Par Admin (Admin) le jeudi 15 novembre 2001 - 12h47: |
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Par Anonyme le mercredi 14 novembre 2001 - 12h12: |
ALGERIE/ L'Etat d'engorgement à Bab-El Oued.
BELEBOU
Par cohen victor (Bekhor) le mercredi 14 novembre 2001 - 12h00: |
D'apres ce que je comprend nos elus du consistoire et nos rabbins ne sont la, que pour preserver leurs honneurs et leurs aquis.
Justement la periode electorale du consistoire bat son plein et son actuel president Monsieur MOISE COHEN ne daigne meme pas repondre a une lettre que je lui ai adressee le 8 aout 2001
Le grand rabbin de france ainsi que le grand rabbin de paris qui ont recu une copie sont aussi restes sous silence malgres une grave erreure faite par les services funeraires du consistoire central de paris.
Voice la lettre adressee a Monsieur MOISE COHEN le 8 Aout 2001.avec une copie pour information adressee a nos deux grands rabbins Joseph Struk et David Messas.
Je rend cette lettre publique qui devient une lettre ouverte a Messieurs nos elus, Le president Monsieur MOISE COHEN ainsi qu'aux Messieurs les grands Rabbins Joseph Sitruk et David Messas.
A diverses reprises j'ai envoyer des Emails de relances au consistoire de paris et aussi a quelques elus ainsi qu'a Monsieur Leon Masliah qui intervient souvent sur ce forum, mais toujours un silence incomprehensible.
En desespoir de cause et pour ne pas etre complice de ce silence consentant, j'ai decide d'intervenir en premiere instence sur Harissa et si malgres cela le silence persiste, j'editerais cette lettre avec mes propres deniers sur tous les journeaux juifs de la communautee.
Boulogne le 8 août 2001.
Lettre Recommandée avec A.R.
Copies pour information au Grand Rabbin de France Monsieur J. SITRUK.
Ainsi qu’au Grand Rabbin de Paris Monsieur D. MESSAS.
Monsieur le Président,
Si je m’adresse à vous ce n’est pas de gaieté de cœur, c’est parce que vous êtes la plus haute autorité administrative du consistoire central.
De ce fait je me sens dans l’obligation de vous informer de l’incompétence des services funèbres du Consistoire de paris, qui à mon avis sont des plus déplorables et largement en dessous de ce que l’imagination (humaine) puisse envisager.
En effet, mercredi 1 août 2001, Madame Maertens, gérante de tutelle de l’hôpital Villemin-Paul Doumer à Labruyère Liancourt dans l’Oise, me met au courant du décès dans son hôpital de Monsieur Claude Armand HAITIN.
Ce Monsieur, Juif, décède après trois ans de coma profond suite à une crise cardiaque dans la rue. Ancien déporté, survivant de la SHOAH, tatoué du numéro matricule des camps de concentration sur le bras, n’ayant aucune famille ou amis, ni aucune ressource à la connaissance de Madame Maertens, il n’avait reçu aucune visite pendant son séjour de trois ans à l’hôpital. Il était seul. Les recherches qu’a effectuées cette magnifique et charmante assistante sociale n’ont rien donné.
Madame Maertens m’a donc demandé de prévenir les autorités juives compétentes, afin qu’elles s’occupent de l’enterrement de ce monsieur selon le rite Israélite, faute de quoi il serait enterré dans une fosse commune de l’hôpital, sans aucune assistance religieuse.
Me sentant concerné comme tout juif l’aurait fait, j’ai donc accepté de prévenir le consistoire.
J’ai en premier lieu contacté Monsieur B’chiri Jacques responsable de la Hevra-Kadicha de l’ACIP, qui me demanda la preuve de sa judaïté ; ce serait donc à moi d’apporter cette preuve, (bravo pour la fuite en avant de la Hevra-Kadicha comme son nom l’indique) et là le parcours du combattant commença pour moi.
Une fois la preuve établie, j’ai cru que le consistoire allait prendre en charge les démarches et tout l’enterrement, et qu’il (le consistoire) avait certainement un caveau pour ce genre de situation. Et que ma tache s’arrêterait-là.
Pas du tout, quelle ne fut pas ma surprise quand Monsieur B’chiri m’annonça que le consistoire s’occupait uniquement de la toilette mortuaire, et de l’envoi du rabbin au cimetière, et que pour ce cas la, ce serait gratuit, et qu’exceptionnellement il n’y aurait pas une taxe consistoriale de 3400 francs.
Par contre pour le reste Monsieur B’chiri me dit qu’il fallait que je contacte une entreprise de pompe funèbre, moi et pas lui, et qu’il n’y avait aucune caisse de solidarité (GMILOUT HASSADIM) pour prendre en charge ces frais, et que surtout ce ne serait pas du tout à l’ACIP de le prendre en charge. Par ailleurs, il me fallait acheter une concession de caveau. Le montant total (enterrement plus caveau) s’élèverait entre10 et 15 mille francs.
J’ai demandé alors à Monsieur B’chiri au demeurant très charmant au téléphone, de m’aider à contacter les associations Israélites Ashkénazes, pour trouver un caveau, mais il m’expliqua gentiment que je perdais mon temps, et que ces associations demanderaient aussi le paiement de la place dans le caveau, et qu’il n’y a aucun bénévolat dans ces cas là.
J’ai vite compris que nos associations et institution juives, en majorité, ne sont que des œuvres mercantiles dénuées de toute charité, lors de besoins urgents. Probablement beaucoup de juifs meurent à l’hôpital dans l’oubli total et sont enterrés dans des fosses communes, en l’absence de rite religieux.
Je me suis donc déplacé jeudi soir à la synagogue de Boulogne, pour demander une aide financière aux quelques fidèles présents en cette période estivale.
A ma grande et agréable surprise, la somme de 10.000 francs fut réunie en une demi-heure par de généreux donateurs, qui de plus se sont engagés à réunir un quorum(méniane) qui se déplacera lors des obsèques au cimetière (engagement tenu.)
Vendredi matin, j’ai donc appelé Madame Maertens, pour lui annoncer que les fonds nécessaires étaient réunis, et qu’il ne manquait plus qu’à trouver un cimetière qui accepterait de vendre une concession. Ce fut pour cette dame un vrai parcours du combattant, (qu’Achem la bénisse, pour être un vrai JUSTE que notre sainte THORA mentionne dans ses écrits.)
Cette dame s’est débattue comme une forcenée, car aucun cimetière ne voulait de Monsieur HAITIN. Liancourt ne voulant pas des corps de ceux qui sont morts dans l’hôpital de sa ville,
Creil ville la plus proche de Liancourt possédant un carré juif, n’en voulait pas non plus, car d’après son règlement le défunt n’habitait pas dans la ville, tous les cimetières aux alentours refusèrent une sépulture à ce malheureux Monsieur HAITIN.
Ce n’est que vendredi après midi que les pompes funèbres générales de Creil eurent l’idée de téléphoner à leur succursale de Paris, en la personne de Monsieur Hervey Chekroun, qui par sa compétence et son dévouement fit en sorte de trouver une concession au cimetière de Pantin.
La solution de la concession fut donc réglée vendredi après midi. Les bureaux de l’ACIP fermant tôt en veille de shabbat, j’ai attendu samedi soir pour joindre votre délégué Monsieur B’chiri, qui à la connaissance des derniers évènements, m’assura qu’il enverrait dans la matinée du lundi 6 août des personnes compétentes pour la toilette rituelle à l’amphithéâtre de l’hôpital.
Lundi matin Madame Maertens, m’annonça que la mise en bière et la levée du corps se feraient à 13 heures précises. Rendez-vous à 15 heures devant l’entrée principale du cimetière de Pantin pour les obsèques. Un fax fut adressé immédiatement par Madame Maertens à Monsieur B’chiri de l’ACIP, pour le mettre au courant, afin de prendre ses dispositions pour la toilette rituelle et la convocation du rabbin.
Vers 10 heures ce lundi j’ai eu Monsieur B’chiri au téléphone qui me certifia qu’il était au courant des horaires et que tout serait fait dans les règles de l’art, que les toiletteurs avaient toute la matinée pour se déplacer et faire leur travail.
Le convoi arriva à 15 heures 15, avec Madame Maertens qui justifia le retard du convoi en nous annonçant, qu’ils avaient en vain attendu les toiletteurs de l’ACIP jusqu'à 13 heures 45. Ne voyant venir personne, les employés de la police municipale, qui attendaient depuis plus d’une heure, ordonnèrent la mise en bière et sceller le cercueil, et ce « SANS LA TOILETTE RITUELLE. »
En entendant cela, nous ( méniane réunis par la synagogue de Boulogne) furent consternés et dégoûtés devant l’incompétence des services de l’ACIP, et surtout de ce Monsieur B’chiri, votre délégué, qui en belles paroles paraissait crédible, mais pour ce qui est de ses compétences elles sont des plus déplorables et en dessous de tout.
