituts de recherches stratégiques, ainsi que par des associations de « politologues », qui voudraient faire croire, qu’elles dispensent des renseignements réservés, d’ordre stratégique. En faits d’analyses stratégiques et de politologues, le rôle de ces groupements, se limite à procurer une couverture intellectuelle aux acteurs de premier plan de la désinformation raciste. C’est à ces sources, que viennent se réconforter les fonctionnaires du PAF, les éditorialistes du PIF et les journalistes radio, du POF ! Comme si, le fait d’être à plusieurs sur la même supercherie, pouvait diviser les responsabilités des tricheurs…
L’une des organisations dont je parle, s’appelle « Med Intelligence », rien que ça ! Elle est dirigée par un certain Jean-Michel Staebler. Leur site Internet est régulièrement visité par pas mal de journalistes de TF1, du service public et des journaux de l’establishment. Voici son adresse : http://medintelligence.free.fr/
En fait d’intelligence et de politologues, voilà ce qu’on y trouve:
Tout au début, Med Intelligence vous propose un sondage. Êtes-vous pour ou contre l’envoi d’une force d’interposition, pour séparer les Israéliens et les Palestiniens ? (C’est le but d’Arafat, de Védrine et de Boutros Boutros-Ghali. Israël, quant à elle, s’y oppose catégoriquement). Lorsque vous pressez sur « oui », vous pouvez envoyer votre vote, par contre, lorsque vous appuyez sur « non », vous êtes tout simplement téléportés sur la page d’accueil de « FREE ».
Est-ce que vous commencez à comprendre ou se trouve l’intelligence derrière la désinformation ?
Je poursuis sur l’édito de ces « politologues », spécialistes du Proche-Orient :
« L'affaire de Beit Rima montre la détermination des Israéliens de briser l'Autorité palestinienne afin d'avoir, selon leurs analyses, des interlocuteurs divisés, donc plus malléables. Mais cette politique a toujours échoué. (…) Y-a-t-il d'autre équation que celle de M. Clinton, évoquée à Taba juste avant la fin de son mandat ? »
« L'affaire de Beit Rima montre la détermination des Israéliens de briser l'Autorité palestinienne »
Il n’y jamais eu « d’affaire Beit Rima » mais une opération militaire limitée, dont le but était de retrouver des terroristes, ayant participé à l’assassinat du ministre israélien du tourisme.
A par cela, comment la prise de contrôle, durant 24 heures, d’un village, pourrait-elle « briser l’Autorité palestinienne » ? C’est un raisonnement de politologues idiots …
« selon leurs analyses »
Quelles analyses ? Ces gens sont-ils des analystes ou des voyantes extra lucides, car enfin :
« afin d'avoir des interlocuteurs divisés, donc plus malléables »
Ils omettent seulement d’expliquer au lecteur, en quoi, l’opération de Beit Rima pouvait « diviser les interlocuteurs (palestiniens) ? » Aucune explication ne se trouve dans l’article !
« Mais cette politique a toujours échoué »
A force de parler d’une détermination qui n’existe pas, d’une tactique qui n’a jamais été envisagée, d’analyses qui n’ont jamais été faites, on ne s’étonnera que modérément du constat « que cette politique ait toujours échoué ! »
« Y-a-t-il d'autre équation que celle de M. Clinton, évoquée à Taba juste avant la fin de son mandat ? »
Non, il n’y en a pas !
Cependant, cette « équation », qu’on pourrait aussi appeler plan Clinton, a été soumise aux parties à Camp David, en septembre 2000, alors que les discussions de Taba, se sont déroulées en janvier et février 2001. Les « politologues » de la désinformation, oublient simplement de mentionner, qu’Israël a officiellement accepté les paramètres de cette équation et que l’Autorité palestinienne les a rejetés, préférant, à son initiative, plonger à nouveau le Moyen Orient dans la violence et la population palestinienne dans la précarité !
Le reste du rédactionnel de Med Intelligence est de la même veine : de la propagande extrêmiste anti-israélienne, dénuée de tout lien évenmentiel avec la réalité, malhabilement dissimulée sous le prétexte d’un prétendu site d’analyse. Je vous ferai donc grâce d’un plus ample commentaire. C’est absolument nul.