Je pris la décision d’appeler votre soit disant responsable, qui, mis au courant, balbutia qu’il avait envoyé des toiletteurs, mais qu’il ne savait pas ce qui s’était passé. Pour souligner son incompétence, il alla jusqu’à proposer que l’on aille demander s’il y avait un endroit ou l’on pouvait faire la toilette et qu’il enverrait des toiletteurs de suite, ne sachant pas qu’un cercueil scellé ne pouvait en aucun cas être réouvert en ces circonstances. En bref, le rabbin arriva à 15 heures 30, et l’enterrement fut célébré à 16 heures 30 non sans mal, avec une assistance profondément consternée. Je crois devoir ajouter que tous les fidèles de la communauté de Boulogne et d’ailleurs, qui ont eu de prés ou de loin l’occasion de me prêter concours dans cette triste affaire partagent malheureusement le sentiment d’indignation et de dégoût que tout ceci m’inspire.
Je vous demande donc Monsieur le Président de faire une enquête interne afin, de m’expliquer les raisons de l’incompétence de vos services Hevra-Kadicha, aussi pourquoi vos services Hevra-Kadicha ne prospectent pas les hôpitaux ou hospices, afin de rechercher des juifs dans des situations semblables, et ne s’occupent-ils pas de la totalité des formalités, ainsi que des obsèques des indigents dans la communauté?.
Dans l’attente d’une réponse de votre part, quant à la suite à donner à cette affaire, je vous prie Monsieur le président d’agréer mes salutations les plus respectueuses.
COHEN VICTOR
Par Anonyme le mercredi 14 novembre 2001 - 12h31: |
Bonjour,
Mon patronyme, FEITOUCHI, est une orthographe fautive de FITOUSSI. Mes ascendants sont de Bône (Annaba, Hippone,...)
J'aimerais connaître l'ORIGINE du nom. Un nom de lieu ? Fitou, dans l'Aude ? Ca paraît trop simple!
Pouvez-vous m'aider ? Merci.
Jacques FEITOUCHI
STRASBOURG, FRANCE 67100
ja_feit@hotmail.com
Par Nao (Nao) le mercredi 14 novembre 2001 - 12h02: |
"Je vous embrasse a tous, grands et petits Harissiens de toute race, de toute religion et de toutes couleurs".
Non il ne vous/nous a pas oublie. Cette phrase est tiree d'une lettre que m'a adressee Simon Baruch depuis le West Chester Detention Center. Simon a l'air en forme, bien nourri (kasher uniquement) et bien traite et m'a paru tres en verve.
Ecrivez lui (et n'hesitez pas a glisser une enveloppe timbree cela lui rendra un grand service):
Simon Baruch
WC-DOC-3SE-011
Po Box 10
Valhalla, NY 10595
Cela lui fera tres plaisir et vous ferez une mitsvah/BA.
Merci pour lui.
Isabelle Tahar Miller
Isabelle.Miller@ace-ina.com
Par Anonyme le mercredi 14 novembre 2001 - 12h43: |
Si j'ai bien compris, les palestiniens "liquident" les jeunes filles qui ont été déflorées et qui sont par conséquent "souillées".
Sara Daniel nous l'explique dans son article.
La mère de cette pauvre fille assassinée par son frère, n'a même pas droit à un soupir. Que c'est triste!
Mais alors Madame Daniel, pourquoi la fille qui est venue témoigner contre Monsieur Sharon, devant un pseudo "tribunal" belge, qui a prétendu avoir été violée par une dizaine de soldats israéliens, sous les yeux de son pauvre père, blessé gravement par ces mêmes soldats, est-elle encore en vie? Il y a contradiction.
Ou alors l'ont-ils épargnée pour qu'elle vienne proférer ces mensonges à l'encontre de TSAHAL?
Personnellement je ne poursuivrai pas ce journal en diffamation, il n'en vaut pas la peine.
Mais ce qui est certain c'est que jamais plus je ne le lirai.
Par Bebel (Bebel) le mercredi 14 novembre 2001 - 12h14: |
Salut Jpc,
ma vision de la paix incluant un retour aux sources ne prevoit pas un retour force mais un retour aux sources des gens sus-nommes de par la "force" de la premiere partie de mon reve !c'est a dire qu'avec la venue du Mashiach,tous les juifs verront que la VERITE se trouve dans la Thora et pas dans la laicite.c'est ce que je voulais dire.C'est mon reve,de voir tous les juifs croire en D...Pour l'instant ,que chacun fasse ce qui lui plait,c'est leur probleme et leur conscience...(bien que ca soit mon probleme aussi ...)
Si j'ai parle d'eux et de leur retour eventuel vers la religion ,c'est du au fait que ces 2 personnages qui crient toujours haut et fort que les religieux imposent la religieux,eux-meme veulent imposer aux religieux leur laicite.Tu voit le probleme ?A chaque possibilite qui leur ai donne,ils denigrent les religieux en les traitant de tous les maux de l'etat d'Israel !
voila tout.
Line
Par Anonyme le mercredi 14 novembre 2001 - 12h03: |
Le nouvel observateur un journal? Mais non mes chers amis, c'est un torchon et encore, un torchon peut servir, alors que le papier de cet hébdo ne peut même pas être utilisé pour se torcher.
Et son directeur est un renégat. Qui est plus antisémite qu'un juif converti?
Sara Daniel ne serait-elle pas sa femme ou sa fille? Si c'est bien le cas, alors comme aurait dit Raymond Soupleix dans "Les 5 dernières minutes" -"Bon D... mais c'est bien sûr!"
Par Jean-Pierre C. (Jpc) le mercredi 14 novembre 2001 - 12h55: |
Salut Line,
Tu vois j'etais pret a accepter ta vision de la Paix jusqu'a la fin de ton commentaire ou tu as dit : "ainsi que la fin des histoires entre nous les juifs ,entre pratiquants et non-pratiquants, le retour a la religion de Yossi Sarid ,Tomy Lapid et tous leurs confreres."
Moi la je suis plus d'accord avec toi. Pour moi la paix, c'est que toi tu suives Ovadiah Yossef et que Yossi Sarid et Tomy Lapin puissent suivre leur voie propre s'ils le desirent. On n'a pas tous besoin d'etre des disciples de Ovadiah Yossef et de suivre la religion pour vivre en paix. Ni d'ailleurs d'etre anti-religieux.
Je crois que c'est ca la fondation de la paix : le respect, l'acceptation et la celebration de la DIFFERENCE de l'autre
Il n'y a aucun doute, pour cette raison, que je prefere mordre dans le beignet au miel collectif de bazooka.
Jean-Pierre C.
Par Anonyme le mercredi 14 novembre 2001 - 12h16: |
Un responsable de l'OLP envisage le non-retour des réfugiés palestiniens contre l'évacuation des colonies
JERUSALEM (AP) -- Le numéro un de l'OLP à Jérusalem a déclaré mardi que les Palestiniens devaient comprendre qu'Israël n'accepterait pas le retour des quelque 4 millions de réfugiés palestiniens, mais a estimé que l'Etat hébreu devrait de son côté accepter d'abandonner les colonies de Cisjordanie, de la bande de Gaza et de Jérusalem-Est.
''Les Palestiniens exigent un Etat de Palestine (qui s'étende sur) la totalité des territoires occupés en 1967, sans implantations (juives) ni contrôle israélien'', a expliqué Sari Nusseibeh, professeur de philosophie et confident de Yasser Arafat, lors d'une réunion de l'Association de la presse étrangère à Jérusalem.
''Il y a 400.000 colons en Cisjordanie, dans la bande de Gaza et à Jérusalem-Est'', selon ce haut responsable de l'Organisation de libération de la Palestine. ''Je crois que l'un des grands torts faits au processus de paix a été la poursuite des implantations. C'est vrai pour la Cisjordanie mais aussi pour Jérusalem-Est. L'opinion publique israélienne doit l'admettre''.
Il a ajouté que le temps pressait car un nombre croissant de Palestiniens souhaitent revenir à l'objectif initial de l'OLP de créer un Etat unique palestinien remplaçant Israël.