C’est ici qu’il faut que je me répète, une fois n’est pas coutume :
La menace devient tangible, lorsque les intellectuels d’une nation, s’octroient le privilège, de négliger les règles élémentaires de l’information et que l’environnement collectif, n’éprouve plus le besoin fondamental de réagir à cette barbarie.
Par Anonyme le mercredi 07 novembre 2001 - 12h20: |
L'amour
Depuis la nuit des temps au fond de l'ocean, il y a un oiseau, qui chante des chansons d'amour. Dans ce lieu si inhospitalier pour un oiseau, seul cet amour lui permet de respirer.
IMA
Par Toufiq (Toufiq) le mardi 06 novembre 2001 - 12h06: |
merci henri fitoussi "na'al bou la politique"!
Par Halkeloued (Halkeloued) le mardi 06 novembre 2001 - 12h40: |
Arrêtons de parler politique pour quelques temps et parlons....d'autres choses.
Alors un petit retour en arrière, si vous le voulez bien.
Vous souvenez-vous du concert des auditeurs à Radio TUNIS? Il y avait tellement d'incrits pour dédier une chanson à un proche, que l'émission se résumait souvent, à l'audition de deux chansons au maximum.
C'était l'époque d'une jeunesse dorée, insouciante, heureuse de vivre.
Nous ne pensions qu'à rire, nous amuser, aller au ciméma, organiser des surprises-partie.
Qui se souvient de cette chanson?
Arrête, arrête ne me touche pas
Je t'en prie ai pitié de moi
Je ne peux plus te supporter
Avec une autre te partager
D'ailleurs demain tu te maries
Elle a de l'argent, elle est jolie
Et ça se termine par
Puisque, puisque c'est elle qui aura ton nom
Ce soir, ce soir moi je te dis non
Non! Non!
Si vous en connaissez d'autres, à vos crayons électroniques.
Nous pourrions également évoquer les chanteurs amateurs qui ont fait les belles nuits d'été des boîtes de Douar-Chott ou de Gammarth.
Les rigolades du Café Vert, les marchands de glibettes qui nous faisaient crédit sans reconnaissance de dettes.
Vous ne trouvez pas que c'est plus amusant que de parler conflits, guerre, intolérance ou fanatisme?
Retournons en enfance le temps de NOUS faire plaisir.
Henri Fitoussi
Par Anonyme le mardi 06 novembre 2001 - 12h09: |
"Réponse à Nostalgia suite à son commentaire du 22/10/2001 à propos du Lycée de Carthage.
Moi aussi, après le Lycée de Carthage, j'ai été élève du Lycée Carnot (en Sciences Ex. - année scolaire 1961/1962), et je l'ai beaucoup apprécié. J'adhère d'ailleurs toujours à l'Amicale des Anciens Elèves du Lycée Carnot de Tunis.
Loin de moi donc l'idée de le dénigrer et de polémiquer, car je reconnais volontiers la qualité de son enseignement, son ambiance formidable et la solidarité de ses élèves.
Mais question beauté, situation, cadre et conditions de travail, je maintiens que le Lycée de Carthage n'avait pas son pareil.
Max Fitoussi
Par David (David) le mardi 06 novembre 2001 - 12h04: |
quelqu'un peut- il me dire si la cassette conte champ n2 est sortie et eventuellement me communiquer une adresse ou je pourrait la trouver
merci
Par Anonyme le mardi 06 novembre 2001 - 12h49: |
"les limites de la democratie dans l'etat juif en guerre" cette phrase fait partie d'un article del'AFP sur le site yahoo le 6/11/01 à 13H59 au sujet du depute arabe pour lequel,la knesset risque de lever son immunite parlementaire.
Il faut savoir que ce monsieur lors d'un voyage en syrie "pays en guerre contre l'etat d'israel, a appele les arabes à se révolter contre israel et il voudrait avec le concours de l'AFP que l'on trouve cela normal.
J'espere bien que son immunitè sera levee et qu'il sera condamne car meme en democratie j'appelle cela de la trahison.
Par Henri Bueno (Henri) le mardi 06 novembre 2001 - 12h32: |
JEAN-PIERRE CHALOM
JE TE REMERCI DE TON SOUHAIT DE BONNE JOURNEE,
MON MEILLEUR AMI D'ENFANCE S'APPELAIT AUSSI JEAN-PIERRE (JANNOT)
BIEN SUR LA SECURITE EST ASSURE TOUT D'ABORD PAR D..., MAIS D'UN AUTRE COTE ON DOIT COMMENCER PAR FAIRE LE PREMIER PAS, ET ALORS L'ETERNEL QUI DIRIGE TOUT, Y COMPRIS CE QUI CE PASSE AUJOURDH'UI, NOUS AIDERA.IL NE ME VIENDRAIS PAS A L'IDEE DE PASSER AU ROUGE EN DISANT D... M'AIDERA.
AIDE TOI ET LE CIEL T'AIDERA.
SI TOUT LE PEUPLE D'ISRAEL S'UNNISAIT PERSONNE NE POURAIT RIEN CONTRE LUI.
TOUS LES MALHEURS QUI NOUS ARRIVENT SONT CAUSES PAR NOTRE DIVISION.LORSQU'IL N'Y A PAS D'ENTENTE PARMI NOUS D... S'ELOIGNE DE NOUS ET NOUS LAISSE A LA MERCI DE NOS ENNEMIS LE PASSE NOUS L'A MONTRE.
TANT QU'IL N'Y AURA PAS LA PAIX PARMI NOUS, LA PAIX AVEC NOS VOISINS N'ARRIVERA PAS.
JE SOUHAITE A TOUS LES PARTICIPANTS QUE D... NOUS ECLAIRE ET METTE LA PAIX DANS NOS COEURS.
CHALOM HENRI
Par Anonyme le mardi 06 novembre 2001 - 12h14: |
Reponse a Henri Bueno :
Nuance d'importance que tu* n'as pas saisie : je n'ai pas dit qu'ils devaient laisser la place a d'autres pour parvenir a une paix sure, mais, et je cite ma phrase "...que les architectes d'Oslo peuvent imaginer/elaborer une autre voie qu'Oslo".
Merci de ne pas me faire dire ce que je n'ai pas dit, c'est la la moindre des courtoisie.
Je fais confiance a la responsabilite politique de ces architectes et je l'assume.
Bonne journee.
* je me permets de te tutoyer, parce que tu es passe au tutoiement.
Par Anonyme le mardi 06 novembre 2001 - 12h14: |
'Les internautes amis qui veulent correspondre avec moi peuvent le faire en m'ècrivant directement sur commentaires d'Harissa'.Je suis dèsolé mais ils comprendront par là mon obligation.
ALBERT SIMEONI.BELEBBOU.
Par Henri Bueno (Henri) le mardi 06 novembre 2001 - 12h05: |
Reponse a "L'IMAGINATION"
Je suis d'accord avec toi les "architectes d'Oslo" ont echoue, et ils doivent laisser la place a d'autres pour parvenir a une paix sure (securite) et durable.
Il serait suicidaire et tres dangeureux de laisser ces memes "architectes" qui s'obstinnent a continuer dans cette voie qui nous a coute tant de victimes.
Il ne sagit pas d'un jeu, mais de vies humaines.
Par Jean-Pierre C. (Jpc) le mardi 06 novembre 2001 - 12h01: |
Bonjour Henry Bueno,
tu m'as interpelle sur la question suivante : "JPC tu n'as pas repondu a ma question, combien de morts et de blesses faudra t-il encore pour surmonter la peur et avouer qu'on s'est trompe."
Exactement et merci Henry. Je n'aurais pas pu dire mieux. Combien va t il nous falloir de victimes de plus avant de changer de cap ?
Quand a la question de la SECURITE, sache que nulle part au monde quiconque est assure de securite. Les riches ou les pauvres. Que ce soit dans les pays industrialises ou les autres, la securite est un leurre et les US viennent de s'en rendre compte eux aussi. Alors je t'en prie ne demande pas la securite comme condition prealable pour faire la paix parce que c'est une chose impossible a garantir.
De toutes facons, si tu es religieux, tu devrais savoir que ta securite ultime n'est pas assuree par toi mais par Dieu.
Que ton mardi soit tov tov
Jean-Pierre C.
Par Henri Bueno (Henri) le mardi 06 novembre 2001 - 12h52: |
A l'anonyme du 5 nov. 17h14
Comment es tu arrive a la liberation d'Igal Amir?