Le secrétaire du cabinet palestinien Ahmed Abdel Rahman a approuvé les propos de M. Nusseibeh. Le président de l'Autorité palestinienne Yasser Arafat a lui aussi répété au secrétaire d'Etat américain Colin Powell que l'Etat palestinien devrait comprendre toute la Cisjordanie, la bande de Gaza et Jérusalem-Est, selon le négociateur palestinien Saeb Erekat.
Aucun commentaire n'a été fait côté israélien. La question du droit au retour a contribué à l'échec des négociations de paix israélo-palestiniennes.
Par Anonyme le mercredi 14 novembre 2001 - 12h11: |
Chers amis,
Autour du Livre se fait une règle de proposer à la jeunesse juive de région parisienne des cours et des conférences de qualité dans le domaine de l'étude juive. Après vous avoir permis de rencontrer des Rabbanim israéliens tels que R. Botshko, R. Attoun, R. Weingort, R. Kula ou encore R. Elie Kahn, nous vous convions à une conférence de notre ami Raoul Spiber, remarquable érudit, et professeur de qoddech à l'école de l'Alliance de Pavillons-sous-Bois. M. Spiber abordera le sujet suivant: Chabbat: domaine privé, domaine public. Vous savez peut-être en effet que la loi juive interdit, le jour de chabbat, de transporter un quelconque objet d'un domaine à l'autre. L'étude proposée par Raoul Spiber ne sera pas une étude halakhique (juridique), mais visera à mieux comprendre la signification profonde de cette distinction des domaines, et les principes que la Torah y décèle.
Rendez-vous donc le mardi 20 novembre, à 20h (buffet-rencontre) et 20h30 (conférence), à la synagogue Don Isaac Abravanel, 84, rue de la Roquette, Paris 11ème, M° Voltaire ou Bastille. La participation aux frais (location de la salle et buffet) s'élève à 50 F, ou seulement 30 F pour les membres de notre association à jour de leur cotisation.
Veuillez également noter qu'une deuxième conférence aura lieu dès le mardi suivant, le 27 novembre, mêmes horaires, même lieu, mêmes tarifs. Nous aurons cette fois le plaisir d'accueillir le Rabbin Alexis Blum de Neuilly-sur-Seine, qui nous parlera d'un rite dont le sens est méconnu: birkat halevana, la bénédiction sur le renouvellement de la lune.
Merci de bien vouloir réserver ces deux dates, et d'en donner la plus large publicité auprès de vos propres correspondants et amis. Une affiche de la première conférence se trouve en document joint.
Chalom et... bonjour chez vous!
L'équipe d'Autour du Livre.
autourdulivre@free.fr
Par Anonyme le mercredi 14 novembre 2001 - 12h07: |
Concert
L'Université Bar-Ilan, la Faculté des Sciences Humaines, le Département de Littérature comparée et le Département de Français ont le plaisir de vous inviter le lundi 26 novembre 2000 au concert d’ouverture du colloque "Proust au tournant des siècles" par le “Trio à cordes de Jérusalem”:
“Musiques proustiennes”:
Camille Saint-Saens: Sonate op.75, pour violon et piano.
César Franck: Sonate pour violon et piano en la majeur.
Gabriel Fauré: Premier Quatuor op.15 pour piano, violon, viole et violoncelle.
Rima Kaminkowski – Violon
Robert Mozes – Violon et Viole
Yoram Alperin – Violoncelle
Janina Lowemberg - Piano
Remerciements à Mme Yardena Friedman pour son aide.
a.ramette@ambafrance-il.org
Par Anonyme le mercredi 14 novembre 2001 - 12h36: |
Hommage aux soldats israéliens d'origine francophone.
On oublie de penser à ces jeunes garçons et filles désintéressés et généreux qui ont quitté leurs douillets foyers et des études assurées en France, pour non seulement faire le pas de l'Alya, seuls, loin de leurs familles, mais en plus s'astreignent au service militaire qui est long et fastidieux déjà pour les natifs d'Israël. Pour couronner le tout, ils n'hésitent pas à intégrer les unités de chocs les plus dures comme Golani, les parachutistes, Givati, le Nahal, les blindés et autres unités. L’histoire et actualité d'Israël sont riches en incidents militaires, ainsi ils ont pratiquement tous essuyé le feu, que ce soit en période de guerre, dans les accrochages frontaliers ou dans la lutte anti terreur.
Pourquoi cette intervention maintenant, parce que je crois qu'on oublie ces garçons et ces filles qui sont la preuve la plus éclatante du lien indéfectible des juifs avec leur Terre. Ac! tuellement, il y en a qui sont mobilisés et participent aux opérations de Tsahal en cette période de tension et de terrorisme. Le Judaïsme de France a fait sortir de son sein ces braves jeunes gens, on les rencontre parfois quand ils sortent en permission sans que leurs mamans soient là à pouvoir les attendre avec un bon repas qui réchauffe le cœur ou pour leurs laver et repasser le linge sale.
Certains parmi eux sont tombés comme Bernard Brami en 1973 sur lequel je voudrais un peu plus m'étendre, Elie Pressman et le fils Madar lors des combats au Liban en 1982, Dan Tellier tué lors d'un accident d'hélicoptère qui s'est écrasé dans la Vallée du Jourdain en septembre 1984 au cours d'un exercice d'une unité de Golani ou bien, l'année dernière, cette jeune fille de 20 ans dont j'ai honte de ne pas me souvenir le nom, elles fut écrasée en février dernier ainsi que six autres personnes lors de l'attentat d'une bête immonde palestinienne qui fonça sur une station avec l'autobu! s qu'il avait volé. Les périodes de guerre et de tension n'ont pas dissuadé ces jeunes de venir, au contraire, se joindre à leurs frères juifs pour combattre à leurs côtés est le cœur même de leur motivation. Ils sont religieux ou non, ils sont d'opinions politiques de toutes tendances. Dans certains cas, ils viennent de foyers assimilés, et parfois, un de leurs parents n'est pas juif comme le père de Dan Tellier. C'est le cœur serré et avec les larmes aux yeux que je me souviens de ce monsieur et de son épouse juive venus d'urgence en Israël pour accompagner leur fils dans sa dernière demeure.
On ne pense pas à eux, et pratiquement nous tous, même parmi les israéliens d’origine francophone, n’avons pas entendu parler de Bernard Brami, jeune juif de Paris venu s’engager dans Golani, soldat brillant et brave, apprécié de ses coéquipiers. Il se trouvait sur le fortin du Hermon le jour où la guerre de Kippour éclata. Pour cela je voudrais parler d'un chapitre que j'ai lu dans le livre "Hitkadshout" de Yossi Bloom, qui nous fait le narratif des derniers moments de Bernard . C'est un livre excellent qui analyse l'origine du fiasco conceptuel qui a précédé la guerre de Yom Kippour éclatée le 6 octobre 1973, ainsi que le déroulement des combats. J'en apporte une traduction résumée.
Le haut commandement militaire et la direction politique d’Israël avaient failli anticiper l'agression d'envergure que planifia! ient les pays arabes ce jour de Yom Kippour le 6 octobre 1973. Enfermés dans leur conception de confiance en soit exagérée et de nonchalance, les positions de Tsahal étaient mal préparées et en effectif insuffisant pour faire face au raz de marée qui allait se soulever à 14 heures en ce jour. Sur le fortin du Hermon qui domine la Syrie et était considéré comme "les yeux du pays", on pouvait repérer n'importe quel mouvement militaire syrien jusqu’à Damas, tout juste un peloton (mahlaka) de combattants du régiment Golani était stationné là pour sécuriser le fortin du Hermon et les militaires du Renseignement et unités de soutien qui s’y trouvaient. La plupart de ces soldats furent tués lors de l’assaut syrien de grande envergure, très peu parmi les prisonniers survécurent, les blessés prisonniers furent finis au couteau. Lors du début des combats, une balle blessa Bernard Brami à l’aine, il fut transporté à l'infirmerie de fortune pour être soigné. Les syriens dans leur avancé! e atteignirent l'infirmerie et tuèrent les derniers combattants qui leurs opposaient résistance, les israéliens qui se rendirent furent fauchés par un tir nourris, 5 soldats qui furent pris captifs puis ligotés furent exécutés sauvagement, les blessés et le docteur furent pris en captivité et forcés de marcher, Bernard Brami saignant abondamment fut jeté par terre de la table des soins et il marcha courageusement un kilomètre et demi épouvantables jusqu'à ce que ses forces l’abandonnent. Shalom Lavi, l’un des rares captifs qui survécut à la captivité syrienne, tourna la tête en direction de Bernard quand ils vit les syriens l'exécuter d'une courte rafale. Bernard tomba du sentier dans le lit d'une rivière. Il fut porté disparu et ce n’est que 8 mois et demi plus tard, qu’il fut emmené à sa dernière demeure décemment selon la Tradition Juive de Moshé notre Maître. Si les Syriens avaient honoré les conventions de Genève envers les p! risonniers, Bernard serait probablement là avec nous en Israël aujourd'hui. Comme lui de nombreux prisonniers et blessés ont été sommairement exécutés, avec lui 2298 soldats juifs sont tombés entre le 6/10/73 et le 24/10/73.
Le Hermon fut repris à l'arracher par Golani dans un exemple de combat courageux et de compétence et lourd en vies humaines. Les forces israéliennes pénétrèrent profondément en Syrie et arrivèrent aux abords de Damas, et le Régiment Golani ainsi que les autres unités de Tsahal firent preuve d’une opiniâtreté sans précédent dans l’histoire militaire. Ils firent couler du sang syrien et égyptien en quantité pour redresser la situation catastrophique et désespérée d'Israël pour faire de cette guerre une victoire éclatante sur les arabes qui avaient l’avantage tactique de la surprise et des effectifs et équipements nettement supérieurs.
A tout jamais, nous devons maintenir le souvenir de Bernard Brami et des autres soldats juifs qui ont fait le sacrifice ultime de leurs vies pour que , avec l’aide du Dieu d’Israël, nous puissions vivre sur la Terre promise à nos patriarches.
De même, une pensée spéciale pour tous ces garçons et filles qui on servis dans Tsahal et se sont installés un peu partout dans le pays pour y fonder leurs familles, ainsi que ceux qui sont repartis en France ou ailleurs. On peut reprendre pour les décrire cette formule de nos Sages : « Apres comme le tigre, légers comme l’aigle, courants comme la gazelle et aux cœurs braves comme le lion…. »
HMEIR, Tekoa, ISRAEL
hmeir60@netvision.net.il
Par Anonyme le mercredi 14 novembre 2001 - 12h27: |
Chers Amis,
Toujours avec mon bon souvenir et l'annonce d'une nouvelle mise à jour grâce à tous ceux qui veulent arrêter le temps.
Depuis quelque temps, j'annonçais une vidéo sur "Le Bloc" à la Goulette. C'est fait, j'ai également rajouté une autre sur le cinéma "REX".
Vous pouvez vous rendre, si vous le souhaitez à :
http://www.tunis-biarritz.net
http://membres.tripod.fr/andre_zuccaro/goulette_-_video.htm
http://membres.tripod.fr/andre_zuccaro/Tunis_2001.htm
http://membres.tripod.fr/andre_zuccaro/tunis-retro.htm
http://membres.tripod.fr/andre_zuccaro/Goulette-retro.htm
http://membres.tripod.fr/andre_zuccaro/Tunis_s'Affiche.htm
Merci de votre réaction.
Cordialement,
André Zuccaro
andre-zuccaro@wanadoo.fr
http://www.tunis-biarritz.net
Par Toufiq (Toufiq) le mardi 13 novembre 2001 - 12h07: |
a notre tour de detourner (en chansons)les talibans:
de georges brassens:"les amoureux qui s'becottent sur les talibans publics, talibans publics..."
"mais ou est il parti,l'afghanistan des cerises..."
laissez tomber les afghans de boxe,aux afghans de toilette,mr.propre est arrive!
foutez moi tout sahara,on efface tout et on recomence,la kaboul a zero,quoi!
"zahir va arriver e e e,sans s'presser e e e,
le grand zahir,le beau zahir...
Par cohen victor (Bekhor) le mardi 13 novembre 2001 - 12h36: |
Copie de l'Email que j'ai envoye au torchon nouvel obs.Le 13 Novembre 2001.
Messieurs,
J'etais un soldat de Tsahal pendant la fameuse guerre des six jours en 1967, malgré la fameuse victoire sur nos ennemis qui nous entouraient, et qui juraient par l'intermédiaire de tous les médias, notre future extermination, les menaces les plus atroces étaient vociférees contre nous, par radio le caire, radio aman et radio damas, jamais je dis bien jamais ne nous est venu a l'esprit moi et tous mes camarades de violer des femmes ou de piller des magasins ou maisons.
Et Dieu seul sait si nous etions en contact direct avec les populations.
Des soldats de tsahal violer des palestiniennes?, jamais je dit bien jamais il ne viendrait a l'esprit d'un soldat juif cette idée. L'article écrit sur le viol de femmes arabes par les soldats de tsahal n'est qu'une pure invention inventée par votre journaliste, cette personne ne connait ni l'esprit de Tsahal ni l'esprit juif, et de par ces inventions machiaveliques elle incite a la haine contre les juifs; elle n'est pas digne de continuer ce métier noble qu'est le journalisme.
De part ces faits j'etais un fervent lecteur de votre journal, mais devant tant de mensonges envers Israël et Tsahal, je boycotterais votre journal a partir de maintenant car il commence a sentir le torchon.
Vous me ferez changer d'avis que si cette pseudo journaliste fait des excuses en couverture de votre journal; ce qui me parait fort improbable de la part de votre journal, qui devient de plus en plus antijuif et anti-israelien.
Par Toufiq (Toufiq) le mardi 13 novembre 2001 - 12h36: |
"si tu vas a riooooo,n'oublie pas de monter la haut.... la la la la la la la ....
Par Anonyme le mardi 13 novembre 2001 - 12h08: |
Une autre lettre qui a ete envoyee a la redaction du Nouvel Obs:
L'article de Sara Daniel est tout simplement un torchon!
C'est de la pure diffamation car JAMAIS les arabes ne sont plaints de viol par les soldats israeliens sur leurs femmes (on pourrait alors dire que les arabes eux meme doivent certainement les violer quand on voit le nombre d'enfants qu'elles ont!!! pratique pas tout a fait inconnue a l'islam!).
Si ca avait ete le cas ca se saurait, croyez moi!
Mais rien n'est trop bon pour descendre Israel et Tsahal dans la presse francaise!
Sortez des clichés: Toute armee n'est pas une armee de violeurs comme les vandales qui ont ravage la Tchetchenie! Les soldats de Tsahal sont des gamins de 18 ans qui preferaient aller en fac et s'amuser comme les autres plutot que d'avoir a surveiller des dechainés avides de sang et bourrés de haine!
Alors violer des femmes arabes, sortez-vous ca de la tete!!!
Un juif ne viole pas une arabe! Pas seulement par ethique!
Par Nao (Nao) le mardi 13 novembre 2001 - 12h24: |
Voici la lettre que j'ai adresse au Nouvel Observateur:
Je fais partie de nombreuses personnes scandalisées par l'article de votre pseudo
"journaliste" sur les femmes" violees" par l'armée Israelienne. D'abord, si il y avait eu le moindre soupcon ARAFAT et LEILA CHAID aurait dejà battu tout le pave mondial pour en parler. Je me pose la question: où avez peche cette
journaliste et de quelle ecole sort elle?? Car pour denoncer, il faut etayer sa these. ce qui ne semble pas etre fait dans son article. C'est trop facile de jeter l'anatheme sur une armée que vous HAISSEZ! Pourtant ils n'ont que 18 ans, l'age où vos enfants se vautrent dans les raves-parties et se defoncent au LSD!!!
J'espère que les plaintes seront nombreuses et que la 1ere page de votre prochain journal
sera intitulee "EXCUSES A TSAHAL." Vous me degoutez tellement que vous me rappeler l'epoque où l'Eglise Catholique racontait a ses ouailles qu'a l'epoque de la PAQUES JUIVE, les JUIFS assassinaient un petit chretien pour utiliser son sang pour la fabrication de la MATSA (galette pascale)!!!!
PITIE renvoyez cette journaliste ou envoyez la couvrir la guerre en Afghanistan!!!!!!!
Un groupe de femmes en colere:
DANIELLE TAHAR, LILIANE LEMOEN, PIA GERMON MARLENE CHEMLA, JOELLE GERMON et les autres......
Par Bebel (Bebel) le mardi 13 novembre 2001 - 12h45: |
j'aime l'idee "d'imaginer " la paix: Pour moi ,ca serait la realisation du reve du Rav Ovadia Yossef il y a quelques mois: la venue du Mashiach, la terre d'Israel entierement liberee de tous ses occupants non juifs, et le retour de nos chers disparus(en d'autres termes ,la resurection des morts), ainsi que la fin des histoires entre nous les juifs ,entre pratiquants et non-pratiquants,le retour a la religion de Yossi Sarid ,Tomy Lapid et tous leurs confreres.
Qu'en dites vous ?