Encore un qui accuse les religieux comme les goims accusent les juifS de tous les maux du monde entier.
Le sujet EST la PAIX dans la SECURITE.
Si tout le monde veut la paix c'est pour pouvoir VIVRE EN SECURITE.
La paix TOUT DE SUITE sans securite ne vaut rien.
LA PAIX DANS LA SECURITE CONTRE CHALOM ACHAF.
Par Anonyme le mardi 06 novembre 2001 - 12h29: |
JE SUIS A LA RECHERCHE HISTORIQUE DE LA FAMILLE KARILA DE NABEUL
EST IL VRAI QUE L'UN DES KARILA ETAIT MAIRE DE NABEUL ?
MERCI D AVANCE
gemayelA@itochu.fr
Par Anonyme le mardi 06 novembre 2001 - 12h06: |
VOYAGE EN ISRAEL du 22 au 25 NOVEMBRE 2001 :
Un voyage (en cours de préparation) est prévu du 22 au 25 Novembre 2001, en présence du Grand Rabbin de France Joseph Sitruk, à Jérusalem, à la rencontre de nombreuses sommités rabbiniques internationales pour débattre de la situation et des perspectives actuelles et à venir en Israël.
Seront également prévues des visites de sites immobiliers (en réponse à de nombreuses demandes..).
Le prix du séjour se situera autour de 3500 Francs.
(comprenant vol A/R - Paris/Tel Aviv/Paris - Hôtel ***** - pension complète
cachère).
Rens. et Réservations : 01 47 45 51 47 - / - 01 47 47 04 97 - de 11h à 16h.
06 15 10 30 16 - de 20h à 23h.
c/o french-american.tv
Par Anonyme le mardi 06 novembre 2001 - 12h03: |
RECHERCHE ENREGISTREMENTS DU CHANTEUR SAMY ELMAGRHIBI
SHMUEL BENDAVID - JERUSALEM - ISRAEL
rachbad@hotmail.com
Par Anonyme le mardi 06 novembre 2001 - 12h55: |
Voici la mise au point de l'Ambassadeur Barnavi, dont LE MONDE n'a pas publie la derniere partie (dans l'edition du 3 octobre 2001). Le texte complet suit:
Selon Sylvain Cypel (« Les musulmans et la ‘démonisation’ de l’ennemi », Le Monde du 30 octobre 2001), j’aurais comparé Israël « à quelqu’un qui aurait acquis rubis sur ongle un bien que le vendeur lui contesterait depuis. » J’aurais laissé passé une approximation de plus – j’en laisse passer tellement – n’était la vulgarité de l’image qu’il me prête.
Voici ce que j’avais écrit (« Israël-Palestine: une querelle de légitimité », Le Monde du 4 janvier 2001): « Le maître mot est légitimité. Vous avez acheté une maison, vous l’avez payée argent comptant, elle est dûment enregistrée au cadastre, elle est à vous en toute légalité. Mais voilà, elle est située dans un quartier hostile, où l’on n’aime pas votre peau, ou votre style de vie, ou vos fréquentations. Aucun titre de propriété, aussi indiscutable soit-il, ne protègera durablement votre possession si vos voisins refusent de vous reconnaître comme le propriétaire légitime. Bien sûr, si vous êtes plus riche qu’eux, vous hérisserez votre propriété de barbelés et de miradors et vous serez en mesure de tenir en respect vos ennemis. Mais votre vie sera un enfer. Cependant, vos voisins ne sont pas mieux lotis. Vous vivez dans un camp retranché, mais eux vivent dans un bidonville ouvert à tout vent. Pour faire de ce quartier un lieu vivable, ils ont besoin de vous autant que vous d’eux, peut-être même davantage. » La maison, c’était, bien sûr, l’Etat juif, chèrement acquis; le prix ne se mesurait pas en argent, mais en sang versé – 6000 Juifs sur les 600 000 que comptait le Yishouv (la communauté juive en Palestine mandataire) lors de la guerre d’Indépendance; et le cadastre était le consentement des nations, tel qu’il s’était manifesté au moment du vote du partage des Nations Unies, le 27 novembre 1947.