Line
Par Henri Bueno (Henri) le mardi 13 novembre 2001 - 12h25: |
Chers amis(es)
J'ai eu le tres grand plaisir de passer le chabbat de la paracha "HAIE SARAH" avec des centaines de jeunes et moins jeunes a HEBRON dans une ambiance de fete extremement chaleureuse.
Dans cette paracha il est decrit entre autre l'achat par Abraham du caveau de Macpela pour la somme de 400 chekels de Hefron le Hitti.
Dans ce caveau, sont enterres Abraham et Sarah,
Itsac et Rivka, Yacob et Lea.
Cette ambiance de fete m'a plongee tout le long du chabbat dans une joie qui a efface beaucoups de tristesse cause par tous ces attentats contre nous.
J'aurais tant aime que vous soyez avec moi.
Chalom YHB
Par Anonyme le mardi 13 novembre 2001 - 12h06: |
CHIRAC NE SE GENE PLUS POUR FAIRE LE "LIEN" ENTRE L'ATTENTAT DU WTC ET ISRAEL
LE CAIRE (AFP) - Jacques Chirac a effectué une visite de quelques heures au Caire dans le cadre d'une tournée dans les pays arabes qui doit le conduire dans les Emirats arabes unis et en Arabie saoudite où il poursuivra mardi ses entretiens.
La situation au Proche-Orient a été au coeur des entretiens entre MM. Chirac et Moubarak.
Le président français refuse d'établir "un lien direct" entre les affrontements israélo-palestiniens et le terrorisme international, mais il considère que "les images qu'on voit tous les jours à la télévision alimentent une humiliation pour certains, une rancoeur pour d'autres et la révolte" des populations arabes.
Ces tensions menacent, selon lui, "la cohérence, la cohésion de la coalition" internationale. Il est donc "essentiel que le conflit au Moyen-Orient soit réglé de façon pacifique, que les deux parties retrouvent la voie de la négociation".
Par Anonyme le mardi 13 novembre 2001 - 12h18: |
Ils essaient de nous faire croire que c'est un accident mais moi je n'y crois pas une seconde.
Mais d'un autre cote, vous imaginez les consequences s'ils annoncaient que c'est un acte terroriste.
Ya rabbi hnini !!!
Par Anonyme le mardi 13 novembre 2001 - 12h27: |
LE MONDE | 10.11.01
Sari Nusseibeh bouscule le credo de l'OLP sur le sort des réfugiés
JÉRUSALEM de notre correspondant
Sous les sourcils charbonneux, le regard est espiègle. Bien campé dans son fauteuil, Sari Nusseibeh grille paisiblement ses cigarettes en jouant avec les grains noirs d'un chapelet. C'est pourtant par lui qu'une controverse sur le droit au retour des réfugiés palestiniens est arrivée, à la suite d'une tribune publiée simultanément le 24 septembre par un quotidien palestinien et par un journal israélien. Il invitait les Palestiniens à prendre en compte l'opposition irréductible des Israéliens à un retour éventuel à l'intérieur de leurs frontières reconnues internationalement, ébréchant ainsi l'un des credos de l'OLP. Malgré les critiques et des appels lancés au chef de l'Autorité palestinienne, Yasser Arafat, pour qu'il le démette de ses nouvelles fonctions de représentant de l'OLP pour Jérusalem - suite au décès de Faycal Husseini -, le recteur de l'université d'Al-Qods, qui assure s'exprimer à titre personnel, ne veut pas en rabattre.
"Si on considère que la perspective ouverte par les accords d'Oslo, c'est de voir à terme deux Etats vivant côte à côte, alors le droit du retour des réfugiés palestiniens ne peut être conçu que dans le cadre de l'Etat palestinien, à certaines exceptions près. On sait très bien que les Israéliens n'accepteront jamais un droit au retour qui mettrait en cause le caractère juif de leur Etat (...). C'est la réalité. Il faut la prendre en compte, tout comme il faut prendre en compte la question des compensations, individuelles et collectives, et la reconnaissance publique, incontournable, par Israël, de sa responsabilité dans cette tragédie", considère M. Nusseibeh. "C'est seulement ainsi que l'on s'approchera le plus près des résolutions des Nations unies sur ce sujet." Il met en regard avec cette "ligne rouge" israélienne, celle que constitue pour les Palestiniens l'intégrité des territoires aujourd'hui partiellement autonomes de Gaza et de la Cisjordanie, mités par des colonies en continuelle expansion, à l'origine, selon lui, de l'échec actuel du processus de paix israélo-palestinien. La paix, ajoute-t-il, ne peut être bâtie sans cela.
LA RAISON PLUS QUE L'HABILETÉ
Le recteur reconnaît qu'il fait plus oeuvre de pédagogie que de tactique politique en abordant des questions "aussi émotionnelles", mais il estime que la raison rapporte parfois beaucoup plus que l'habileté. "Pendant des années, la question de la reconnaissance d'Israël a agité l'OLP, cela a créé de grandes tensions et de nombreux préjudices alors que nous nous privions dans le même temps des avantages que cette reconnaissance aurait pu apporter", assure-t-il. "Et puis je suis convaincu que le débat sur la question des réfugiés (...) fait son chemin dans les têtes, inconsciemment."
Né en 1949 dans l'une des grandes familles palestiniennes de Jérusalem, ce professeur de philosophie a grandi dans l'aura d'un père respecté, Anouar, tour à tour ministre du premier "gouvernement palestinien" à Gaza, au début des années 1950, professeur et ambassadeur. Ce n'est pas la première fois qu'il joue les francs-tireurs. En 1986, sa participation à des réunions avec une délégation du Likoud lui avait valu d'être roué de coups par des étudiants. "Le projet sur lequel nous travaillions (...), nous était bien plus favorable que les accords d'Oslo, notamment sur Jérusalem-Est", assure Sari Nusseibeh en riant. Il se dit prêt à "tester"le premier ministre israélien, Ariel Sharon. "Il faut que les Israéliens comprennent que (...) c'est aujourd'hui ou jamais", estime-t-il. "La violence mène à une impasse.
Il n'existe que deux solutions : deux Etats, ou un seul Etat, binational, qui signifiera donc la fin de leur projet d'Etat juif. S'il nous apparaît que la piste de l'Etat palestinien n'est pas possible, si les colonies continuent de se développer, il ne nous restera plus qu'à nous retourner vers la seconde solution et de mener une lutte pour l'égalité des droits dans un Etat sécularisé. A terme, je ne doute pas un instant de l'issue d'une telle lutte", prévient, de sa voix douce, M. Nusseibeh.
G. P.
* ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 11.11.01
Par Anonyme le mardi 13 novembre 2001 - 12h23: |
Bonjour,
Tunisien vend lettre de david edition 1702
veuillez contacter :
aouemh@yahoo.fr
Par Mena (Mena) le mardi 13 novembre 2001 - 12h07: |
Des strip-teaseuses juives jusqu'aux violeurs juifs ! (info # 021211)
Un chemin pavé de mauvaises intentions !
Par Denis Elkoubi ã Metula News Agency
Quand nous avons eu sous les yeux l'article de Sara Daniel du Nouvel Obs, concernant les "meurtres d'honneur", chacun d'entre nous, à la Ména, a eu envie de réagir et d'y aller de son article plus ou moins musclé.
Pour ma part, je voudrais ajouter quelques commentaires au développement sans faille de Jean Tsadik, alimenté par les confirmations de Sami, sur le procédé de Sara Daniel.
Lorsque au mois d'août 2001, nous vous avons fait part de la nouvelle, qui s'étalait sur 5 colonnes à la une dans la presse palestinienne et arabe, concernant l'ineffable stratagème de Tsahal, consistant à employer des soldates strip-teaseuse pour faire des cartons sur des adolescents palestiniens, nous avions observé que les médias occidentaux n'avaient pas repris la nouvelle.
Après discussion avec certains correspondants des grands médias nationaux, il apparaissait qu'ils avaient jugé la nouvelle sans intérêt. Suite à nos protestations et nos explications, ils reconnaissaient qu'effectivement la nouvelle était caractéristique, de la façon de traiter l'information en milieu palestinien.
Seuls certains militants de l'abominable AFP, avaient poussé le bouchon, jusqu'à prétendre "qu'il n'y avait pas de fumée sans feu" !
Trois mois plus tard, sans qu'aucune info ne vienne suggérer que des soldats israéliens auraient violé une ou plusieurs jeunes filles palestiniennes, voilà que, sous la plume d'une journaliste, collaborant à l'un des plus importants faiseurs d'opinion de France, apparaît la plus scandaleuse des accusations envers Tsahal.
Sara Daniel, sans la moindre justification, sans l'ombre d'une référence, passe en contrebande, dans un article de fond qui n'avait rien à voir avec Israël, son accusation d'assassinat sexuel prémédité !
En trois mois, on était passé du revers de la main des désinformateurs, qui balayaient une information, sous le prétexte qu'elle était "non significative et inintéressante pour le public français", à la main qui écrit, qui se fait complice de l'une des manipulations les plus odieuses, jamais parue dans la presse française.
Le silence des mêmes médias, lorsque nous leur rapportions l'affaire de "soldates strip-teaseuses", puis celle du "Disney-Sbarroland de Naplouse" était déjà coupable. On est passé aujourd'hui à la vitesse supérieure, un média de l'importance du Nouvel Obs, se permettant d'être le diffuseur d'une immonde calomnie.
Tout, dans le procédé, nous rappelle les accusations de crime rituel du Moyen Age.
Sara Daniel ne se contente pas, dès lors, de stigmatiser d'imaginaires comportements, qui seraient effectivement scandaleux s'ils étaient prouvés, elle va bien au-delà, en prétendant que ces actions obéiraient à une stratégie, délibérément mise en œuvre par les soldats de Tsahal.
Comme au Moyen Age, au lieu de se contenter de condamner les actes criminels, ainsi que leurs auteurs avérés, Daniel utilise l'écœurement inertiel légitime, que génère le récit des fratricides intra-palestiniens, dans un stratagème destiné à jeter un opprobre indu, sur les soldats israéliens. Et l'opprobre se répand sur toute une armée, sur tout un peuple !
Dans la panoplie des accusations de meurtre rituel, des empoisonneurs de puits ou du Protocole des Sages de Sion, Madame Daniel possède d'illustres prédécesseurs.
Claude Askolovich déclarait jeudi dernier, sur les ondes de RCJ, qu'il était fier d'appartenir à l'équipe du Nouvel Obs. Il serait peut-être temps, maintenant, qu'il commence à le lire !
Par Anonyme le mardi 13 novembre 2001 - 12h50: |
Tunes celebres
Je pense que vous avez oublie dans la liste des tunes de France célèbres les frères Chelly (Sylvain & William) PDG de "Et Vous".
achelly00v@noos.fr
Par Anonyme le mardi 13 novembre 2001 - 12h48: |
To: redaction@nouvelobs.com
Subject: Plainte en diffamation
Concernant votre article du 08 Novembre 2001, intitulé: "Quand, en Jordanie, la "tradition" tue...", je tiens à vous faire savoir de manière claire que je poursuivrai immédiatement votre hebdomadaire pour diffamation au cas où un article de votre rédaction, dans votre prochain numéro,
1. n'énonce pas une dissociation limpide des citations: "Les femmes palestiniennes violées par les soldats israéliens...en parfaite connaissance de cause"
2. ne présente pas un rétablissement de la vérité: il n'y a jamais eu de tel viol, lequel aurait été exploité médiatiquement par l'OLP.
3. ne rétablit pas l'honneur de l'armée d'Israël au moins dans ce domaine, le respect des femmes.
Citoyen français, mais aussi lt-colonel de réserve de Tsahal, je dois comprendre que mes propres enfants, à la lecture innocente de cet article, puissent penser de moi et de mes collègues que nous sommes des violeurs.
Il est temps que la Justice examine enfin le caractère insidieux, et de plus en plus fréquent, des "citations" non traitées par la presse et
offertes sur un plateau au lecteur inaverti. Pour reprendre votre expression, ces citations sont ainsi imprimées par vous "en connaissance de cause". Ce viol moral est inacceptable. J'espère que vous aurez la décence de comprendre ma réaction et veillerez à une dignité intellectuelle adéquate au niveau professionnel de votre publication. La (dignité)mienne est en jeu.
Raphaël JERUSALMY, Lt-Col.(rés.) de Tsahal.
Par Michka (Michka) le lundi 12 novembre 2001 - 12h39: |
BESOIN DE RECEVOIR.
Les personnalités avides d'affection éprouvent le besoin absolu de recevoir de la tendresse, et pour atteindre ce but, elles sont prêtes à toutes les concessions, voire à accepter des rapports sexuels à seule fin d'en tirer chaleur et affection.
DIFFICULTE A DEMANDER.
Bien qu'ayant besoin de tendresse, certains n'osent pas le demander explicitement. Ils dissimulent leur demande sous :
- des provocations (celles des enfants qui font des bêtises pour mettre à l'épreuve l'affection de leurs parents);
- des somatisations (chez l'enfant toujours, la simulation du mal de ventre pour attirer l'attention);
- des évasions dans le monde fantasmatique de l'imaginaire ou de la folie;
- des déclarations d'omnipotence. Le narcissique pense : "je n'ai besoin de personne, et comme ils ne veulent pas me donner de la tendrese, je me la construirai tout seul."
Par Michka (Michka) le lundi 12 novembre 2001 - 12h14: |
DIFFICULTE A VIVRE LA TENDRESSE.
Elle est typiquement masculine. Nombreux sont les hommes qui considèrent la tendresse comme un piège mortel, plus difficile à gérer que l'hyperactivité dans laquelle ils se refugient, la confondant avec la vitalité.
DIFFICULTE A DONNER.
Elle se rencontre chez les personnes affectivement pingres que nous pouvons définir comme des avares affectifs. Certains ne font preuve d'avarice que lorsqu'il est question de prodiguer de la tendresse, d'autres pour tous les sentiments.
DIFFICULTE A DIRE OU A MONTRER LA TENDRESSE.
Bien des hommes ont été élevés dans l'idée que montrer ses sentiments (au sens victorien) était une faiblesse coupable. Ils sont ce qu'on appelle des "ours". Souvent isolés, ils peuvent aussi devenir capricieux et tyranniques si d'aventure ils se marient. Non seulement ils ne témoignent ni ne donnent de la tendresse, mais ils continuent à en réclamer. Nous aurons donc deux versions du même "animal" : les ours bruns (chauds et maladroits) et les ours polaires ( froids et égoïstes).
Par Belebou (Belebou) le lundi 12 novembre 2001 - 12h22: |
Henri...mon ami...celà ne s'adressait pas à toi..
pas du tout j'ai trop de respect pour toi...non on le disait entre amis quand on fredonnait cet air. Très bel article sur accueil...Tes remarques sont pertinentes et justes...ton propos est à la hauteur de ta logique...continue de nous envoyer tes histoires..plus tard...je n'ai pas le coeur..à rigoler quand d'autres sont sous des dècombres ...Te souviens tu de ce proverbe 'Teht èl jouènèh dèbannèh khir Mèl jèbénnah'..Mieux vaut vivre sous les ailes d'une mouche que dans un cimetière..)
Etant donnè les circonstances actuelles et par respect pour les nouvelles victimes du crash de N.York je m'interdis de ' texter'. OK Drunk..tu fais partie de la famille...nous sommes trois.. à prèsents...nous y reviendrons....après un dèlai de retenue respectable....vis à vis de nos commentateurs. ALBERT.
Par Victoria (Victoria) le lundi 12 novembre 2001 - 12h36: |
Ce que Sara Daniel a écrit sur les soldats isarëliens dans son article du Nouvel Obs est ignoble ! Décidément,la famille Daniel doit avoir le gène de l'auto-flagellation. Tous les juifs qui ont lu cet article sont scandalisés. Comme le dit la Ména une diffamation de cet ordre ne doit pas rester impunie. Un procès a été fait à Libération. Pourquoi pas au Nouvel Obs ?
Par Anonyme le lundi 12 novembre 2001 - 12h46: |
Bonjour à toutes et tous les tunes
Je me présente aux élections consistoriales et je sollicite votre appui afin de me faire élire en tant que candidat indépendant et libre de tout
courant.Il y a 4 listes que j'appelle de tous mes voeux à combattre car cette liste rassemble tous les sortants.
Ont-ils besoin de se protéger sur une liste? Ont-ils peur du vote communautaire?
Je me pose cette question et la seule réponse c'est de voter pour les candidats indépendants. Donc voter pour moi .
Merçi par avance
Chabbat chalom
Hubert SAADA
Par Anonyme le lundi 12 novembre 2001 - 12h09: |
Bazooka, c'est un engin de guerre et vous parlez de paix. Changez donc de pseudo.
OK. Mais la débla dégoulinante de miel elle est CACHER au moins?
Et sur quoi allez-vous vous baser pour la partager, l'âge du capitaine, le nombre de juifs, d'arabes?
Vous verrez que cela finira par une guerre.