Ainsi filait la métaphore, à mon sens limpide. Comment s’est-elle muée en ce calcul sordide que me prête un journaliste « qu’on a connu mieux inspiré »? Mystère. Mais puisqu’il est beaucoup question de « déni » dans l’article de Sylvain Cypel, je lui conseille amicalement de réfléchir à la question suivante: quel « déni » porte-t-il en lui, qui l’oblige à donner des gages de correction politique à ceux-là même, dont, une fois n’est pas coutume, il expose par ailleurs les mortifères turpitudes ?
Elie Barnavi
Par Anonyme le mardi 06 novembre 2001 - 12h50: |
La prochaine conférence de M. le Grand Rabbin de France Joseph Sitruk, aura lieu le Lundi 12 Novembre 2001 à 21h précises - Tous publics -
Entrée libre.
Synagogue de la Victoire - 44, rue Victoire - Paris 9è - M° St Georges.
Rens. : 06 15 10 30 16.
PS. : Le cours annoncé pour ce soir 5 nov. a été reporté au 12. Avec toutes
nos excuses.
ALINEDI@aol.com
Par Anonyme le lundi 05 novembre 2001 - 12h02: |
Pourquoi resumer la Gauche israelienne aux accords d'Oslo ? Croyez-vous vraiment que la "Paix" se resume a ces accords bafoues ? N'etes-vous pas conscients que les architectes d'Oslo peuvent imaginer/elaborer une autre voie qu'Oslo ?
Vous mettez des carcans et des limites a des idees qui n'en ont pas, contrairement aux votres qui sont tres arretees.
La difference entre les partisans de la paix et ses adversaires ne tient qu'a une chose :
L'IMAGINATION.
Par Davideden (Davideden) le lundi 05 novembre 2001 - 12h46: |
L'assassinat de Rabin est une tragedie incroyable. J'ai connu Rabin comme un homme politique tres courageux. Rabin est celui qui a eut le courage d'avancer dans le processus d'Oslo. Il avait demander a ce des risques soient pris pour la paix et je suis convaincu que si il etait vivant, il aurait admit que malgre tous nos efforts et souhaits, notre ennemi ne veut pas de notre existence et que donc la paix n'est pas une option immediate.
L'assassinat de ce hero est une tragedie humaine et nationale.
Par Bebel (Bebel) le lundi 05 novembre 2001 - 12h29: |
pourquoi deformer les mots et les idees ?Il est vrai que j'etais et suis contre le processus d'oslo mais une chose est sure : l'assassinat de Rabin a laisse une trace indelebile chez moi -un juif tue un autre juif a cause d'une ideologie .c'est la chose la plus reprehensible.
Rien ne peut l'excuser et je ne cherche surtout pas a sortir l'assassin Igal amir de prison.qu'il y reste pour payer sa dette.
Mais d'autre part,il est vrai que je ne me sens pas partisante "du chemin Rabin",pas du tout meme.
"la paix maintenant,la paix de suite " me semble tres tres loin de la realite sur le terrain...
Etre pour la paix ,sure que j'en fait partie(je suis maman et comme toutes les autres je crains pour mes enfants et nous tous),mais Oslo a passe son temps,il est "mort et enterre" et il faudrait du courage de la part de nos chers "gauchistes" pour admettre cette realite .Il est vrai aussi que la "droite" n'a pas de solution miracle mais je rapelle que Sharon est "monte" pour ramener la securite qui avait disparu au temps de Barak.Pas pour faire de nouvelles concessions....J'espere que tres bientot il reussira la mission pour laquelle il a ete choisi : rendre la securite.L'os est tres dur a casser mais ayons l'espoir qu'il cassera.
Line
n.b petite reflexion a tous : la terre d'Israel appartient a D...,tous ceux qui ont donne une partie de cette terre de leur propre chef,sont tombe:Begin(il a donne le sinai),Shamir(il a commencer la conference de madrid sur les bases de l'onu),Rabin(avec Oslo),Netanyaou(avec hebron),barak(sur la base d'oslo,il a donne d'autres parcelles de terre et etait pret a partager Jerusalem)....reste Sharon ...L'avenir dira sur quoi il sera "tombe".......
Par Admin (Admin) le mardi 06 novembre 2001 - 12h20: |