Par Bazooka (Bazooka) le lundi 12 novembre 2001 - 12h36: |
Bonjour JP,
heureuse que tu te rallies a mon opinion :
" La difference entre les partisans de la paix et ses adversaires ne tient qu'a une chose :
L'IMAGINATION. "
Tu as raison, laissons la parole a l'imagination.
Je me tourne aussi vers tous les Harissien(ne)s dont l'imagination est si fertile pour qu'ils/elles nous decrivent dans ces commentaires :
Comment ils imaginent la paix
Et comme "Charite bien ordonnee commence par soi-meme" : pour moi, la paix ressemble a une enauuuuuuuurme debla degoulinante de miel, que l'on partage entre tous les enfants peu importe leur couleur, leur ethnie ou leur religion.
Par Halkeloued (Halkeloued) le lundi 12 novembre 2001 - 12h35: |
Encore une, et si vous ne riez pas c'est à désespérer.
-Monsieur, je ne peux plus travailler chez vous, TOUS vos employés sont antisémites.
-Quoi? Allons! Qu'il y en ait un ou deux d'accord, mais tous, vous exagérez.
-Si je vous le dis. J'ai fait un test, j'ai posé une question et à leur réponse je déduis qu'ils sont TOUS antisémites.
-Mais c'est quoi cette question?
-Je leur ai demandé ce qu'ils penseraient si on exterminait tous les juifs et tous les coiffeurs.
-Les coiffeurs? Pourquoi les coiffeurs?
-Ben, vous voyez, vous aussi.
Henri Fitoussi
Par Anonyme le lundi 12 novembre 2001 - 12h49: |
Ya si Albert..
WAYWA !! ALA « Plénipotentiaire » EMNIN KHERAJT BIHA ??
«KAYD’OU !!! FISAA LA YAFSAA» (inscrit le vite, avant qu’il se taille) ..
Drunkrat EL KEBAYAH.
Par Anonyme le lundi 12 novembre 2001 - 12h07: |
Merci golanite1 d'avoir mentionne la boutique "La Maison du Blanc" et son proprietaire Arthur Brami, car ce sont bien de souvenirs que je retrouve comme la richesse des etalages ou les adras inepuisables des meres qui s'y rencontraient. Il etait loin l'anonymat des malls d'aujourd'hui. Pour tous ces magasins, ces cafes celebres - comme celui "des Negres" dont apparement il ne reste meme pas le souvenir d'une photo- que tenait la communaute tune d'antan, quel plaisir de voir leur
memoire conservee dans les rubriques du site!
CS
Par Jean-Pierre C. (Jpc) le lundi 12 novembre 2001 - 12h03: |
Vous avez vu comme on est geniaux dans harissa ?
Des qu'on se met a parler de la paix, il semblerait que les politiciens les plus radicaux eux aussi se mettent a parler de la paix.
J'ai meme vu Arafat, Hanan Ashraoui et Ariel Sharon parler de la paix ce week end.
Je suis sur et certain qu'ils ont ete inspires par les commentaires qu'ils ont vu sur ce site.
En fait, s'ils n'ont pas reussi a faire la paix jusqu'a present, c'est qu'ils n'avaient pas encore idee de comment ca pourrait etre.
Alors aidons les a imaginer !
Jean-Pierre C.
Par Anonyme le lundi 12 novembre 2001 - 12h36: |
L' amour
c'est une histoire entre deux etres; elle commence bien et aucun des deux ne veut qu' elle se termine.
Pourtant un jour ou l' autre elle se termine , et c' est toujours dans la douleur.
Ainsi conclusion: un début magique et une fin tragique!
Esperons que la fin sera loin pour tous! Et le début proche aussi , car malgré tout on ne saurait jamais s' en passer.
Bisous a tous....
melise1@caramail.com
Par Mena (Mena) le lundi 12 novembre 2001 - 12h32: |
Violant, l'Obs ! (info # 011211)
Par Jean Tsadik © Metula News Agency
Jeudi dernier, dans l'Hebdo en ligne du Nouvel Obs, Sara Daniel publie un article, qu'elle intitule : "Le cauchemar des crimes d’honneur". Le Sous-titre de cette plongée, au plus profond de la société palestinienne, est révélateur de l'article de Mme Daniel : " Sarhan a tué sur ordre de sa famille sa propre petite sœur. Violée par son beau-frère, elle n’était plus une "jeune fille". Il n’a été condamné qu’à six mois de prison"
Les adeptes du Net trouveront l'entièreté de ce reportage à l'adresse "http://www.nouvelobs.com/articles/p1931/a1938.html".
Sara Daniel aborde ici le sujet de l'honneur de la famille, dans le monde arabe en général et dans la société palestinienne, en particulier. Au travers du drame d'une famille palestinienne, installée à Aman, elle nous fait découvrir l'insupportable précarité de la condition féminine, sous les étoiles de l'Orient.
L'article est lui-même difficilement supportable. Les faits qui y sont décrits, sont révoltants d'injustice et de stupidité. Le lecteur occidental, de sensibilité moyenne, a envie de vomir à chaque phrase. Comme à propos du témoignage de ce médecin, d'un hôpital d'Aman, spécialisé dans "les examens de virginité et les autopsies", qui affirme que "80% des femmes qu'il examine vivantes, lui reviennent comme cadavres, quelques temps plus tard".
L'article de Daniel est sérieux, les faits sont dramatiques, épouvantables. On voit que la journaliste est réellement allée à Aman et qu'elle a vraiment interviewé les protagonistes de cette boucherie. Le lecteur est pris par le récit, il s'attend à une conclusion à la mesure de l'article mais à la place, il butte sur une affirmation incroyable, un encart de Sara Daniel, qui fait d'elle la coupable d'un autre crime, pas moins grave que celui qu'elle nous narrait.
"A Gaza et dans les territoires occupés, ils ont (les meurtres de violées) représenté deux tiers des homicides" nous dit-elle. "Les femmes palestiniennes violées par les soldats israéliens sont systématiquement tuées par leur propre famille. Ici, le viol devient un crime de guerre, car les soldats israéliens agissent en parfaite connaissance de cause."
Guzzzzzzzzzzz ?
Que les meurtres des femmes, déjà victimes d'être violées par leur père, leur voisin, leur oncle, constituent 66% des cas d'homicides, dans l'Autonomie palestinienne, cela constitue un fait caractéristique indéniable de la société palestinienne. Un fait qui réclame des conclusions généralisées et courageuses, de la part d'un observateur, sur lesquelles nous reviendrons plus tard !
Quant à l'accusation lancée par l'Obs contre l'armée israélienne, "de violer intentionnellement les femmes palestiniennes, dans le dessein prémédité de les faire exécuter par leurs propres familles", il s'agit là, certainement, du plus grossier procès d'intention jamais adressé à l'encontre de l'Etat d'Israël, de sa société et de son armée !
Je suis l'information du Moyen Orient heure par heure et je n'ai jamais entendu parler du viol d'une seule femme arabe, par des Israéliens, durant les deux Intifada. J'ai lu tous les communiqués de l'agence de presse de l'Autorité palestinienne WAFA et je n'ai jamais vu la moindre trace d'une accusation semblable. J'ai questionné mes collègues de la Ména au milieu de la nuit. J'ai appelé, à six heures ce matin, notre correspondant palestinien, Sami El-Soudi. Ce dernier connaît, presque par cœur, les circonstances, les victimes et les auteurs de toutes les pertes humaines de ce conflit et cependant, il affirme "qu'il n'a jamais entendu parler du viol d'une seule palestinienne, par un Israélien, durant cette guerre !" Al-Soudi est catégorique, "si cela avait eu lieu, précise-t-il, la propagande de Yasser Arafat se serait jetée sur l'occasion et aurait exploité un tel crime jusqu'à la corde !"
Alors, l'Obs, qu'est-ce que cette nouvelle incitation publique à la haine anti-israélienne, sur base de mensonge consommé ? Selon votre "journaliste", non seulement les Israéliens se livrent-ils à un génocide organisé des Palestiniens mais en sus, ils y ajouteraient des méthodes de raffinement sadiques, surpassant, dans l'horreur, les maîtres en la matière ! Des êtres capables de pareils plans sont des monstres, qui ont, assurément et obligatoirement, la vilenie dans les gênes. La majorité des Israéliens sont juifs, les juifs sont des monstres !
Qui sont, Jean Daniel, "ces soldats israéliens, qui violent les femmes arabes, en sachant qu'elles vont se faire massacrer par leurs familles ?" L'incrustation de cette cabale raciste dans ce reportage est un acte barbare et criminel. Il procède d'une tentative systématique de démoniser les Israéliens, en l'absence de toute malveillance de leur part.
C'en est trop, la coupe est pleine ! Cette forfaiture mérite que le Nouvel Obs soit traîné en justice et que Sara Daniel, son rédacteur en chef, ainsi que la direction de ce journal, soient requis de faire la preuve "qu'il existe un plan, dans l'armée israélienne, engageant les soldats à violer les femmes palestiniennes, dans le but de les faire exécuter par leurs familles". Et faute de pouvoir présenter ces évidences, les personnes impliquées dans cet acte innommable doivent être condamnées à des peines exemplaires. Si l'acte de désinformation prémédité est avéré, ce qui ne fait aucun doute, la justice devra suspendre la parution du Nouvel Observateur, pour une durée proportionnelle à la faute professionnelle commise.
Toute procédure, autre que de soumettre cette affaire à la justice, est impensable ! Elle requiert une action, non seulement des autorités compétentes, des syndicats de journalistes, de la LICRA, de l'Association France-Israël mais également de la part des autorités israéliennes ! Ce que fait l'Obs, ça n'est plus du tout du journalisme, en conséquence de quoi, il est nécessaire que le Ministère israélien des affaires étrangères, entame une action diplomatique, doublée d'une procédure en justice. Il est cette fois temps, que les représentants de l'Etat d'Israël se réveillent et qu'ils prennent toutes les mesures, afin que la presse française cesse de confondre l'honneur de leurs citoyens avec un essuie bottes !
Entre temps, à la Ména, où nous nous vantons de compter parmi les gens les plus libertaires du Moyen Orient, nous conseillons fort, au gouvernement d'Israël, d'interdire toute activité des personnels de l'Obs en Israël. Dans les circonstances, nous considérons qu'il s'agit là de la moindre des mesures conservatoires !
Ceci posé, revenons un instant sur le cas de la petite martyre du fond de l'article de Sara Daniel. Yasmine, était âgée de 16 ans, lorsqu'elle a été violée par son beau-frère, puis assassinée par sa propre famille. L'explication du frère assassin, c'est que "il a bien fallu venger l'honneur de la famille ! La petite a fauté !" Quant à la mère de la victime, elle a assisté, sans broncher, au meurtre de sa propre fille. "Ce serait mal vu, si une mère montrait une réticence à ce moment là. Cela voudrait dire, que ça lui est égal, que sa fille soit une salope."
Une salope ? Vraiment ? Ou une petite fille, tuée par son frère à bout portant, de quatre balles de revolver, pour s'acquitter du seul crime d'avoir un vagin ? Et dans cette équation inique, le beau-frère violeur, reste abrité par sa masculinité de genre, de toute poursuite dans cette affaire !
Cet aspect des habitudes sociales des Palestiniens doit pourtant aboutir à des conclusions intelligentes. En laissant Pathos et Camisole hors du coup, car on aurait tort, de "récupérer" ces égarements, dans le but d'en faire un prétexte à une haine anti-arabe. Et pourtant ! Pourtant, il faudrait être aveugle, pour ne pas remarquer, à la lueur de ce "fait divers", l'immense étendue des différences, qui séparent l'environnement de la culture occidentale et celui du monde musulman. Sans généraliser la coutume de la "vengeance de l'honneur familial", du "sang purificateur de la mort, qui lave le sang du dépucelage", car tous les Arabes et tous les musulmans ne pratiquent pas ces us, il faut bien concevoir que cette pratique systématique du meurtre est profondément caractéristique des valeurs orientales. Les opposants à ces assassinats, dans la société palestinienne, ainsi qu'en Jordanie mais aussi, au Liban, au Pakistan, en Iran et dans presque tous les pays musulmans, représentent une petite et courageuse minorité de personnes. Les assassinats des femmes violées sont pourtant la norme et cette norme, avec tout ce qu'elle a de dérangeant pour un occidental, est représentative des valeurs de l'Islam.
Attention, on ne considère pas, ici, un pseudo Islam fondamentaliste mais bien la masse hyper majoritaire des adeptes de cette religion, au Moyen Orient et dans le reste de l'Asie ! Aussi, tant que lesdites valeurs se tenaient à l'écart des nôtres, il était loisible de ne pas voir ces différences mais lorsque l'interaction entre nos mondes, prend la forme d'avions suicides, qui se précipitent au cœur de notre civilisation, personne ne peut plus faire l'économie d'une vraie réflexion.
Aussi vrai qu'il faut faire preuve de discernement, dans ce qui nous révolte, il faut quand même avoir le courage d'énoncer certaines vérités. Les femmes sont toujours considérées comme du bétail, par la société orientale, qui les considère, littéralement, comme des "usines à fabriquer des hommes" et rien d'autre. La société palestinienne mais elle n'est qu'un exemple de mon propos, est profondément violente et injuste. Lorsque l'on veut bien intégrer l'histoire de Yasmine, aux informations qui nous arrivent tous les jours, on parvient alors et sans peine à réaliser les motifs du lynchage de Ramallah et des parodies de procès et des exécutions des prévenus, soupçonnés de collaboration avec Israël. Par comparaison au cas récent de cet autre frère, qui a criblé sa sœur de balles de mitraillette, "parce qu'elle était rentrée trop tard un soir", pourquoi attendre des Palestiniens, qu'ils se comportent plus humainement envers des prisonniers israéliens ou des suspects de collaborationnisme, qu'avec leurs propres sœurs ?
Et si le fondement du conflit israélo-arabe, tenait moins à la politique et même à la haine interethnique et plus, à ces différences inconciliables dans l'établissement des valeurs structurelles de nos sociétés
Accepter, un jour, les valeurs qui ont tué Yasmine ? Pour n'importe quel occidental, ça n'est pas envisageable !
Par Toufiq (Toufiq) le dimanche 11 novembre 2001 - 12h12: |
henri rani kobbaraaa,effectivement bou sa'diya pour nous faire peur quand nous etions petits.aurtres entites redoutables:el ghoul,lezrour,rouhani (revenant) les jnouns ect.
qui se souvient de cette chanson andalouse sur un air de flamenco:" a'cheqt toufla andalousiya..,sghira shebba khammouriya ,la'youn lechwafar megrouniin .rabbi ma 'arft wech n'dir ect..." emile tu la connais surement.
et celle la :"fil karreta.fil karreta gasma 'a llah lil karretaa. amities a tous,toufiq
Par Halkeloued (Halkeloued) le dimanche 11 novembre 2001 - 12h05: |
Albert,
Tu es avec moi ou contre moi?
Henri Fitoussi
Par Halkeloued (Halkeloued) le dimanche 11 novembre 2001 - 12h03: |
Madame Lebrun passe en voiture devant la vitrine d'un brocanteur.
Elle aperçoit un joli secrétaire, exactement celui qu'elle cherche et le prix lui convient parfaitement.
Comme elle est pressée elle décide de repasser le lendemain.
Le jour suivant le magasin est fermé, elle se renseigne chez le commerçant d'à côté:
-Est-ce que le brocanteur a fermé définitivement?
-Non, pas du tout, mais il ne travaille pas le samedi. Si vous voulez le rencontrer, il est soit chez lui soit à la synagogue. Voici son adresse.
Madame Lebrun se rend à l'adresse, le brocanteur est sur le point de sortir.
Elle lui expose l'objet de sa visite, lui dit que le prix lui convient et qu'elle est venue prendre possession du secrétaire.
-Désolé Madame, ma religion m'interdit de commercer et de toucher de l'argent.
-Quand puis-je revenir?
-Dès demain à partir de 9 heures.
Madame Lebrun s'en va. Mais à peine s'est-elle éloignée que le brocanteur l'appelle.
-Madame! madame! Pourriez-vous me donner un acompte?
Henri Fitoussi
Par Belebou (Belebou) le dimanche 11 novembre 2001 - 12h49: |
Henri ..la chanson des Ya saleg el houahlin.
Ya saleg el houahlin enti tabess...ouènéh..
bon...y'avait aussi il est vrai Yal lèl houli ya ma...yal lèl houli...ya...c'est pas du Carli...
Braitou...
Par Anonyme le dimanche 11 novembre 2001 - 12h12: |
Célèbre: Le Larousse donne la signification suivante.
Dont le renom s'étend AU LOIN, bien connu.
Synonyme: Fameux, illustre, réputé, renommé.
Avoir eu un magasin à Tunis, rue de Bône ou rue de Constantine, est-ce de la célébrité?
D'autres l'ont écrit avant moi, soyons lucides et surtout humbles.
Nefkha, nefkha quand tu nous tiens.
Par Admin (Admin) le lundi 12 novembre 2001 - 12h05: |